Le thème des confrontations debout a déjà été traité dans ce blog, en particulier dans un article dont le titre était Confrontations debout et qui rassemblait quelques dessins de provenances diverses, mais je voudrais ici enrichir le sujet avec quelques apports récents.

La première "confrontation debout" à laquelle on pense entre un homme et une femme est celle où il est en présence d'une femme plus grande et plus imposante que lui.

Dans le passé, on pense à la célèbre Kate Brumbach (1884-1952), alias Sandwina qui se montrait  capable, semble-t-il, d'extraordinaires numéros de force dans des cirques et music-halls.

On ne la guère vue lutter contre des hommes, mais aujourd'hui les confrontations sont souvent plus "physiques" et mettent à mal l'orgueil masculin.

Dans l'univers des dessins, ce thème a été souvent illustré par Eric Stanton :

En fait, la production de Stanton remonte aux années 80...

Mais aujourd'hui, il y a du nouveau. Une source très riche d'histoires dessinées est le site

amysconquest.com, un site Web qui s'enrichit constamment.

Par ailleurs, un nouveau venu dans le monde de l'histoire dessinée est un russe nommé Alessandro qui est un virtuose de l'image 3D, dont voici le site, de création récente : muscle girl 3d graphics .

Cet artiste a en particulier illustré l'histoire de la princesse Katun, dont on connaissait jusqu'ici la verson "Robin Ator" dans LH-ARt   Le mariage de la princesse Katun

Il y a de très belles confrontations debout dans l'histoire de Katun revue par Alessandro :

Katun cache bien son jeu, car elle est constamment en train de tester son amoureux (lui-même costaud et valeureux) et de lui faire subir des agressions (d'ailleurs violentes et sanglantes, mais je n'aime pas trop le sang...)

Cet "armlock debout" n'est pas sans nous remémorer un dessin de Stanton :

Notre panorama des dessins de "confrontations debout" serait incomplet sans le site "Girls beat boys" dont nous avons déjà publié trois dessins dans notre précédent article Confrontations debout

En voici deux autres de la même veine :

Nous terminerons par deux vidéos de youtube. On remarquera les similitudes entre le deuxième dessin japonais et cette vidéo : les bras sont levés et verrouillés d'une main par la poigne de la femme, tandis que sa forte jambe droite se lève, le presse et provoque une érection chez la victime masculine :

On ne s'étonnera pas si le clip de cette "Huge woman" est censuré un jour...

NB du 11 mai : Aïe ! déjà censuré ! ça n'a pas traîné, ils ont décidément un problème avec les érections de ces messieurs, même couvertes !...

Nous conclurons avec la mythique Amanda qui, de par sa corpulence, rappelle un peu Sandwina et dont les prestations ne manquent pas d'humour :

il faudrait faire un sondage ? non, j'arrête un peu avec les sondages. En tout cas, les abdos, c'est un truc érotique, ça c'est sûr...

Eh oui ! hélas, ce genre de mauvaise réaction existe, il faut le savoir...

L'amour des femmes douées d'une force musculaire supérieure, capables de battre des hommes, conduisent certains membres de la gent masculine à des expériences de vie à la fois exaltantes et éprouvantes, surtout quand la femme est dominante non seulement physiquement mais aussi par sa force de caractère, imposant sa loi au mâle vaincu.

Cette première histoire était illustrée de dessins remontant au Grand Siècle.

La seconde histoire est plus contemporaine, mais le contenu est fondamentalement le même. Les dessins sont dus ici au génial Eric Stanton. Qui pourrait dire si ces deux-là luttent ou font l'amour ? les deux à la fois, peut-être... en tout cas elle a le dessus, il en bave mais, à travers cette épreuve l'homme vaincu retire certainement beaucoup de plaisir, voire de bonheur, d'un bonheur qui reste sans commentaires : cette deuxième histoire est donc "sans paroles" :

Aristote : Bonjour Paul ! cela fait quelque temps que nous étions sans nouvelles de toi. Alors, que deviens-tu ? toujours à la recherche d’une Asiatique championne en arts martiaux ?

Paul Asiatophile : Oui, sans doute, mais en rêve plus qu’en réalité, n’est-ce pas, tu l’as compris depuis longtemps et tes lecteurs aussi… En ce moment je fantasme sur la force que certaines ont dans les doigts ou dans les poings.

Je ne sais pas ce qui me fait le plus peur : la fille qui s’avance la main ouverte ou celle qui brandit son poing fermé. La première a appris tel ou tel art martial sophistiqué (avec un de ces noms orientaux que je n’arrive jamais à retenir et encore moins à orthographier correctement en français), elle imite les techniques de combat des animaux, sa fine main ne doit pas faire illusion car ses doigts d’acier peuvent faire des ravages sur son adversaire. L’autre fille menace plus simplement de « t’en mettre une » en pleine poire, ce qui n’est guère plus rassurant.

Toi qui fais des sondages, Aristote, voilà une question que tu devrais poser à tes lecteurs : laquelle de ces deux attitudes fait-elle le plus peur ? moi, je suis incapable de répondre, je m’abstiendrais.

Aristote : Pourquoi portes-tu ces grosses lunettes, Paul ? cela ne t’avantage pas beaucoup, je trouve…

Paul : Par discrétion, pour rester anonyme. J’imite cette Japonaise musclée qui domine une mauviette dans une vidéo qu’on peut admirer en ce moment. Si elle porte ces lunettes, c’est sans doute pour qu’on ne la reconnaisse pas, hein ? J’aime beaucoup cette vidéo, surtout le passage où elle domine le gars à la force des doigts. Je t’ai montré ça et tu m’as proposé qu’on écrive ensemble un court « roman photos » de cet épisode, je pense que ce serait le moment de montrer ça à tes lecteurs, Aristote.

Aristote : Bien sûr, c’est pour l’agrément de nos lecteurs que nous avons fait cela, alors voici ce petit « roman-photo » :

Aristote : Voici également la vidéo dont ces photos sont extraites :

Paul Asiatophile : On verra d’autres passages de cette séance de domination sur la chaîne youtube suivante :   chaîne de QuarenForever

En ce qui me concerne, c’est le passage « doigts de fer » qui me plaît le plus, mais on peut en préférer d’autres, chacun ses goûts.

Aristote : Ces extraits mis en ligne sont tirés d’une vidéo japonaise qui est sortie il y a quelques années. Voici une reproduction de la jaquette :

Il y a sans doute un problème de « copyright » à mettre ça sur youtube, mais bon, ce n’est pas notre problème à toi et moi, n’est-ce pas...

NB du 11 mai : les vidéos de cette fille ont été supprimées sur youtube.

A ton avis, quel sport pratique cette fille musclée ?

Paul : Probablement du kickboxing, mais je me demande si par ailleurs elle ne joue pas du piano. En Chine et au Japon, beaucoup de demoiselles dans son genre jouent du piano, c’est très à la mode et ça muscle terriblement les doigts, le piano.

Aristote : Ah bon ?

Paul Asiatophile : Je fantasme à propos d’une pianiste asiatique qui lui ressemble, et dont voici quelques photos.

Je me demande si ce n’est pas elle. Bon, je rêve, là, mais je « voudrais » que ça soit la même personne. En tout cas je rêve d’affronter cette pianiste aux doigts de fer, et quand je vois l’énergie qu’elle dégage sur son piano, là je pense qu’elle me battrait certainement à plate couture si je me hasardais à insérer mes doigts dans les siens pour un test de force. Je me vois sortant de là les phalanges meurtries, tout rouge et tout excité… Je rêve aussi qu’elle me fasse un massage, mais pas le genre sensuel mollasson, non, dans le genre vigoureux, hein, avec des pressions sur les vertèbres, le genre shiatsu. Ah ! mais qu’elle lâche un peu la grappe aux touches d’ivoire de son piano ! qu'elle arrête de lui taper dessus et qu’elle vienne donc jouer son Chopin sur mes vertèbres, mes côtes et mes osselets ! alors ça, ça serait le "pied", si je puis dire…

Aristote : Ecoute, Paul, je crois que tu délires complètement, les demoiselles pianistes et les championnes d’arts martiaux, ça ne va pas ensemble, ce sont deux milieux sociaux très différents, tu sais.

Paul : excuse-moi, Aristote, mais tu as tort, tu te trompes complètement et je te le prouve, regarde un peu cette vidéo-ci, par exemple :

Tu vois bien, Aristote, que ce sont les mêmes filles qui font du piano et des arts martiaux. Dans le cas de cette vidéo, on peut seulement regretter l’écart entre ce qui est promis («Ass kicking beauty») et ce qui est vraiment montré, sans combat mixte hélas, même si cette Elaine Kwan est absolument charmante et, nous n’en doutons pas, certainement dangereuse pour le gars qui voudrait faire joujou avec elle...

Aristote : c'est vrai qu'au moment où le gars l'interviewe on aimerait bien qu'elle lui fasse une petite démonstration en direct et qu'on le retrouve alors, ce blondinet, étendu sur la moquette près du piano, à implorer "mercy"! Mais bon... on ne fait dans cette vidéo que suggérer ce qui se passe sans doute dans l'intimité, de même ce qui se passe dans mon couple, j'en parle mais je ne souhaite pas l'exhiber publiquement...

Au plaisir de te revoir bientôt, Paul, pour une suite à cette passionnante chronique asiatophile!