Je partage ma vie avec la femme que j'aime. Elle me surpasse de beaucoup par ses qualités athlétiques : souplesse féline, rapidité d'attaque, force musculaire, et aussi par une connaissance des arts martiaux qu'elle a acquise durant des années de pratique. Connaissant mon goût pour la lutte, elle aime m'agresser et me donner des coups pour me prouver son amour. Quand elle me provoque en combat, elle me bat toujours et m'oblige à implorer sa clémence. Dans ce blog je veux d'abord témoigner de ce bonheur qu'est ma vie quotidienne. Je veux aussi rassembler tout ce que j'ai pu voir et apprendre, non seulement sur le thème de la lutte mixte, mais plus généralement sur tout ce qui concourt à l'exaltation des prouesses de l'amazone victorieuse du mâle : expériences vécues, photographiées, filmées, histoires réelles ou légendaires, contributions des arts et de la littérature.
A l'époque contemporaine, on continue de s'inspirer de la tradition de peindre des odalisques. On "revisite" les oeuvres du
passé, surtout celle d'Ingres (cf. un exemple ci-dessus).
Cela dit, le terme "odalisque" disparaît le plus souvent. Voici une toile contemporaine magistrale due à Jacob Collins et simplement intitulée "Reclining Nude" (Nu couché) :
On remarquera qu'à l'époque contemporaine, les modèles ont des anatomies à la fois plus minces, surtout aux épaules, et souvent plus toniques, voire athlétiques
:
Alain Dumas
Anne-Sophie
Laimé
Marie-Ange Gomard
Etude pour l'odalisque - Francine Van Hove
tranquil-lady
Lynn Paula Russell
La liseuse
Alair
On appréciera les jambes hypertoniques et les mollets impressionnants de cette liseuse contemporaine (sans doute inspirée de celle de Jean Honoré Fragonard, mais
cette dernière était vêtue).
C'est bien volontiers qu'on la tirerait de sa lecture pour éprouver la puissance de son ciseau de jambes !
Nous poursuivons notre tour d'horizon des odalisques par le grand peintre romantique Eugène Delacroix :
On est frappé par la puissance de cette dormeuse, son torse d'athlète, ses bras épais, ses gros mollets. Mais ce n'est qu'une esclave de harem, direz-vous, et elle
dort ! donc aucun danger, du moins apparemment.
Et si cette forte demoiselle se mettait en mouvement ? Si elle se révoltait et brisait les chaînes de l'esclavage ?
Alors elle deviendrait une soeur de cette Amazone dépoitraillée,
héroïne du superbe tableau du même Delacroix "La liberté guidant le peuple". Elle incarne la Liberté et même la Révolution puisque la scène se passe durant les Trois Glorieuses(1830).
Contrairement à Ingres, peintre néoclassique, Delacroix est un romantique, comme nous l'explique Wikipedia :
"Si ce tableau avait été classique, la Liberté regarderait droit devant, elle serait plus centrée dans l'œuvre, elle serait juchée sur un socle, et
non sur une pile de cadavres, et le drapeau qu'elle porte ne serait pas tronqué."
En tout cas, cette toile archiconnue est bien installée dans notre imaginaire, où elle fait coincider la force, le courage et la féminité.
Plus mystérieuse - et beaucoup moins connue du grand public - est la "bacchante" de Gustave Courbet, peintre qu'on qualifie de "réaliste" pour le distinguer des précédents, car l'histoire de la
peinture classique est celle des écoles qui se sont succédées...
Pourquoi donc est-elle une bacchante et non une odalisque ? Apparemment, si
cette forte fille dort, c'est tout simplement parce
qu'elle est ivre !...
D'autre part, si elle est placée face à nous,
c'est parce qu'elle menace d'ouvrir les jambes, dévoilant "l'origine du monde" à nos regards, puis nous suggérant d'y avancer notre tête pour un terrible ciseau qui nous frottera les oreilles avant
que cette folle de plaisir nous intime l'ordre de lui rendre l'hommage d'un cunnilingus.
Ci-contre trois odalisques de la peinture classique.
En haut, le peintre est François Boucher et le modèle la pulpeuse Marie-Louise, dont nous avons déjà parlé dans un article antérieur : François Boucher (2)
Au milieu, c'est la "Vénus au miroir" du grand peintre espagnol Velazquez.
En bas, c'est la célèbre Grande Odalisque, chef d'oeuvre impérissable du grand Jean-Auguste-Dominique Ingres, remontant à 1814. On l'a beaucoup admirée pour sa pureté de lignes mais personnellement
je préfère celle de Velazquez.
Regarder des odalisques, c'est
pénétrer dans le harem d'un sultan, endroit en principe soustrait aux regards des étrangers et autres voyeurs dans notre genre...
C'est bien pourquoi la Grande Odalisque, tournant la tête, nous dévisage d'un air vaguement réprobateur :
"Alors, on vient se rincer l'oeil ?"
C'est également ce que doit penser l'odalisque de James Pradier, célèbre sculpteur du XIXe siècle qui fut, le pauvre, un rival malheureux de Victor Hugo dans le coeur de Juliette Drouet.
Elle aussi tourne la tête comme si elle avait remarqué notre présence incongrue, mais sans cette expression de morgue qui caractérisait celle d'Ingres.
Ayant en tête de revenir un peu plus longuement sur le sujet de la sensualité du muscle féminin (l'article que j'avais consacré à ce sujet en février 2007 est à revoir, car ses liens Web sont
morts...), j'ai pensé recommencer par le commencement, c'est-à-dire par l'Art bien sûr, car notre imaginaire occidental est peuplé d'images de femmes nues.
Le thème de l'odalisque, à la
fois esclave vierge et objet sexuel, allongée sur un lit au milieu de superbes coussins, va donc m'occuper quelque peu, mais en liaison bien sûr avec mes obsessions :
et si l'odalisque était musclée ? et s'il fallait, pour l'approcher et tenter de la "conquérir", engager un épuisant combat amoureux à l'issue incertaine ?.
En observant l'odalisque telle qu'une certaine Natalie Astopka l'a recréée (ci-contre à gauche, un détail d'une toile de cette artiste contemporaine), allongée sur le ventre et non sur le côté
comme d'ordinaire, je flashe sur les jambes de la demoiselle, quon devine si puissantes et si nerveuses...
et je ne peux m'empêcher de me la figurer
appliquant un ciseau sur celui qui voudrait faire joujou avec ses cuisses,
d'où la comparaison qui me vient avec cette photo, que j'apprécie pour son côté "éclairage intime".
Je me dis seulement qu'appliqué par la première demoiselle, "l'odalisque musclée", le ciseau en question serait encore plus éprouvant pour le chanceux.
Cette histoire m'a été rapportée il y a déjà pas mal de temps par un ami qui avait été photographe amateur dans sa jeunesse - nous l'appellerons Photophile. Il m'avait d'ailleurs confié
quelques-uns de ses clichés que j'utiliserai ici pour illustrer le récit. La piquante Annie ne nous en voudra sûrement pas si elle se reconnaît dans ces photos.
Un jour qu'il était de passage dans un salle d'arts
martiaux pour y réaliser un reportage photographique, notre ami Photophile eut le plaisir de prendre le portrait ci-contre d'une jeune championne, la très mignonne Annie. "Ne vous y trompez pas", lui confia l'entraîneur, "son gentil sourire cache une redoutable guerrière !"
Photophile sympathisa avec Annie, dont l'attitude très engageante semblait vouloir dire : "Laisse donc là ton appareil photo et viens un peu te mesurer à moi !"
Hélas Photophile n'était nullement, lui, un expert en arts martiaux, physiquement assez maigrichon et pas bien costaud. Et puis il n'avait pas de tenue appropriée, pas de kimono... Bref il n'eut le
loisir de constater les talents d'Annie qu'en l'observant aux prises avec ses partenaires d'entraînement... et il en fut fortement impressionné, d'ailleurs.
Cependant, Annie voulait récupérer les photos qu'il était en train de prendre. Elle lui confia donc son adresse... Quelques jours plus tard, ayant développé ses précieuses photos argentiques,
Photophile téléphone à Annie... qui l'invite discrètement chez elle !
Et une fois qu'il fut chez elle, la coquine insista pour lui faire une petite
démonstration de ses talents en combat : "Ici, pas besoin de kimonos" précisa-t-elle... Et les voilà qui s'empoignent en tenue relativement déshabillée, mais encore décente,
dirons-nous.... Annie est plus petite, un plus légère, mais beaucoup plus entraînée. Elle lui porte quelques prises et remporte assez facilement le combat. A la fin, elle lui plaque les épaules au
sol et s'assoit sur l'infortuné Photophile.
"Lâche-moi, laisse-moi partir" implora-t-il.
"A condition que tu m'offres les photos !" répondit l'impitoyable donzelle... ce qu'il fit, bien sûr, car ce faisant il se prenait à aimer le corps d'Annie, surtout ses genoux qu'elle
aimait appuyer ici ou là, et puis ses fortes cuisses qui l'enserraient comme dans un étau et dont il ne pouvait se sortir.
De plus en plus
copains, Annie et Photophile se sont revus assez souvent pour lutter. Il apportait son appareil photo et enclenchait le retardateur, vite elle prenait la pose, elle sur lui bien sûr ! car comme
elle le battait à tous les coups, la photo-souvenir devait refléter sa domination...
Notons que contrairement au couple de Julie et de notre ami Beatenboy, elle ne profita jamais de sa supériorité pour l'humilier et le torturer, car au fond Annie était une gentille fille adorant
chahuter mais pas une dominatrice sadique. C'est juste une précision que je donne ici, pas un jugement négatif sur Julie, tous les goûts sont dans la nature, une certaine perversité plaît à
beaucoup de garçons masos qui s'ennuieraient avec une Annie venant juste pour une partie de rigolade et de défoulement...
Peu à peu, la relation devint de plus en plus érotique, Annie prenant plaisir à s'habiller léger pour mieux exciter Photophile. En string elle n'hésitait
pas à s'asseoir sur son visage et à se frotter sur son nez et sa bouche, parvenant à l'orgasme grâce à une habile stimulation clitoridienne. Constatant son érection à lui, elle le masturbait et, se
frottant contre son sexe grâce à une prise de "lutte sexuelle", elle finissait par le faire éjaculer. Car elle avait aussi inventé des techniques de "lutte sexuelle", la mâtine ! Vers la fin de
leur relation elle luttait entièrement nue et ils parvenaient encore plus vite à la jouissance.
Ont-ils
jamais vraiment fait l'amour, avec pénétration ? Apparemment non, c'est du moins ce que m'a raconté Photophile, qui semblait regretter de n'avoir jamais eu de rapports sexuels complets avec cette
superbe petite lutteuse.
"Pourquoi ça ? elle ne t'aimait pas vraiment ?" lui demandai-je interloqué.
Voici la réponse que me fit Photophile :
"Elle adorait le contact physique avec moi. Mais ce qu'elle m'a dit, c'est qu'elle était vierge (je n'ai pas pu vérifier), qu'elle était encore mineure, et que de toute façon elle allait bientôt
déménager avec ses parents dans une autre ville. Elle ne voulait donc pas que les choses aillent plus loin, pour ne pas trop s'attacher à moi et pour qu'on n'ait pas de problèmes.
Je crois que notre relation lui servait d'exutoire sexuel, pour se prouver à elle-même qu'elle pouvait lutter et se masturber entièrement nue contre un mec tout en le tenant en respect et sans lui
céder. Comme je ne suis pas bien costaud elle a gagné son pari ! Je n'ai jamais pu lui faire l'amour, finalement, même si nous nous sommes souvent fait jouir mutuellement.
Et puis un beau jour elle est partie, et je ne l'ai jamais revue. J'ai pris une dernière photo d'elle, vue de dos et entièrement nue, s'en allant pour toujours... Ah ! qu'est-ce que je la regrette,
ma petite Amazone !"
Dans le précédent article, on parle ducas de l'homme vaincu par son épouse. Mais il y a aussi le cas du jeune garçon battu par
une fille et qui en est marqué à vie.
Je cite ici le dernier témoignage posté par
Beatenboy dans la rubrique des commentaires :
"Ayant été battu, en cours d'EPS à la lutte, par une fille plus jeune que moi, je suis devenu un garçon soumis aux filles. Julie m'a flanqué des dérouillées tous les mercredis après-midi et
j'y prenais plaisir."
La question reste de savoir si l'on est d'autant plus marqué psychologiquement par l'expérience de cette défaite qu'elle est intervenue d'autant plus tôt dans la vie du garçon (dans
l'enfance, l'adolescence ou l'âge adulte). Je pense que oui.
Le dessin d'illustration est ici dû à Edmundo Marculeta, et a été publié naguère par les soins d'Eric Stanton.
Sous le titre "Epouse trop forte", un lecteur assidu de ce blog, Défait, m'a fait parvenir le récit qui suit et que je publie volontiers comme constituant un témoignage de plus venant d'hommes
dominés par leurs femmes sur le terrain de la force physique. Pour illustrer son récit, Défait et moi-même avons choisi un dessin d'Eric Stanton.
Aristote
Epouse trop forte
J'ai été vaincu par mon épouse.
Tout d'abord je dois préciser que je ne suis pas une mauviette sans être une armoire à glace. Je suis plutôt un type lambda.
Mon épouse est un peu plus petite que moi mais quand même grande pour une femme, et surtout elle possède une force naturelle incroyable.
Elle a toujours été forte, elle battait les garcons à l'école, mais je ne me serais jamais douté qu'elle serait plus forte que moi.
Elle pratique beaucoup de sports, comme l'escalade, le tennis tous les week-ends, et elle a été une nageuse de très haut niveau (elle continue à nager).
En fait, j' ai été vaincu par elle une seule
fois.
Lors d'une dispute nous nous sommes emportés, on s'est empoignés, et une vraie bagarre a éclaté.
Nous n'étions plus dans notre état normal.
On a fini à terre et elle a gagné le combat. Elle m'a immobilisé sous elle en maintenant mes bras sous ses genoux. Nous étions tous deux très essouflés.
Je me suis débattu quelques minutes en lui criant de me lâcher, mais elle a seulement repondu qu'elle le ferait quand je me serais calmé.
J'ai arrêté de me débattre, et j'ai annoncé que j'étais calmé. J'étais vaincu, je reconnaissais ma défaîte, alors elle m'a laissé me relever.
Elle a juste dit qu'on devrait oublier cette dispute mais que la prochaine fois que je lèverais la main sur elle, "elle me casserait la figure" : cela était dit très calmement.
Cet épisode a changé beaucoup de choses pour moi. Mais de son côté, elle fait comme si de rien n'était.
Quant à moi, j'ai été terriblement choqué et humilié par ma défaite, mais aussi prodigieusement excité. Je n'arrête pas de repenser à cette bagarre où elle m'a battu. Des fois je me dis même que
j'aimerais tenter d'avoir ma revanche.
Mais pour elle ce n'est pas à refaire et ça ne l'a pas excité. Elle n'en reparle plus, c'est tout. Elle doit penser que j'ai compris une bonne fois pour toutes.
Dans un récent courrier, l'adorable - et redoutable - Anne Hurricane nous annonce une prochaine rencontre qu'elle espère bientôt organiser avec des lutteuses.
En soi, l'idée d'un nouveau meeting avec de fortes
femmes est absolument exaltante.
On se sent comme transporté d'enthousiasme, vraiment !
Ce genre d'occasions rares de vivre des expériences nouvelles est vraiment de nature à remonter le moral, cela agit comme un ballon d'oxygène dans les vies ternes de beaucoup d'entre nous et j'en
connais qui ne rateraient cela pour rien au monde.
C'est pourquoi je me fais l'interprète de beaucoup pour féliciter Anne de cette initiative et lui prodiguer tous nos encouragements.
Je cite le message d'Anne "vous pourrez rester avec nous durant tout le week end
et prendre vos repas en notre compagnie". Dans la version anglaise : "you may stay with us and have your dinner with the girls".
Mmmh ! L'idée n'est pas nouvelle à vrai dire (cf. photo ci-contre), mais elle est pleine d'intérêt.
L'idée de savoir qu'on est "attendu à table",alors même qu'on est en train de se faire dominer au sol par une jolie lutteuse, est bien excitante ! Savoir qu'on ne va pas se séparer comme ça, non,
il y aura une suite à cette empoignade, on pourra partager un peu de sociabilité avec elle et d'autres filles, voilà qui est fort convaincant.
S'agira-t-il de "vrais" repas ?
Je me permets de poser cette question à Anne, car il y a des précédents...
Ainsi, la célèbre Robin, lutteuse mondialement connue et fort appréciée d'ailleurs : dans un premier temps, elle fait semblant de se rendre dans la cuisine dans le dessein de vous apporter à
manger, et puis dans un deuxième temps, elle se contente de s'asseoir sur votre figure pour ne vous donner à brouter que son postérieur ! Et on sort de là en ayant toujours faim !
Mais reportons-nous au site d'Anne pour en apprendre davantage. Voici ce que je lis, sur l'intéressante page d'accueil d'annehurricane.com :
"De nouvelles victimes vont être testées mi-mars à Paris. J'aurai le plaisir de découvrir deux volontaires prêts à subir mes moqueries et mes coups, souffrir dans mes ciseaux et étouffer sous
mes fesses lol je me réjouis de vous faire partager tout cela.
N'oubliez pas de me faire part de vos suggestions autant pour les vidéos que pour ce site. Le forum est ouvert à tous ... c'est l'endroit ad hoc pour discuter et partager alors ne soyez pas timides
:-) "
Il est vrai qu'Anne n'en est pas à son "coup"
d'essai, si je puis m'exprimer ainsi.
Il y a plusieurs années qu'elle nous dit "aimer le bruit que font les noisettes", sans doute son plat préféré...
Anne a raison !
Ne soyons pas timides, voyons !
Venons tous au prochain tournoi d'Anne ! venons y "manger", car il y en aura pour toutes les faims hurlantes, pour tous les appétits dévorants
!
En surfant sur youtube comme j'ai coutume de le faire, je viens de tomber sur plusieurs vidéos assez excitantes où ces messieurs n'ont clairement pas le dessus mais sont dominés par
d'intéressantes lutteuses.
Ces vidéos sont un peu "hors norme", ce qui me conduit à en faire un petit article spécial. D'abord par leur durée et le contexte flou de leurs très récentes mise en ligne (qui peut faire craindre
qu'elles soient rapidement retirées pour des questions de droits, comme ça se voit très souvent). Je conseille donc aux amateurs d'y jeter un oeil sans trop tarder... Vos commentaires seront
appréciés.
Ainsi, ce clip avec Paloma Parra YouTube - Paloma Parra
qui dure près de 8 minutes
(j'aime bien comme elle lui applique la main...)
Cet autre de plus de 4 minutes avec une Amber de Luca aussi puissante que bonne dominatrice :
Jetrouve
que ces dames montrent beaucoup de conviction et d'originalité dans la manière dont elles exercent leur domination sur leurs (infortunées ?) victimes.
J'apprécie aussi la tonicité et la pugnacité de Ziggy, une lutteuse expérimentée qu'on voit trop rarement et dont voici une intéressante apparition :
On tape à la
porte...
- Bonjour Monsieur ! je suis enchantée de faire votre connaissance !
- Enchanté moi aussi, Mademoiselle... (Dieu, qu'elle est grande et bien bâtie !)
- Je viens pour la leçon de lutte, c'est bien ici ? (Comme elle est souriante et affable, charmante, vraiment ! mais ça cache quelque chose, ça...)
- Oui, c'est bien ici, entrez donc Mademoiselle, faites comme chez vous ! YouTube - www.grapplinggirls.com trailer 5
Une sorte de "combat" s'engage, donc, mais un combat par trop inégal où le pauvre garçon ne fait visiblement pas le poids...
Mais n'est-ce pas en cela que réside tout le charme de ce type de rencontres ? d'ailleurs on y revient : YouTube -
www.grapplinggirls.com trailer 6
L'enjeu pour la mauviette - comme je me suis permis de le rappeler dans le premier article consacré à ce sujet - c'est le lit de la puissante et "divine" Amazone :
Petit problème : on reste parfois bloqué au niveau de la pelouse, sans même pouvoir pénétrer dans la demeure de l'Amazone...
D'autres dames sont apparemment plus accueillantes, comme cette tigresse qui vous convie à un combat sans espoir, chez elle sans doute, mais sur son tapis de lutte. Il s'agit donc d'un entraînement
sportif et seulement de cela : YouTube - La Tigra
Une épreuve douloureuse, car elle ne plaisante pas, la tigresse... La douleur, la souffrance, c'est ce qui relie le sport dur à certains fantasmes masochistes.
D'autres encore, plus subtiles, ne refusent pas l'accès au lit en tant que tel...
Cette grande et sévère fille a une certaine pratique de ces choses, semble-t-il... elle sait admirablement doser puissance et sensualité dans l'étreinte de python de son ciseau de jambes combiné
avec un étranglement mi-tendu, mi-relâché, et des chuchotements assassins dans l'oreille de sa "victime".
Finalement, le plus simple n'est-il pas de devenir le petit ami attitré de l'une de ces
étonnantes gaillardes ?
Alina, plus féminine que jamais, s'est joliment maquillée pour la Saint-Valentin. C'est alors qu'arrive son amoureux nanti d'un bouquet de fleurs... Aïe ! le bouquet semble décevant ! YouTube - Huge muscular girl kicks her boyfriend's ass
S'ensuivent quatre longues minutes (c'est la durée un peu "hors norme" de ce clip, ne nous étonnons pas s'il disparaît pour violation de droits), quatre minutes de punition dans la chambre de
l'aimée, ce qui permet à notre homme de goûter le plaisir de se retrouver dans les bras musculeux et accueillants de la belle Alina. Ah ! quel bonheur dans ces défaites dégustées en contact
proche avec ces gaillardes !
Bien entendu, les défaites que nous infligent nos "petites" épouses sont tout aussi cuisantes et... agréables, n'est-ce pas Amphitryon ? mais quand on voit des vidéos on ne veut pas y croire, on
pense que c'est du chiqué quand une femme de gabarit modeste met la raclée à un type en surpoids (tandis qu'ici personne n'a de doutes, n'est-ce pas ?) et pourtant...
Dans les années 60, le metteur en scène mexicain René Cardona a réalisé toute une série de films fort intéressants à la gloire des catcheuses ("las luchadoras"), avec en vedette la très belle
Lorena Velazquez, flanquée de la sculpturale Elizabeth Campbell dans le rôle de Golden Ruby. On peut voir intégralement l'un de ces films sur youtube et c'est très plaisant pour les amateurs de
catch car la technique et le dynamisme sont au rendez-vous, avec moins de vulgarité que dans le catch actuel :
Or on constate que revient souvent dans ces films le thème des
relations amicales, amoureuses, ou hostiles, des catcheuses et des hommes, et notamment celui de la puissante catcheuse avec un homme plus petit et plus faible qu'elle.
Par exemple ici, la belle Golden Ruby écrase la main de celui qui deviendra peu à peu son "amoureux" dans le film...
Cela se passe à 2'30 dans la quatrième partie : YouTube - Las Luchadoras vs El Asesino 4 de 9
Après cet
épisode
douloureux pour les phalanges de notre homme, voici encore deux photos sur la manière dont elle le soulève pour le mettre à niveau, car elle l'aime bien, au fond......
A gauche
nous voyons qu'elle en vient à lui vouer une sorte de tendresse maternelle, tandis qu'à un autre moment, elle interrompt un combat sur le ring pour faire une longue et très douloureuse clé de bras
à un individu louche.
Les spécialistes de cette série de films disent que le plus intéressant est celui intitulé "Las Lobas del ring", dont une copie est détenue par YouTube - Chaîne de EPOCAdeORO (cf. les commentaires sur la chaîne, plus bas sur la page), lequel va donc
peut-être le mettre en ligne sur youtube.
véritablement très riche en photos excitantes !
Pour une fois, explique-t-on, dans "Las Lobas del Ring" (1965) René Cardona nous fait grâce du spectacle grandguignolesque de monstres, martiens et autres momies, il se concentre sur le catch
féminin d'une part, et sur les rapports de force entre catcheuses et mauviettes d'autre part, thèmes que nous affectionnons tout autant que lui !
Attendons donc que quelqu'un nous mette ce film en ligne sur youtube ce qui, peut-être, ne tardera guère grâce à EPOCAdeORO.
C'est une histoire qui remonte pas mal dans le temps et qui, sans doute, mériterait d'être actualisée au travers de témoignages plus récents.
C'est l'histoire d'un Français, Paul, se prétendant "célibataire" et "libre" et qui se cherche une amie dans le milieu des arts martiaux. Après bien des déboires en France avec quelques sportives
bien de chez nous - mésaventures sur lesquelles nous ne nous étendrons pas - il vient à notre homme une idée lumineuse. Les arts martiaux ne sont-ils pas nés en Orient ? Alors pourquoi pas se
tourner vers une Asiatique ? La mode était d'ailleurs lancée depuis quelque temps en Europe d'aller chercher l'âme-soeur en Extrême-Orient, alors pourquoi pas lui ? C'est pourquoi nous
l'appellerons Paul Asiatophile. Mais lui ne voulait pas d'une femme ordinaire, il lui fallait une championne en arts martiaux !
Une agence propose ses services.
On prospecte pour son compte en Asie, donc. On lui signale une dame dans sa tranche d'âge, désireuse d'entrer en contact avec lui, et qui lui fait parvenir deux photos pour se présenter. Cette dame
cherche à refaire sa vie avec un Occidental.
"Mmm...oui, pas mal, mais enfin sans plus !" répond Paul. En fait, outre son aspect intimidant, cette mégère avec son chignon ne correspond pas exactement au profil qu'il a en tête de celle qu'il
recherche.
Car cette amie asiatique - il reste hélas bien flou sur ses intentions précises : car enfin, veut-il se marier ou simplement une fréquentation ? -, finalement, après réflexion, il ne la
souhaiterait pas précisément dans sa tranche d'âge !
"Vous n'auriez pas une fille jeune et sexy ? avec des cheveux longs et dénoués ? une pratiquante en arts martiaux, bien sûr..."
L'Asie est, comme chacun sait, un continent très
peuplé, et on lui trouva sans peine une jeune femme qui semblait correspondre à ses souhaits.
Ce n'est pas deux, mais trois photos qu'il reçut de cette candidate à faire sa vie avec un Occidental, trois photos jointes à une lettre où elle se plaignait du machisme régnant dans
son pays. Cependant, elle s'entraînait avec des hommes.
La devise de cette charmante enfant :
"Mon coeur est à prendre... mais mon corps est à respecter !"
Ses partenaires d'entraînement préféraientque leur visage reste flouté ou carrément coupé sur les photos.
Elle se cherchait un Occidental "non macho" et espérait que Paul Asiatophile corresponde au profil recherché !
Pour des raisons que notre ami ne souhaite pas expliciter, il se déroba également à cette offre de rencontre !
Quelques mauvaises langues - en particulier ses "ex"- sussurrent qu'en fait ce type n'a jamais bien su ce qu'il voulait dans la vie...
Ce témoignage isolé mériterait d'être recoupé avec d'autres. Car si des études sociologiques existent sans doute sur les rapports entre homme occidentaux et femmes asiatiques, aucune, à notre
connaissance, ne s'étend autant qu'il conviendrait sur le cas particulier des femmes asiatiques qui se sont entraînées à contester la domination masculine sur le terrain du combat
physique.
En surfant sur Internet, on trouve maintes illustrations de ce fantasme - dont nous avons déjà parlé sur ce blog - qu'ont certains hommes petits et plutôt faibles de
prétendre se mesurer à d'imposantes amazones, à des gaillardes qui les dominent d'une tête et sont de toute évidence d'une force physique très supérieure à leur ridicule prétendant.
Un canal youtube est, avec une dizaine de clips, entièrement consacré à ces affrontements d'un homme petit et d'une princesse asiatique qui apparaît telle une forteresse
inexpugnable.
Notre photo vient du clip YouTube - amazing asian amazon 016
extrait du canal YouTube - Chaîne de aaapigmon
On notera le lit en arrière-plan. Le lit de la princesse des contes du folklore, trop grande et trop forte pour ses prétendants, tel est de toute évidence l'enjeu !
Comment expliquer ce fantasme ? Pourquoi ces minus ne se contentent-ils pas de courtiser plus raisonnablement des femmes de gabarits ordinaires et davantage à leur portée ?
Voici encore un petit Japonais malingre qui va ambitionner de conquérir une sculpturale compatriote. Mais celle-ci, lui imposant diverses épreuves dont une sorte de combat de sumo, le jette
et le rejette au sol sans aucun ménagement :
Le lit reste l'enjeu, bien sûr... mais en attendant notre pauvre mauviette s'en "sert" tout
seul... comme d'un pauvre secours dans une lutte perdue d'avance.
Dans un troisième clip, on en apprend un peu plus sur elle et on la voit porter le minus sur ses épaules :
YouTube - TALL WOMEN CHIAKI : 6'2'' FEET 200LBS
Quel est donc ce besoin de se colleter à des géantes dans l'espoir fou de les "conquérir" ? Ces mauviettes ne devraient-ils pas laisser à d'authentiques héros masculins la tâche d'apprivoiser
ces mégères et de les soumettre comme l'ordre patriarcal de nos sociétés le commande ?
Nous avons peut-être une réponse dans les rapports, en un sens plus "complets", d'un troisième larron avec cette "Amazonia de six pieds de haut" (soit 1m 83 si je ne me trompe).
Dans un premier clip, nous le voyons se faire
gentiment soulever et promener par la puissante jeune femme (dont, en passant, on appréciera non seulement la taille mais aussi la musculature, ce qui n'est pas toujours le cas avec les
géantes), passe-temps amusant et dont on trouvera maints autres exemples - sous la rubrique "lift and carry" - ailleurs sur youtube : YouTube - 6ft Amazon
Mais dans un autre clip, la belle a accepté une séance de lutte au sol avec son
prétendant : Elle l'étreint très vigoureusement, combinant un ciseau de jambes qu'on devine crucifiant avec une prise de l'ours non moins suffocante : YouTube - Amazonia scissors
Les deux clips ne sont pas d'une très grande qualité technique, mais c'est leur association qui est intéressante.
Après plus d'une minute de cette position où le garçon est "étreint" et "embrassé" vigoureusement, comme tout honnête homme le mérite, il sort de là en piètre état, cassé, souffrant des
côtes. Vaincu par la trop vigoureuse Amazonia, il a quand même eu ce contact très proche lui permettant d'apprécier pleinement la force physique de la fille, de la ressentir dans l'intimité de sa
chair souffrante, et c'est, évidemment, une première étape vers l'éventuelle "conquête" de son lit, un premier espoir qu'elle se "donnera" un jour pour des joutes érotiques qui promettent d'être
encore plus mémorables.
Ce rêve que je viens de vivre m'intrigue autant qu'il m'embarrasse. Il est sans doute la conséquence de la lecture de cet excellent roman, "Comme les deux doigts"... J'ai dû inconsciemment
mélanger les personnages féminins du roman. Il y avait quelque part cette "beauté slave nymphomane" qui, sans doute, devait revenir peupler mes nuits, mais aussi et surtout cette dangereuse
Sandra, experte en jiu jitsu et en lutte érotique, cette Sandra "aux muscles noueux", dont les cheveux sont décrits comme "noués en une natte".
Ce rêve
que je viens de faire se passe quelque part en Russie,
où je rends visite à une sorte de beauté slave, en fait c'est une jeune athlète russe, je ne
sais pas trop quel sport elle pratique...
Elle fait beaucoup de musculation, arbore des muscles noueux, et ses cheveux blonds sont noués en une très belle natte.
Elle m'accueille chez elle, et alors la voilà qui se met à
prendre des poses devant
moi, exhibant des biceps, de puissantes épaules, de superbes dorsaux.
Elle m'autorise à caresser ses bras
tout en menaçant
de me casser la figure si je lui manque de respect.
Avais-je l'intention de la prendre en photo ? je ne sais plus, mon souvenir de ce rêve se brouille, c'est bien possible que j'aie cru malin de sortir de ma poche mon petit numérique, une courte
lutte et elle me le subtilise.
Et alors un renversement se produit, car c'est elle qui, sans crier gare, me prend en photo !
avec cette menace :
- cette photo de toi, je la garrrde !
- non, Sandra, rends-moi cet appareil !
- je la garrrde comme prreuve !
Alors je commets l'imprudence de hurler cette phrase terriblement compromettante
NON, SANDRA, JE T'EN SUPPLIE, PAS DE PREUVE !
Je me réveille en sursaut. Ma redoutable épouse m'a expédié un coup de coude dans les côtes et je souffre horriblement. Elle me demande des comptes : "Alors tu rêves à haute voix, maintenant ? qui
est cette Sandra ? avoue ! de quelle preuve te menace-t-elle ?"
Embarras du pauvre Aristote. Comment expliquer à mon épouse qu'en fait il n'y a pas une Sandra dans la réalité, mais deux fictives et distinctes, une brune, celle du livre, et une blonde,
celle du rêve. Mais comment la convaincre que Sandra n'est pas une maîtresse avec laquelle je la trompe ?
Là-dessus je me prends une raclée et je vous passe les détails...
Un aimable correspondant, dont l'adresse est "funwrestling arobace yahoo point com", avec lequel je suis en correspondance depuis quelque temps, me signale la parution récente d'un roman, "Comme
les deux doigts", aux éditions Publibook, qui lui a beaucoup plu. Avec son accord, je publie ici volontiers son mail, car il me semble que vous y trouverez un certain intérêt. L'article qui suit
est donc signé de funwrestling et non de moi-même, mais j'y ai ajouté des extraits du roman transmis par funwrestling - un peu dans le désordre, pas de manière chronologique - et je les ai
illustrés en puisant dans mes archives (les photos sont données sans références précises parce que je ne les ai pas notées, elles sont issues de vidéos de lutte mixte, si les propriétaires de ces
vidéos veulent que j'ajoute les références de la vidéo ou de la lutteuse pour telle ou telle photo, il n'y aura aucun problème).
Aristote
Je viens de lire un roman très divertissant dont je souhaite vous faire part ici, car il contient des scènes de
lutte érotique. C'est un roman contemporain : l'histoire d'un trentenaire, de ses amours, de ses rencontres par Internet, de ses angoisses, bref de sa petite vie. L'écriture est fluide et
agréable, et l'histoire est pleine de rebondissements.
Alors voilà, c’est l’histoire de Nicolas Gamution, un cadre marketing d’une trentaine d’années, le portrait type
du mâle urbain et technologiquement branché de ce début de 21ème siècle. Alors qu’il rentre de sa journée de travail et s’apprête à fêter son anniversaire – qui tombe le jour de la St
Valentin – Nicolas trouve en guise de cadeau de la part de sa compagne une lettre de rupture sur la table de la salle à manger. Dans les placards et la chambre, tout est retourné, comme si un
cambriolage avait eu lieu. Ses affaires gisent pêle-mêle tandis que celles de Lara, sa compagne, ont été emportées.
Dès lors, Nicolas connaît une descente aux enfers, une plongée dans la dépression la plus noire. Mais c’est
pourtant un geste des plus anodins – un clic sur la banderole publicitaire d’un site de rencontres en ligne – qui le sauve d’un suicide programmé. Malgré lui, son inscription sur le site de
rencontres l’entraîne dans une véritable aventure sociale. Sur sa route, Nicolas va rencontrer une ribambelle de personnages tous plus extravagants les uns que les autres : un pré-adolescent
déjà obsédé par le sexe, une jolie princesse des cités qui ne s’exprime qu’en langage texto, un collègue homo aussi gentil que licencieux, un directeur despote, une écrivaine aussi loquace qu’une
huître fermée, une beauté slave nymphomane, un livre doué de parole et fan de bouddha, sans compter Sandra. La belle Sandra, femme charismatique, imprévisible et cultivée au charme renversant,
mais en même temps experte en ju jitsu et lutte érotique, avec quelques tendances dominatrices.
Un soir, elle entraîne Nicolas dans le dojo particulier de son appartement parisien. Le lendemain matin, il ne
peut que repenser à cette nuit passée aux côtés d’une “femme serpent au physique de panthère” qui lui a enseigné l’art du judo sensuel en tenue légère tel qu’il se pratique dans les clubs
privés.
Elle
n’acceptait pas d’être dérangée pendant ses changements de tenue. Un signe de plus qui me confirmait le sérieux de ses motivations. Elle réapparut avant que je n’aie eu le temps
de m’inquiéter du temps qui défilait, vêtue d’un micro-string et d’un micro-soutien gorge noir qui ne cachait
que l’essentiel.
Ses muscles noueux se dessinaient sous la peau au moindre mouvement. Ses magnifiques cheveux bruns noués en une
longue natte la rendaient encore plus sexy. Un vrai look de catcheuse qui ne facilitait pas ma concentration.
Mais un instinct mâle et récalcitrant,
hérité des tabous sociaux datant de la nuit des temps, me commandait
de me hisser de toutes mes forces sur le rivage et de défendre ma virilité.
Je tentai de me dégager, mais à peine
avait-elle deviné mon intention qu’elle banda davantage sa musculature sans faille.
Elle avait neutralisé ma tentative avec une facilité déconcertante et me rappelait à mon
rôle de proie.
Le tiraillement de mes jambes écartelées fit naître sur mon visage une grimace qui annonçait ma proche
reddition. L’impression d’être coincé dans un grand écart douloureux. Son Mont de Vénus écrasait mon sexe gonflé jusqu’à provoquer mon gémissement.
Extraits de "Comme les deux doigts"
(C. Simard, Editions Publibook)
Je nevous en dis pas plus pour ne pas vous gâcher la lecture, car l’intrigue en vaut la peine. Mais l’on peut dire que Nicolas découvre la lutte mixte comme
beaucoup d’entre nous aimeraient l’avoir découverte. « Comme les deux doigts » est un roman qui intéressera aussi bien les hommes fans de lutte mixte et féminine, que les lutteuses
professionnelles ou amateurs (c'est tellement rare que des écrivains parlent d'elles). Et puis, ce roman peut constituer un joli cadeau à offrir à ces demoiselles à qui vous voudriez faire
découvrir la lutte en toute subtilité. A bon entendeur, vous pouvez le trouver aux éditions Publibook (http://www.publibook.com/boutique2006/detail-4241-PB.html). Je crois que l’auteur peut également être contacté sur
FaceBook.
:
Ma compagne et moi-même pratiquons la lutte mixte, ou "mixed wrestling". Elle est une redoutable championne et me fait goûter les plaisirs douloureux d'une forme musclée de domination féminine.
Chers lecteurs, quels sont vos articles préférés ?
Vos commentaires sont les bienvenus.
Pour toute correspondance,
écrire à
h5315335 arobace yahoo.fr votre message me parviendra par mail et je ne manquerai pas de vous répondre.
Aristote
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