Vendredi 27 novembre
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12:18
Publié dans : videos en ligne sur le Web (luttes etc.)
Voici l'histoire que m'inspire le dernier paru (ce 25 novembre) des diaporamas de rodut999
dont j'ai déjà parlé ici : quelques beaux diaporamas
Le diaporama est tiré du même film que notre histoire ci-dessus, mais il en diffère notablement parce que même s'il dure 10 minutes, il opère un choix très
différent parmi les images du film : pour moi, la souriante Kim aux superbes bras n'est pas sadique, elle est seulement très forte et fière de l'être. Elle aime montrer à ce garçon qu'elle est
assez forte pour lui contrôler les bras, les manipuler et les retourner comme elle le désire.
Le garçon est un brin masochiste, et s'assume tel. Il est courageux, d'ailleurs, moi je ne proposerais jamais à une bodybuildeuse du gabarit de Kim de me retourner les bras dans le dos et de me
"torturer", j'ai bien trop peur d'avoir mal ! En tout cas, Kim ne fait jamais que répondre aux demandes du garçon et, en ce sens, elle n'est pas sadique.
Voici le diaporama, plus axé sur un contenu sado-masochiste, et beaucoup moins sur les démonstrations de force de Kim :
Le diaporama est remarquable en une chose : il étire le temps et fait paraître très longue la séance de torture ! en réalité la scène qu'il rapporte ne dure pas 10
minutes sur le film, elle est beaucoup plus courte.
Voici une copie du film (j'ose avancer que ma petite histoire introductive lui est plus fidèle que le diaporama, mais je ne demande qu'à en débattre avec mes lecteurs) :
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Mercredi 18 novembre
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14:24
Publié dans : débats d'idées et de société
Un petit détour vers l'Histoire de l'Art nous aidera à comprendre la profonde complicité qui s'établit entre le regard que les femmes posent sur elles-mêmes quand
elles s'observent dans un miroir et celui que nous, admirateurs du beau sexe, ajoutons au leur, comme si nous voulions communier ensemble dans le spectacle de leur beauté.
Notons deux choses : D'abord le peintre ne se contente pas de représenter la femme se reflétant dans le miroir, il en profite pour nous l'exhiber de dos, nue,
superbe, s'offrant à nos regards voyeurs. Selon l'époque et les goûts personnels du peintre, la morphologie de la belle varie sensiblement : préférez-vous des chairs opulentes (ci-dessus à gauche,
"Vénus au miroir", de Rubens) ? ou plus de finesse avec une jolie cambrure ? Bien sûr, celle de Rubens est une costaude capable de se défendre à la lutte, et la solide matrone que peint Manet
ci-dessous pourrait bien être une mégère encore non apprivoisée...
A l'inverse, les autres, à droite, semblent des créatures plus frêles et plus douces, mais ce qu'elles perdent en force musculaire, ne le gagnent-elles pas en force érotique ?
Le miroir est parfois un piège pour la femme. Une jolie femme qui se mire semble souvent insatisfaite et inquiète, comme si toute beauté était fragile,
incertaine, comme si de multiples dangers la menaçaient.
Cette caricature de Thomas Rowlandson (Six Etapes pour Réparer un Visage, 1792) nous en dit long sur le destin cruel de toutes celles qui souffrent perpétuellement de
leur image.
L'époque contemporaine a introduit plusieurs mutations, et d'abord une, d'ordre technologique. Les femmes ont recours à la photographie et peuvent, plus aisément que jamais, s'auto-portraitiser.
Les appareils photo numériques et téléphones mobiles ont dans une certaine mesure remplacé les miroirs et autres psychés.
Mais il y a toujours un témoin de cette contemplation et, par-delà, un public visé. Le témoin n'est plus seulement l'artiste peintre ou le photographe professionnel, c'est la Webcam. Le
public n'est plus seulement celui des expositions de peinture ou de photographie d'art, c'est celui d'Internet.
Une autre mutation vient aussi de la mise en valeur de la musculature, laquelle était auparavant un privilège des modèles masculins. Aujourd'hui, les femmes musclées se savent belles, admirées,
convoitées. D'où cette armée d'Amazones musclées nanties d'appareils photos et de Webcams, ces Amazones qui investissent le Web.
Une femme musclée se regarde, je l'observe, l'admire et, éventuellement, la convoite.
Je suis alors doublement "dominé" par elle. Je le suis par le seul désir qu'elle fait naître en moi.
Je suis également dominé par la belle musclée si la lutte s'engage (amicale ou non, qu'est-ce que ça change ?) et que ma défaite se précise...
Ainsi voyons-nous ici la belle Xana s'admirant
dans son miroir. Deux mains d'hommes se profilent derrière la blonde athlète, deux mains menaçantes, ce sont celles de notre ami Wedge. Que veut-il au juste ? a-t-il perdu la tête ? car il ne vient
pas seulement pour lui proposer un gentil massage des trapèzes, non, l'odieux individu cherche à l'étrangler !
Mais Xana a du répondant et lui inflige une cuisante défaite, qui s'achève par l'humiliation finale : de sa forte poigne, elle plonge la tête de
l'agresseur dans son lavabo rempli d'eau ! (cf. le film ath 270 d'où ces images sont extraites)
Une certaine étroitesse de vue sur les rapports entre les sexes pourrait conduire à trouver surprenante l'illustration choisie pour la couverture de l'ouvrage ci-contre. Quel rapport, a priori,
entre le miroir féminin et la position soumise d'Aristote ?
Il y a, certes, peut-être une explication dans le contenu du poème ici traduit, et que je n'ai pas lu, hélas...
Rappelons cependant que si Aristote finit dans cette position, c'est son amour de la beauté de Phyllis qu'il y a conduit. Aristote n'est que l'un des miroirs qu'utilise la belle jeune femme pour
dominer le monde et, c'est bien le cas de le dire, pour "asseoir" sa puissance.
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Vendredi 13 novembre
5
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14:01
Publié dans : récits illustrés
L'histoire qui suit me vient de mon correspondant et ami Bicepsophile. Comme je vous l'expliquais la première fois que je vous ai parlé de lui, il est très porté sur les filles musclées, surtout
quand elles ont des bras avec des biceps, il aime bien leurs épaules, aussi.
On se souvient que cette championne l'avait écrasé du gauche au bras de fer :
La prochaine fois, je tourne la main ! Maintenant qu'elle "tourne la main" sur la photo ci-contre on voit quelle boule
impressionnante elle a pour biceps gauche !! vraiment de quoi régaler notre ami Bicepsophile qui est revenu tout commotionné de cette rencontre, ayant frôlé l'arrêt cardiaque. Mais je plaisante, il
n'est pas si émotif ni fragile que ça, Bicepsophile, et il a entre temps continué ses investigations.
Notre ami n'est pas uniquement fétichiste du gros biceps, il cherche à rencontrer toutes sortes de filles avec de belles épaules, de jolis deltoïdes, des mignons trapèzes, pas forcément
hyperdéveloppées.
En voici deux exemples : une beauté aux
cheveux châtains qu'il a pris en voiture (ah ! le coquin !) et une blonde très tonique des bras et des épaules.
Est-ce que cette blonde est la même que celle dont il m'a raconté l'histoire qui suit, mais il aurait pris cette photo à une autre occasion ? possible...
En tout cas, son histoire, Bicepsophile en est très fier car là, il avait vraiment la cote avec la fille qui l'a accueilli chez elle ! de cette visite il a gardé un souvenir mémorable.
Le récit qui suit est donc de lui, mais c'est moi, Aristote qui l'ai rédigé et vous le livre ici, car si, comme on va le voir, Bicepsophile a le sens du contact et sait prendre des photos, en
revanche il est pas très fort pour écrire.
Récit de Bicepsophile, invité par une fille "drôlement musclée" :
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Mercredi 4 novembre
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11:15
Publié dans : récits illustrés
On se souvient de ce Français, Paul Asiatophile, qui cherchait une compagne asiatique (petite amie ou épouse, on verrait bien, disait-il...), avec une préférence pour les filles pratiquant les arts
martiaux. J'ai déjà parlé de ce courageux garçon dans mon blog et renvoie à l'article suivant : A la recherche d'une
Asiatique
Nullement découragé, Paul continue ses prospections dans divers pays orientaux, insistant auprès de ses aimables correspondantes pour qu'elles lui envoient des photos montrant leur goût pour "le
combat fille contre garçon", comme il dit dans son anglais : 'fight photos, preferably girl versus boy'.
Prudent comme la "Jeune Demoiselle" de Diam's, il a même précisé :
"Si vous pouvez joindre 2 photos... Parce que une, euh, on sait qu'c'est d'la triche."
Une jeune fille qui disait d'elle "j'ai une forte poigne", eut l'amabilité de lui transmettre les deux photos ci-dessus, prouvant ainsi tout son savoir-faire quand elle est confrontée à un garçon !
Hem ! cela fait réfléchir...
Une autre s'est présentée comme "catcheuse mixte" et lui a donc envoyé deux
photos d'elle en activité sur un ring. Aïe !
Une troisième demoiselle lui a envoyé ces deux photos-ci, qu'il juge inquiétantes (d'abord elle ne traduisait pas le texte sur la photo de droite, et puis cette grille en arrière-plan : une cellule
pour sa victime ?)
Une
quatrième a fait preuve d'originalité en envoyant une photo + une vidéo ! la photo ci-dessus était on ne peut plus rassurante, tout-à-fait le profil de la douce Asiatique telle qu'on se
l'imagine...
La vidéo, c'est un tout autre genre...
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Une cinquième s'est présentée à lui comme
"volontiers nudiste, par goût pour le simple appareil" et aussi "judokate confirmée, bonne
technicienne,
mais dépourvue de kimono ! Ah ah !".
Elle a également précisé que s'il voulait combattre avec elle, lui aurait droit à un kimono, car les hommes faibles, c'est
bien connu, sont très pudiques et bien vite effarouchés...
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Une sixième, également judokate et aimant elle aussi enchaîner les projections (sur un ring pour que ça fasse plus de bruit !), a défendu le point de vue
exactement inverse : elle exigeait de ses adversaires masculins qu'ils se dénudent tandis qu'elle garderait bien sagement son kimono. D'autre part elle se garderait bien de poursuivre le
combat au sol comme on doit en principe le faire en judo, reprendrait ses distances après chaque projection et éviterait autant que possible les contacts proches...
Paul n'a pas trop aimé cette "approche"-là...
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Une septième, encore une judokate, lui a promis une "sacrée séance"...
Avec kimono?
mmoui, elle aurait un kimono, "au moins au début", précisait-elle. Ah bon ?
La photo était assez évocatrice... il s'est demandé si cette "séance" dont elle parlait n'était pas plutôt une "session" au sens où l'entendent les professionnelles...
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Quant la huitième candidate est entrée en lice, il n'eut plus aucun doute : celle-là, oui, c'était une professionnelle, et d'ailleurs même pas forcément une
fille forte en arts martiaux, juste une petite nana sadique comme on en voit tant de par le monde.
Mais cette fille ne le laissait pas pour autant indifférent. Ah ! ces charmants petits fous-rires pendant que le mec en bave et souffre, elle était
craquante, elle le rendait fou !...
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Pour revenir à plus de sérieux dans son approche (car c'est à une fille vraiment capable en arts martiaux que notre homme aspire), les invesgitations de Paul
Asiatophile se sont poursuivies dans le milieu des filles expertes en self-defense.
Avec cette neuvième personne, il s'est rendu compte qu'un nombre impressionnant de représentantes du beau sexe en Asie s'exercent dans cette direction, sans doute avec la volonté de se faire
respecter d'hommes qui les ont longtemps traitées en êtres de seconde zone.
Car tout cela n'exclut nullement la dimension de plaisir pour un garçon qui sait pleinement savourer sa défaite. Cette dixième fille est à retenir !
Bien entendu, après les dix contacts dont il nous a rendu compte dans le cadre de cet article, les investigations de notre ami Paul Asiatophile se poursuivent. Il faut dire qu'il est d'un caractère
indécis, partagé qu'il est sans cesse entre son espoir et sa crainte de souffrir quand il sera véritablement aux prises avec une femme aussi désirable que dangereuse.
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Mardi 3 novembre
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Publié dans : videos en ligne sur le Web (luttes etc.)
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Jeudi 29 octobre
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12:43
Publié dans : videos en ligne sur le Web (luttes etc.)
La chaîne youtube de pmfrankos, très active depuis quelques jours, réjouira sans aucun doute ceux qui aiment
les ciseaux de jambes que la lutteuse passe autour du cou de sa victime pour mieux l'étouffer et le faire suffoquer.
Cependant j'apprécie tout particulièrement le corps à
corps de ce garçon faiblard avec une fille évidemment plus forte que lui, mais surtout fine tactiticenne. On voit ici que le ciseau de jambes de la lutteuse lui plaque ses deux maigres bras dans le
dos. Il subit la situation et ne peut bouger, c'est d'ailleurs le titre de la vidéo...
Dans le même temps, elle l'embrasse et le serre contre son coeur, longuement et sans doute amoureusement, car nos copines et nos femmes plus fortes que nous nous aiment vraiment, nous, pauvres
hommes fragilisés par notre faiblesse.
Ah ! quel bonheur que ce spectacle où il est emprisonné, et même s'il a les deux bras retournés, quelle douce prison !
NB ajoutée le 3/11/09 : Hélas la vidéo n'a eu qu'ne vie très brève sur youtube, elle est retirée, et bien sûr nous ne saurons jamais pour quelle raison au juste on
nous prive de ce joli spectacle.
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Mercredi 14 octobre
3
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09:04
Publié dans : débats d'idées et de société
J'ai reçu la visite de mon vieil ami Socrate. Si je ne
fus pas surpris du motif de cette visite, j'ai tout de suite flairé un piège, car derrière un questionnement typiquement socratique, le vieux stratège visait, sans se dévoiler, à me faire avouer
autre chose :
Socrate : Bonjour Aristote ! comment vas-tu, depuis tout ce temps ? je n'irai pas par quatre chemins et te poserai tout de suite la question qui m'amène : Aristote, te rendras-tu à Liège pour ce
week-end ?
- Sacré Socrate ! tu ne perds rien pour attendre, homme lige de ta
femme, avec ta question-piège sur Lîdge. J'ai tendance à te répondre d'abord brutalement : nous autres, misérables vieillards, pauvres philosophes, mais qu'irions-nous donc faire à Liège ?
nous qui ne sommes plus aux yeux de nos épouses que de vulgaires sièges ?
nous qui, dans toute décision à prendre,
ne pesons pas plus lourd que des bouchons de liège ?
- Voyons, Aristote, tu ne me feras pas croire que tu n'es jamais allé à Liège !
et ailleurs en Belgique ! car enfin je me souviens parfaitement de tes récits enflammés quand tu rentrais d'une virée chez Dame Béatrice !
- Il est exact que naguère j'ai maintes fois rendu visite à Dame Béatrice de la Goffe en son manoir de la Roche Forte. Plus d'une fois elle m'a fait cruellement mordre la poussière de son tapis.
Elle était entourée de toute une cour d'apprenties lutteuses qu'elle formait au combat. Jamais je n'oublierai Béatrice, ni son inséparable vieux Jean-Michel, d'ailleurs, sorte de trouvère à
dévotion, toujours savourant les victoires de sa Dame et chantant ses louanges.
Mais cela, c'est du passé. Tu sais bien, Socrate, que les élèves de Béatrice (Anne, Nadège, Xana etc.) ont depuis longtemps pris la relève. D'ailleurs, j'ai appris des choses sur toi à ce sujet. On
m'a dit que tu avais épousé l'une d'elles. Mais laissons cela pour l'instant.
- Pas de diversion s'il te plaît ! j'en reviens à
ma question : iras-tu à Liège, à l'invitation d'Anne de la Frappe ?
Et d'ailleurs, es-tu déjà allé à Liège, Aristote ?
Hein ! avoue, au moins !
- Bien sûr que je suis allé à Liège ! Et que j'y retournerais bien volontiers, ne serait-ce que pour y faire du tourisme !
Liège est une ville magnifique, une ville toute chargée d'Histoire. Qu'on songe à Théroigne, cette terrible "Belle Liégoise" de la Révolution Française, qui voulait former une phalange d'Amazones
pour aller régler son compte à Marie-Antoinette !...
C'est une ville qui a toujours su mettre en valeur la Femme
dans les Arts et j'ai mille raisons de me rendre régulièrement à Liège,
pour aller écouter une chanteuse d'exception,
pour assister à un e exposition de bandes dessinées,
ou encore pour admirer les magnifiques statues à la gloire de la Femme qui ornaient jadis - et n'ornent plus guère hélas - les parcs de la
ville.
- Tu sais bien que ce n'est pas de tourisme que je veux parler, mais de l'invitation d'Anne de la Frappe ! elle fait venir des lutteuses, elle nous invite à venir admirer ces filles splendides et
nous mesurer à elles le tournoi d'Anne
- Anne de la Frappe ! mais en combat, quand elle est en forme,
Anne n'est pas qu'un ouragan comme elle se fait appeler, c'est un tsunami ! Les témoignages abondent de mes correspondants et amis :
témoignages d'amis sur Anne
J'ai déjà ma femme sur le dos, je ne me vois pas me colleter Anne et son escouade de lutteuses au nom ronflant d'Hurricane fighters ! Soyons raisonnable, Socrate, sachons accepter la réalité de nos
âges avancés...
- Je n'ai pas dit que j'irais, car je crains, moi aussi, les colères de ma jeune épouse.
- Ah ! tu avoues ! et qui porte la culotte
dans votre couple ? on raconte même que tu es historiquement l'inventeur du pugilat à sens unique ("one-sided") pour endosser le rôle commode de la victime, alors qu'en fait elle serait
parfaitement capable de te démolir même en cas de combat où tu t'autoriserais à donner des coups ? Est-ce exact ?
- Je ne répondrai pas à cette question insidieuse. En tout cas, l'annonce que nous fait Anne de ce grand rassemblement est fort allêchante. Si j'ai bien compris, nous pourrions "prendre nos repas
avec les lutteuses", et nous pourrions même "loger dans le même hôtel" !
- Ah ! je te vois bien, mon pauvre Socrate, t'introduire dans la chambre de quelque robuste fille évadée d'une toile de la peinture flamande, pour observer en cachette la belle en train de frotter
d'huile ses muscles puissants, ou de coiffer ses beaux cheveux.
- J'avoue mon rêve secret que la luronne me suive dans ma chambre pour quelque ébat coquin !
- Mais cesse donc de rêver, mon pauvre Socrate ! n'oublie pas que tu es désormais sous la coupe de Xana, qui t'en fait voir de toutes les couleurs
et n'acceptera pas ton inconduite sans te châtier sévèrement.
- Qu'est-ce que tu racontes là, Aristote ? Mon épouse s'appelle Xanthippe, et non Xana !
- Cesse de mentir, Socrate, c'est bien elle !
elle a gardé le nom "Xana", racine grecque faisant référence à sa blondeur, et elle a simplement rajouté le suffixe "hippe" en rappel de ses grandes qualités de cavalière capable de chevaucher ce
qui se présente à elle, y compris un vieux canasson dans ton genre.
- Bon, admettons, mais où veux-tu en venir, Aristote ?
- Cette conversation a assez duré, Socrate. Pour moi la conclusion est simple :
La décision d'aller à Liège ou de ne pas y aller c'est ton épouse qui la prendra, ce n'est pas toi ! Dans le pire des cas, elle ira à Liège sans toi, Xana ! car elle fait partie de l'équipe
d'Anne de la Frappe, c'est bien connu.
Si jamais elle accepte ta présence, alors vous irez ensemble, bras dessus,
bras
dessous.
La même chose vaut pour moi, d'ailleurs. Je n'ai aucune liberté de mouvement. Phyllis ne me laisserait pas y aller seul.
Car dans nos couples, c'est bobonne qui porte la culotte et décide, tout le monde le sait !
Et c'est vrai d'ailleurs de beaucoup des sympathiques lecteurs de mon blog, qui mènent eux aussi des vies rangées sous la coupe de leurs dragons d'épouses.
Mais je doute fort que ta femme t'emmène à Liège. Xanthippe est connue pour mener une vie indépendante, elle aurait honte de s'afficher en compagnie du philosophe croulant que tu es devenu.
La rumeur court qu'elle te refuse l'accès à sa chambre et te vide des pots de chambre sur la tête...
La vieillesse est un naufrage, mon pauvre Socrate, et nos jeunes épouses ne sont pas seules à nous délaisser.
Ne murmure-t-on pas que tes ennemis dans la Cité complotent contre toi et se préparent à te faire boire la ciguë ?
Dans les épreuves qui s'annoncent, je te prie de croie en ma très fidèle amitié, mon cher Socrate.
Au revoir, et bon courage !
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Mardi 13 octobre
2
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/10
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11:30
Publié dans : récits illustrés
C'est une histoire qui remonte déjà à quelque temps et dont j'ai gardé un souvenir douloureux. Face à une championne en arts martiaux, j'ai toujours eu cette manie de vouloir me battre avec elle,
moi qui n'y connaît rien ! bien souvent je suis sorti de là non seulement vaincu, mais meurtri par la douleur et ce fut encore le cas à cette occasion.
Ce "garçon manqué", plus toute jeune et dont je
tairai le nom, était une sorte de touche-à-tout, très entraînée aux arts martiaux, avec une prédilection pour le karaté, l'aïkido, le jiu-jitsu, le travail sur les articulations...
Par ailleurs elle faisait aussi de la boxe et était redoutée pour son punch.
Elle était très entraînée, très endurante, avec un corps plutôt mince, de poids léger, tout en muscles.
Avec ses poings très osseux, elle aurait pu, dans une boxe à poings nus, faire mal à son adversaire, et se faire mal à ses mains aussi d'ailleurs, et c'est pourquoi elle avait coutume
de mettre des gants et de protéger ses phalanges par des bandes.
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Avec moi elle n'a pas pris de gants quand je lui ai timidement proposé une sorte de "combat". Elle a souri car elle se doutait bien qu'elle n'était pas face à un champion, que je n'étais pas de
taille à l'affronter et qu'elle n'aurait aucun mal à me maîtriser...
A titre de test elle m'a imposé le port d'un kimono et nous nous sommes retrouvés sur le tatami. J'ai remarqué très vite la force de sa poigne. Si elle cherchait à me saisir aux doigts, ce n'est
pas seulement parce qu'elle avait travaillé certaines techniques spéciales que je qualifierais de "vicieuses", mais c'était aussi pour la simple raison qu'elle avait bien plus de force dans les
doigts que moi-même et que ça l'amusait de m'humilier en me tordant les doigts dans tout un harcèlement d'approches et de progressive "prise en main" de sa victime.
Une clef au bras appliquée dans les règles de l'art
m'a fait mettre les deux genous au sol.
J'avais mal partout, dans tout le bras gauche : épaule, articulation du coude qu'elle pressait de sa main droite, poignet, sans oublier mes pauvres doigts qu'elle tordait allègrement de sa main
gauche.
J'ai bien dû taper avec ma main libre pour demander grâce.
Comme on s'en doute, les autres assauts de ce combat inégal se sont terminés de la même manière humiliante par mes cris de douleur.
Mes amis se sont toujours demandés comment il se faisait qu'un type plutôt mollasson et douillet dans mon genre puisse vouloir faire des combats avec ce genre de
femmes. Un masochiste ne devrait-il pas d'abord apprendre à supporter la douleur, à l'endurer ? je ne dois pas être un vrai masochiste...
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Mardi 6 octobre
2
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/10
/Oct
10:44
Publié dans : débats d'idées et de société
L'époque change et le vieil Aristote que je suis constate bien des évolutions.
L'exemple des stars du spectacle est édifiant. Comme tous mes lecteurs, je m'intéresse depuis toujours à celles des stars féminines en vue qui sont de belles sportives, car les autres sont moins
excitantes. Or on n'a pas attendu l'époque actuelle pour fantasmer sur le physique de telle ou telle.
Je voudrais tracer un parallèle entre cette époque bien révolue des années 50 et celle qui marque ce XXIe siècle débutant.
Disons qu'à l'époque, seuls les hommes célèbres, stars masculines de l'écran ou grands de ce monde, pouvaient espérer tenir dans leurs bras l'une ou l'autre de ces sublimes créatures. Nous autres,
ordinaires quidams, ne pouvions qu'en rêver.
Aujourd'hui, les choses ont évolué, on nous montre couramment telle ou telle vedette dans des situations de la vie courante. De plus en plus rares sont les actrices sportives qui n'ont pas encore
tourné de scènes de combats ou de chahuts plus coquins.
Des animateurs télé lambdas, et par conséquent bientôt vous et moi, peuvent à l'occasion bénéficier d'un contact assez proches avec les stars d'aujourd'hui. Je
dis "vous et moi" car enfin ces types, certes très sympas et très marrants je n'en doute pas, n'ont rien de ce mystère, de cette aura qui entouraient les grands acteurs de jadis.
Les vedettes actuelles du showbiz ont perdu, de ce fait, ce côté lointain et inaccessible qu'elles avaient auparavant.
Cette scène bien marrante est visible sur youtube : il faut taper "Madonna" et "lady Gaga", on tombe sur pas mal de vidéos, de copies, dont certaines sont supprimées, tandis que d'autres restent on
line, bref c'est le joyeux désordre habituel généré par d'éternelles histoires de copyright.
Ce spectacle d'étreintes sur canapé à la télé, est-ce tant pis pour le rêve utopique d'un "monde du spectacle" féérique, situé dans son Olympe, coupé du populo ? Est-ce au contraire tant mieux pour
le réel, parce qu'après tout ces femmes sont comme tout le monde, comme votre femme, comme votre copine musclée qui vous ceinture sur votre canapé quand vous regardez un peu trop la télé, justement
? Et parce que finalement, ce réel, ce concret bien juteux qu'on nous exhibe, c'est facile à reproduire et c'est bien mieux qu'un rêve, que ce fantasme impossible à réaliser qu'on avait de se
retrouver dans les bras d'une star à l'époque des années 50?
Qu'en pensez-vous ?
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Lundi 5 octobre
1
05
/10
/Oct
11:15
Publié dans : débats d'idées et de société
Je viens de recevoir le courrier suivant de Wedge, acteur bien connu des amateurs de vidéos de lutte mixte. Nos lecteurs seront certainement sensibles à cette profession de foi, qui montre que
Wedge mène cette activité par passion et non pour s'exhiber ou simplement se faire rétribuer.
"Je me présente, je suis Wedge, homme de 34 ans, et je suis ici pour vous parler de ma passion
qui est toute simple, * le vaincu par elle *.
Voici mon blog si vous pouvez le consulter,
me donner un avis et, qui sait, me mettre dans vos liens.
J'ai déjà fait des apparitions dans votre blog avec Alina Popa ...
mon blog
Et si cela est trop demander de la part d'un homme qui se montre et ne se cache pas d'aimer les femmes musclées fortes, grandes, dominantes...
On me dit "activiste" : combien de femmes et d'hommes n'osent pas affirmer leur amours de la sorte, combien de femmes ne vont pas dans les salles développer leur corps qui ne demande que cela,
combien d'hommes n'osent pas affirmer leur amour du muscle au féminin ?
Ce serait un honneur d'avoir un lien sur votre blog.
Cordialement et encore merci pour votre magnifique blog,
Wedge"
Merci à Wedge pour cette information. Je rappelle à nos lecteurs qu'il a tourné un certain nombre de films pour la firme Athéna, qu'on peut admirer sur cette page
d'annonces :
Athena Fantasy mixed wrestling
et qu'on peut donc acheter si on veut les voir en intégralité, mais qu'on peut aussi de temps en temps retrouver sur youtube dans des extraits courts qui ont
l'avantage d'être gratuits.
Wedge n'est pas du tout notre seule "victime professionnelle", il y en a bien d'autres, tels Steve, Franck, etc.
Bientôt je pense écrire un article et lancer un débat sur nos préférences au sujet de ces acteurs très particuliers qui ont la tâche ingrate de nous représenter, de nous "incarner sur l'écran",
nous, ces innombrables hommes aimant se faire dominer à la lutte par des championnes mais qui ne voulons pas nous montrer publiquement dans ce divertissement sportif qui, pour la plupart d'entre
nous, relève d'une certaine intimité.
En tout cas Wedge a un mérite sur les autres acteurs, celui d'avoir lancé son blog personnel, et je le remercie de nous en avoir averti. J'ai choisi une photo de lui prise sur son blog pour
illustrer cet article.
Aristote
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Vendredi 4 septembre
5
04
/09
/Sep
09:31
Publié dans : videos en ligne sur le Web (luttes etc.)
Des progrès incessants sont à noter dans le domaine de la lutte mixte, et sur plusieurs plans.
D'abord le progrès des lutteuses elles-mêmes, de plus en plus crédibles dans des combats mixtes non truqués qu'elles remportent sans discussion possible.
On le voit chez cette Maria au nom imprononçable, qui était déjà redoutable en 2006 et qui l'est devenue plus encore en 2009 !
Ensuite le progrès d'une pratique banalisée de la lutte mixte, ouverte à tous comme je l'ai déjà noté, et ce dans de nombreux pays. A cet égard les
Russes montrent encore l'exemple, on trouve sur youtube des vidéos de "combats de vacances" très sympas, comme on le voit ici, dans cette ambiance de pique-nique familial :
C'est encore cette Maria qui fait des siennes, alors qu'elle est en vacances en Allemagne. Que n'est-elle donc venue dans notre Hexagone, ce pays qui se targue d'être
recordman du monde en nombre de touristes étrangers !
Hélas, mes chers compatriotes seraient sans doute bien en peine de nous fourmir d'aussi jolies vidéos amateurs de leurs vacances dans nos campings et sur nos plages, où ils auraient
consciencieusement filmé leurs défaites avec des championnes...
Amphitryon a attiré mon attention sur le fait que les combats mixtes non simulés qu'on peut voir sur youtube sont surtout organisés entre jeunes (enfants ou ados). Cela provient surtout du fait
qu'avant la puberté il est plus facile de trouver des filles luttant à égalité avec les garçons. Mais l'exemple bulgare ci-dessous montre une championne en moins de 72 kg affrontant un homme lors
d'une fête populaire :
On voit ici que le gars a beau retirer son maillot, la robuste Stanka le domine nettement !
Dans les pays d'Europe occidentale on reste encore bien timide sur ce plan, les tabous demeurent et le combat mixte reste assez largement confiné d'une part à quelques entraînements dans les
petites catégories en salle (mais sans s'aventurer dans l'organisation de compétitions mixtes... pour ne pas risquer de froisser l'ego des petits coqs gaulois), d'autre part aux chahuts entre époux
ou entre petits amis, et enfin aux "sessions" fort onéreuses avec des professionnelles. De ce fait, le combat mixte reste, chez nous, réservé à certaines catégories de personnes, provisoirement
espérons-le.
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NB. Dans un domaine beaucoup plus "fantasmatique" et donc bien plus tabou, celui de la domination, je viens de modifier l'article sur la gaillarde japonaise Chiaki en y ajoutant des vidéos issues
d'une autre plateforme (cf. ci-dessous).
Correctif (7 octobre) : Aïe ! ces vidéos additionnelles sur la plateforme Veoh ont été supprimées. Désolé, il faut donc, pour l'instant, se contenter des vidéos de
Chiaki visibles sur youtube.
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Jeudi 27 août
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/08
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09:41
Publié dans : videos en ligne sur le Web (luttes etc.)
Gamin, on le traitait de mauviette et, pire, de froussard. Il avait souvent expérimenté le fait que certaines filles étaient beaucoup plus agressives que lui, plus courageuses et dures au mal. Cela
n'avait d'ailleurs pas de lien direct avec la force physique, car certaines de ces filles étaient peu musclées.
On lui parlait de combats improvisés, sans règles précises, des combats entre filles, ou entre une fille et un garçon faible dans son genre à lui.
Des filles se retrouvaient pour se bourrer la gueule de coups de poings, comme ici :
Cela se faisait couramment dans certains milieux et le plus extraordinaire à ses yeux était bien que ces filles semblaient s'amuser, prendre du plaisir à cela, surmonter facilement la douleur des
coups par le plaisir infini qu'elles prenaient à en donner !
Un jour on le convoqua pour un combat mixte et il dut affronter l'une de ces filles, une petite nana du genre pas froid aux yeux, plus petite que lui, nommée Shorty Truong.
Il ne fit pas le poids ! L'assistance était très excitée, comme à un combat de coqs. D'ailleurs on se serait vraiment cru à un combat de coqs, les assauts étaient extrêmement brefs et se
terminaient invariablement par la victoire facile de Shorty et sa reculade à lui, complètement paniqué. Dans ce combat de coqs, il jouait le rôle peu valorisant de la poule mouillée...
Mais enfin il avait nettement pris goût à la chose, car si
la plupart des sportifs recherchent le plaisir de la victoire, d'autres spécimens de l'Humanité aiment goûter celui de la défaite...
Aujourd'hui c'est un homme jeune qui, depuis longtemps, assume son fantasme de se confronter à une boxeuse, quitte à tenter de résister, à essayer lui aussi de donner des coups pour finalement,
et invariablement, se faire battre.
L'une de ses tactiques consiste à rechercher la bagarre avec une fille musclée dont il a entendu dire qu'elle était excellente boxeuse.
Souvent, elle commence par le travailler au corps, pour lui taquiner les côtes de ses coups, l'atteindre au plexus, ou au foie, lui couper le souffle..
(ces deux dessins sont extraits d'une bande dessinée de LH Art en accès libre)
Puis elle l'étend au sol d'une droite à la machoire.
Monsieur voulait la bagarre, il l'a eu!
En général il demande à la boxeuse de bien vouloir
continuer à le frapper une fois au sol, mais ne dit-on pas que "l'on ne frappe pas un adversaire au sol"? cela fait partie de l'éthique du "noble art", à ce qu'il paraît.
Alors pour vivre ce fantasme-là, il allait voir des dominatrices professionnelles, pas précisément sportives ni musclées mais bien capables de le massacrer au sol puisque c'est cela qu'il
demandait !
A sa petite amie, très sportive, il demandait aussi le "service" de le boxer pour lui manifester son amour.
Elle acceptait de le faire, mais au corps seulement...
et bien sûr en position debout !
Mais elle refusait de l'allonger à terre d'un direct à la face, elle n'était pas d'accord pour ça... et encore moins d'accord pour le frapper une fois au sol bien sûr.
Tout au plus obtenait-il quelques gifles et quelques petits coups sympas au lit, en prélude au rapport amoureux, mais rien de plus, en tout cas rien de véritablement "hard"...
Et puis les choses ont brusquement changé avec l'apparition récente des "Mixed Martial Arts". Voici une minute vraiment très sympa qu'un "Smartass" dans son genre peut passer en compagnie de
Julie :
Et si vous aimez ça, alors voici une séance plus longue de près de quatre minutes, administrée par l'adorable Xana :
Par les temps qui courent, une boxeuse accepte couramment de vous boxer en toute situation de combat ! en position debout bien sûr, mais aussi au sol ! ce n'est plus du tout contraire à leur
éthique ! ouf ! on peut enfin vivre pleinement son fantasme !
Et rien ne dit que c'est seulement avec des professionnelles qu'on peut vivre ces moments très sympas, pourquoi nos charmantes épouses et compagnes ne s'y mettraient-elles pas, elles aussi ? Je
parie d'ailleurs qu'elles le font déjà, mais on n'en parle pas, n'est-ce pas, c'est un peu tabou, comme sujet...
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Vendredi 14 août
5
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08:11
Publié dans : rencontres avec des lutteuses
Imaginons un garçon pas très sportif mais fasciné par les lutteuses et désireux de pratiquer la lutte mixte, appelons-le Tom. Le conseil qu'on est tenté de donner à
Tom est de s'inscrire à un club de lutte, un vrai club de lutte où il paiera cotisation, licence, etc., et recevra en échange une formation donnée par des moniteurs compétents qui lui apprendront à
lutter sans danger. Bien sûr, il s'entraînera surtout avec des garçons, mais avec un peu de chance, il y aura des filles dans ce club....
Bien vite dans le club on s'apercevra du fait que Tom n'est pas bien costaud et
n'a rien d'un futur champion. Il aura droit aux propos dévalorisants de la part des gars du club, de ceux qui ont des ambitions et remportent des victoires dans les compétitions régionales.
Si Tom est américain, son entraîneur finira par lui faire comprendre que les seuls combats qu'il peut espérer remporter sont des combats mixtes, des combats avec des filles, comme on en organise
là-bas. Tant mieux, pensera-t-il !
Et ce qu'il rêvait de faire, lutter avec une
championne, il pourra le faire. Mais il le fera dans un contexte où, publiquement battu par la fille, il en sortira humilié, rabaissé aux yeux de ce public, qu'il le veuille ou non, qu'il s'en
fiche ou non.
Il y a sans doute deux raisons pour lesquelles un peu partout à travers le monde (sauf dans quelques endroits aux USA) dans aucun des principaux sports de combat (lutte, judo, boxe etc.) on
n'organise de combats mixtes en compétitions. Dans les deux cas le garçon en sort dévalorisé : s'il remporte le combat, on va dire que ce n'est pas un exploit et qu'il n'a pas lieu d'en être fier,
et s'il le perd on le traitera de mauviette. Or ces sports virils sont conçus pour magnifier la masculinité, la force et la vaillance des combattants, pas pour rabaisser des hommes et remettre en
cause le machisme, et c'est pourquoi il n'est pas question d'organiser des combats mixtes.
C'est sans doute la revendication féministe de non-discrimination sexiste qui est à l'origine du fait que dans certains pays avancés, tels les USA, on accepte les combats mixtes dès lors qu'ils
sont équilibrés. Si la fille et son entraîneur peuvent démontrer qu'elle vaut un garçon en combat, c'est une discrimination sexiste que de lui refuser d'affronter des garçons, et ce n'est qu'une
misérable défense du machisme de lui refuser qu'elle puisse le faire par le biais d'un combat public et arbitré.
En France, en Russie, dans tous les pays de mentalité archaïque et machiste, les entraînements mixtes et combats mixtes ne sont concevables qu'à l'entraînement. Grâce
à youtube, quelques exemples édifiants nous sont offerts de la remise en cause de la supériorité du sexe dit "fort".
On remarquera cependant une chose : la présence de l'entraîneur de la fille, qui l'encourage, qui la "coache", et l'excitation verbale qui est souvent celle de cet entraîneur et de ses amis.
Derrière ce coaching insistant, il y a sans doute un propos implicite qui gâche le plaisir de Tom : "Si cette fille est si forte, et si elle te bat, minable, c'est parce que c'est moi qui l'ai
entraînée, c'est moi qui l'ai faite, cette championne."
Au-delà des conseils techniques qu'il prodigue à la demoiselle, l'entraîneur ne signifie-t-il pas aussi au garçon, implicitement bien sûr, sans le dire : "Dis-toi bien, mauviette, que si par
hasard un homme occupe une place dans le coeur de cette guerrière, ça peut être moi, mais ce n'est certainement pas toi !"
La présence de ce coach est donc parfaitement malvenue pour Tom,
tout autant que celle d'un public débile qui lui crie des insultes et autres lazzis.
En réalité, ce à quoi aspire Tom, et ce dès l'origine de sa fascination qu'exercent sur lui les lutteuses et de sa folle envie de lutter avec elles, c'est à des combats privés, des combats où il
est seul aux prises avec la lutteuse, avec tout au plus la présence éventuelle d'un cameraman (ou, préférablement, d'une camerawoman) qui saura se montrer aussi neutre et discret(ète) que possible.
Sa défaite, il veut la savourer seul.
Ce combat-ci est en privé, il est improvisé et prend place "at home" (avec quand même les inconvénients inhérents, le manque d'espace, les meubles etc.).
Les commentaires excités sont ceux de spectateurs présents (ou peut-être rajoutés ensuite en "voix off" ?) et sont moins déplaisants que s'ils venaient d'un public en salle ou d'un coach.
D'ailleurs le commentaire ne tranche pas : "fun" ou "humiliation" ? peu importe, finalement, c'est une affaire privée, ça les regarde.
Notre excellent correspondant Amphitryon m'a signalé le combat suivant, qui me semble plein d'intérêt. D'abord il fait écho à ce qu'on peut lire dans ce type de forum sur Internet :
Il est courant que les danseuses, en dépit de physiques a priori "frêles", s'avèrent d'une force physique surprenante et parfaitement capables de lutter avec un
garçon et de le dominer.
Ce film super8, remontant à 1984, présente plusieurs caractéristiques intéressantes : le combat est improvisé dans la salle de danse de la dame, lieu a priori non conçu pour cela ; ni elle ni son
adversaire masculin ne montrent de qualités techniques particulières, ils ne connaissent pas tellement les prises, ont des gestes plutôt lents, improvisent plus qu'ils ne construisent. Mais c'est
justement ce qui fait l'intérêt de la chose : la lutte mixte est accessible à tous, oui, et c'est ce dont ce film témoigne.
C'est un film super8 muet. C'est à la fois un avantage (pas besoin de spectateurs ni de leurs commentaires plus ou moins débiles), et un inconvénient dans la mesure
où ces deux-là sont seuls et où la femme est libre d'exprimer verbalement sa domination sur l'homme, de le taquiner et de le chambrer. Car elle seule a le droit de le faire, aux yeux de
Tom.
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Vendredi 7 août
5
07
/08
/Août
09:24
Publié dans : récits illustrés
De Fragonard à
Picasso, Roger Crumb et Suzanne Ballivet, c'est elle, toujours elle.
Vous ne la reconnaissez pas ? Pourtant c'est bien elle, c'est Ruth aux fortes cuisses, Ruth qui aime lutter, Ruth qui cherche remède à sa solitude et ne rencontre que des hommes qui ne la
comprennent pas.
Fragonard l'imaginait faisant semblant de se réfugier dans la lecture.
Picasso, en 1936, nous la montre en sommeil, en proie à des réves érotiques, elle voudrait tant que ses fortes cuisses soient enfin visitées par quelque faune au désir dévorant !
Toute gamine, dans un célèbre tableau très justement intitulé "la lutte inutile",
Jean-Honoré Fragonard l'avait dépeinte en fille qui n'a personne à afronter à coups de polochon, si ce n'est un gamin qui dort et s'en fiche.
Il ne lui reste guère qu'un petit chien avec qui s'amuser, nous expliquait le même Fragonard...
pas de quoi exercer ses muscles comme ils le méritent !
Mais elle se sait forte et entreprend de cultiver ce don en pratiquant un sport où elle pourra pleinement s'épanouir : l'haltérophilie !
C'est ainsi qu'elle devient peu à peu une très puissante jeune fille, le genre de fille qui en principe se fait respecter, n'est-ce pas...
Pourtant, parvenue à l'adolescence, ne voilà-t-il pas qu'un ado débile à la Roger Crumb considère notre Ruth comme un moyen de transport, une sorte d'animal de trait !
Beaucoup de femmes costaudes, et d'abord dans les sociétés dites primitives, se sont aperçues que leur force physique était systématiquement exploitée pour des travaux pénibles que les mecs leur
déléguaient.
Mais ce qui est à la rigueur compréhensible dans des sociétés où l'humanité est confrontée à une dure lutte pour la survie est-il encore acceptable de nos jours ?
Toute songeuse, dans sa chambre, Ruth défait ses chaussettes, retire sa culotte, en proie à une pénible solitude...
Mais qui saura jamais rendre hommage à sa puissante beauté ?
Qui saura se montrer digne d'honorer ces cuisses royales ?
Telle est la question lancinante que pose la grande artiste Suzanne Ballivet dans une lithographie célèbre.
Car une erreur commune est de croire que les belles femmes sont entourées d'hommes qui les aiment.
C'est tout simplement faux ! la plupart des femmes remarquables ne tombent que sur des types qui ne les méritent absolument pas !
Mais ne voilà-t-il pas qu'elle rencontre Denis ! et là elle a le coup de coeur !
Ah ! mais c'est qu'il lui plaît, Denis ! il est mignon, il est à son goût ! Hélas, Denis est paniqué...
Visiblement, Denis n'est pas exactement le genre d'homme à lire le blog d'Aristote...Et puis Ruth n'est vraiment pas "son type de femme", il en rajoute méchamment
dans la caricature de la femme haltérophile ou bodybuildeuse.... et il est hélas représentatif !
Il ne reste plus qu'à espérer qu'un jour Ruth rencontre l'un de nos lecteurs qui sera "son type d'homme", mais ça c'est une autre histoire...
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Lundi 13 juillet
1
13
/07
/Juil
15:38
Publié dans : videos en ligne sur le Web (luttes etc.)
Le 3 février dernier, je publiais un article intitulé Gaillardes et mauviettes, avec en particulier une très grande
Japonaise dominant de toutes les manières possibles un petit homme chétif qui avait l'ambition de s'affronter à elle...
Sur les trois clips de youtube, les deux premiers ont été retirés mais le troisième, où elle le porte très cool sur ses
épaules, est toujours là.
Entre temps, deux autres sont apparus, dont celui-ci,
Tall Asian Woman armwrestling où dans les deux premières minutes, elle lui inflige une série de dix bras de fer du droit.
Quand on y réfléchit, les clips avec séries de bras de fer mixtes du même bras sont assez rares, mais quand la femme s'amuse à plier et encore plier le bras de l'homme et oblige sa victime à
continuer sans cesse, il y a un ingrédient de plus, il y a ce rite répétitif, voire obsessionnel, typique de la séance de domination où le plaisir de la dominatrice rejoint le masochisme de sa
victime.
On retrouve aussi cet autre clip de quatre minutes, qu'on avait déjà vu, au cours duquel elle le projette au sol sans pitié, et pas une seule fois, non, elle lui inflige une série de projections au
sol :
Tall Asian Woman wrestling man.
Bien entendu, on ne sait pas si ces vidéos resteront en ligne bien longtemps, cela dit il existe une autre plateforme de vidéos qui permet de voir d'autres extraits du même film.
Voici donc 4 minutes où notre petit homme se retrouve porté "dans les bras" de la grande fille ou, mieux, longuement "accroché" au bras puissant de la gaillarde
qui le soulève comme un vulgaire sac à main.
Puis elle lutte avec lui dans un contexte plus humide où elle montre des méthodes de domination
décidément très variées et peu courantes... car tout doit concourir au bonheur réciproque de ce couple de type SM assez particulier.
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