Présentation

Je partage ma vie avec la femme que j'aime. Elle me surpasse de beaucoup par ses qualités athlétiques : souplesse féline, rapidité d'attaque, force musculaire, et aussi par une connaissance des arts martiaux qu'elle a acquise durant des années de pratique. Connaissant mon goût pour la lutte, elle aime m'agresser et me donner des coups pour me prouver son amour. Quand elle me provoque en combat, elle me bat toujours et m'oblige à implorer sa clémence.
Dans ce blog je veux d'abord témoigner de ce bonheur qu'est ma vie quotidienne. Je veux aussi rassembler tout ce que j'ai pu voir et apprendre, non seulement sur le thème de la lutte mixte, mais plus généralement sur tout ce qui concourt à l'exaltation des prouesses de l'amazone victorieuse du mâle : expériences vécues, photographiées, filmées, histoires réelles ou légendaires, contributions des arts et de la littérature.


Vendredi 10 juillet 5 10 /07 /Juil 11:06

Publié dans : videos en ligne sur le Web (luttes etc.)

Dans un article de mon blog paru en février dernier et dont le titre était  Trois excitantes vidéos



j'avertissais le lecteur du fait que ces vidéos de qualité et de longueur inhabituelle risquaient fort d'être retirées de youtube pour des histoires de "gros" sous.

Cela n'a pas raté, elles ne sont plus en ligne.
Mais la vidéo avec Ziggy
est curieusement reparue sur dailymotion
car les mystères du Web sont insondables...

Comme j'apprécie particulièrement, outre la musculature déliée de Ziggy (beaucoup mieux que celle d'une bodybuildeuse), cette manière originale qu'elle a de se mouvoir et de contrôler sa victime telle une araignée sur sa proie, je me permets de vous la redonner ici, en l'insérant carrément dans mon article.


On peut craindre bien sûr un nouveau retrait si les propriétaires sourcilleux de leurs droits vont, partout sur le Net (soit dit en passant, ce travail de police doit représenter une tâche immense et la manière dont ces personnes défendent leurs sous est admirable d'abnégation),  traquer impitoyablement tous ceux qui mettent en ligne gratuitement et sans but lucratif.


Ziggy-rip2













Bien entendu, j'ajoute quelques photos fixes extraites de ce clip, pour illustrer agréablement cet article de mon blog, car pour en revenir à mon article de février "Trois excitantes vidéos", la seule chose qu'il en reste de ce pauvre article, ce sont quand même les trois jolies photos fixes que j'avais extraites de ces clips.

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Mardi 7 juillet 2 07 /07 /Juil 16:08

Publié dans : récits illustrés

Elle aimait
battre les garçons.
Mettre la raclée
à un mec...
c'était pour elle
un vrai plaisir .

Il le savait.
Il avait peur de cette fille.
A son approche
il s'est enfui.
Il a couru, couru...

Mais elle courait
bien plus vite !
ça aussi
il le savait bien !

En sport
elle le battait
dans toutes
les épreuves,
en course aussi...
toute tentative
de fuite était inutile.

Elle l'attrapa
par les cheveux
et le flanqua
à terre, elle
lui prit les pieds
pour l'étirer
et l'imobiliser.


La suite de cette histoire? on ne l'a pas ! le témoin, le dessinateur (Eric Stanton) a ramassé son dessin et s'est enfui à toutes jambes avant qu'elle ne s'en prenne à lui. Et comme elle était occupée avec le garçon elle l'a laissé partir, sinon...

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Jeudi 2 juillet 4 02 /07 /Juil 10:48

Publié dans : débats d'idées et de société

Il y a quelque temps déjà est apparu un nouveau site Web personnel, au titre évocateur  "Relation inversée", au graphisme prometteur et au contenu fort intéressant, qu'on trouvera ici :

accueil de "relation inversée"


Beaucoup de mes lecteurs se reconnaîtront sans doute dans le portrait que brosse de lui-même l'internaute à l'origine de ce site, jeune homme vivant dans la région lyonnaise, en quête d'une âme-soeur aux caractéristiques physiques particulières.
Certes, il prend soin de préciser ceci :

"Bien que je cherche une femme qui ait plus de muscles et de force que moi-même, je ne cherche pas du tout à me faire dominer (le sadomasochisme, la soumission et tout ce qui va avec, ce n’est pas pour moi), ce que je cherche surtout c’est de me sentir protégé dans les bras musclés de la femme que j’aime.
"

Autrement dit, Aristote et ses amis font ici figure de "masos". Bon... peu importe, chacun son truc, et libre à notre ami d'insister auprès de la belle pour qu'elle ne le serre pas trop fort contre son coeur quand elle se laisse aller à ses élans amoureux !

Ce qui me peine un peu, c'est que son site est inactif depuis février dernier... Voici la dernière de ses "news", au ton mélancolique :




En tout cas il n'est pas le seul à se plaindre de rester seul, beaucoup d'hommes en quête de lutteuses capables de les dominer (pour vivre une autre forme de "relation inversée") sont dans son cas, les pauvres.
En fait, si l'on consulte son forum, on voit que notre ami lyonnais a entre temps trouvé la belle musclée de ses rêves  : forum de "relation inversée"

Elle le protège bien gentiment et que c'est sans doute cela, et non l'impression décourageante d'avoir crié dans le désert de l'immense toile, qui explique son silence depuis février.
Il précise d'ailleurs que ce n'est pas du tout sur le Web qu'il l'a trouvée et cela ne me surprend nullement, c'est également mon cas et sans doute celui de la plupart des hommes qui vivent une relation inversée.
 

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Mardi 30 juin 2 30 /06 /Juin 09:14

Publié dans : poèmes de lutte et d'amour

On trouve des artistes et d'authentiques poètes parmi les hommes qui peuvent dire, comme moi, "je suis vaincu par elle". Après Fernandel (années 50) et Higelin (années 80), nous en venons à une chanson bien contemporaine :  "Chien mouillé", de Renan Luce.


    Elle lève son majeur dans les embouteillages
    Un joli doigt rageur à l'entrée du péage
    Elle fouille dans mes affaires, elle me traite de papy
    Elle me bat au bras d'fer et m'envoie au tapis
    Elle me déséquilibre d'une tape dans le dos
    Et lance, imprévisible, son poing dans mes abdos
Elle casse le péroné de la moindre "machine"
Qu'est venue claironner un peu trop près d'mon jean

J'suis comme un chien mouillé
Qui peut s'prendre tous les coups
Les plus belles dérouillées
Et suivre son maître partout
Regarde ces hématomes
Tu vois, j't'ai dans la peau
Et ce mercurochrome
Dessine ton drapeau


J'viens te chercher le soir dans les commissariats
Tu chantes comme une baignoire et tu sens la vodka
Soirée entre copines ou virée de mat'lots
Ne change que la comptine les mecs tous des salauds
Puis je te déshabille dans notre lit, chez nous
Je pose mes béquilles souv'nir de ton genou
Dans les bras de Morphée tu dors tout en douceur
Dans mon bras, la morphine atténue la douleur.

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Lundi 29 juin 1 29 /06 /Juin 13:26

Publié dans : poèmes de lutte et d'amour


Une pupille de fer sous une paupière de velours, cette fille a tout pour me
plaire :
Le regard qui déshabille et vous plonge en enfer, cette fille a tout pour
Mais elle me bat au bras de fer, je ne sais pas je ne sais plus ce que je dois
faire.
Elle me ploie sous le poids de sa poigne d`enfer : j`ai beau serrer les doigts.
Rien à faire, elle me bat au bras de fer.

En 1982 Jacques HIGELIN chantait : "bras de fer"


Elle a une dégaine de star de la rue,
Une certaine façon de bouger son cul. Faut la voir sauter par-dessus le comptoir.

Elle a un look de chatte écorchée qu`une bande d`affreux aurait clouée
Sur un panneau signalisé `Attention, DANGER`.
Une pupille de fer sous une paupière de velours, cette fille a tout pour me
plaire :
Calembours de taulière catégorie poids lourds, cette garce a tout pour
Mais elle me bat au bras de fer, je ne sais pas je ne sais plus ce que je dois
faire
Et je ploie sous le poids de sa poigne d`enfer : j`ai beau serrer les doigts,
Rien à faire, elle me bat au bras de fer.
Mais qu`est-ce que tu attends
qu`est-ce que t`attends de moi, tu veux me prendre la tête, la mettre au fond du sac, c`est ça, hein ?
Tu veux me jeter du hamac et que j`me roule
dans la poussière pour te baiser les pieds ?
Mais qui t`es, t`es qui toi, comment tu t`appelles ? Tu voudrais porter ma culotte et
m`refiler ton jupon ?
Ouais, t`as raison, vaut mieux être gonflée que
gonflable, pas vrai, poupée !


Ecoutez la chanson
sur le site deezer

  Une pupille de fer sous une paupière de velours, cette fille a tout pour me
plaire :
Le regard qui fusille et vous tombe en Amour, cette fille a tout pour me
plaire.
Je deviens rouge, vert, jaune et violet.
Fermez les volets et que personne ne bouge, bébé, regarde-moi dans les yeux.
Pète un coup t`es tout bleu ! C`est la folie.
Je prends mes lanternes pour des vessies, mais non, mais si.
J`ai l`cerveau comme une enclume, envoie l`goudron et les plumes, KO définitif.
 

Elle me bat au bras de fer, elle me tient, y`a plus rien à faire.
Elle attaque et je pactise.

 

(très vrai, ça, elles attaquent et nous pactisons, n'est-ce pas les copains ?)

 


Et s`il n`en reste qu`une, ce sera la dernière, cette fille a tout d`une vipère.


 

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Samedi 20 juin 6 20 /06 /Juin 18:35

Publié dans : poèmes de lutte et d'amour


Dans les années 50, Fernandel chantait une chanson qui, n'en doutons pas, plaira à nos lecteurs et c'est pourquoi je me suis permis de la mettre en ligne sur youtube, il ne nous reste plus qu'à la chanter en choeur !


Quand j’ai connu mon Isabelle

Elle était douce comme un agneau

Elle faisait de la dentelle

Jouait des sonates au piano

Elle récitait des poèmes

Par sa candeur mon cœur fut pris

Oui mais elle n’est plus la même

Car depuis que j’ suis son mari



Ma femme fait du judo
Je l’ai toujours sul’dos

Cet ange de douceur

A l’âme d’un catcheur

Pour un non, pour un oui,

Ell’ m’envoie au tapis

Je n’peux plus dire un mot

Depuis qu’ma femme fait du judo

Sa maman la trouvait fragile

Son papa la couvait des yeux

J’allais l’entendre à domicile

Jouer ses airs les plus sérieux

On se regardait sans rien dire

On se serrait le bout des doigts

On échangeait de beaux sourires

Mais depuis elle a pris du poids

Ma femme fait du judo

Je l’ai toujours su l’dos

Adieu les mots d’amour

Le soir sous l’abat-jour

Pour un non, pour un oui,

Elle m’envoie au tapis

Je n’peux plus dire un mot

Depuis qu’ma femme fait du judo

 

 

Elle connaît si bien les prises

Que lorsque je lis mes journaux

Si elle me prend par surprise

Je me retrouve sous le piano

Le jour de mon anniversaire

Elle est passée troisième dan

Pour fêter ça, la chose est claire,

J’y ai laissé toutes mes dents

Ma femme fait du judo

Je l’ai toujours su l’dos

Ah plaignez en tout cas

L’époux d’un judoka

Elle imite les champions de la télévision

J’ai tout d’ Quasimodo

Depuis qu’ma femme fait du judo


 

 Si je marque avec des béquilles

Si mon bras est dans du coton

Si l’ai l’œil noir le nez en vrille

Elle est fraîche comme un gardon

Je n’ose plus faire des histoires

De peur de la contrarier

Quand une femme est ceinture noire

Vous savez…

il vaut bien mieux s’en méfier !



La fin de la chanson est proprement géniale... et très vraie ! (n'est-ce pas, mes amis dans mon cas ?)

 

"Ma femme fait du judo

Même le soir au dodo

Pour me prouver sa passion

Elle me tord les artillons

Elle me dévisse les bras,  les jambes etc.

Je suis toujours KO

Depuis qu’ma femme fait du judo."

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Jeudi 11 juin 4 11 /06 /Juin 12:51

Publié dans : récits illustrés

Après les "confrontations debout" entre un homme et une femme qui se trouve être de force supérieure à celle du mâle, venons-en aux confrontations qui s'opèrent en position assise (quant aux confrontations couchées, c'est un sujet rebattu, mais nous ne nous interdisons pas d'y revenir).

La transition entre le "debout" et "l'assis" est normale et naturelle, comme nous le rappelle cette adorable marquise tout droit sortie de notre littérature libertine :



Cependant, avec une sportive très entraînée, la position assise peut réserver quelques surprises relativement éprouvantes pour un individu lambda :



encore qu'en principe les choses finissent agréablement avec les plus douées :



Ne jamais oublier qu'avec certaines femmes la confrontation est un véritable rapport de forces qui peut s'avérer pénible pour l'ego masculin :



Il se trouve des lutteuses qui savent sanctionner comme ils le méritent certains malotrus qui se croyaient tout permis :


et qui continuent la raclée en toutes positions :


En ces temps où le contingent de femmes musclées ne cesse de croître, certaines situations sont carrément embarrassantes, même lorsqu'elle semble bien gentille :



Ne désespérons pas ! Beaucoup d'entre elles se montrent très compréhensives :







Convient-il de s'asseoir sur les genoux de la géante ?

Ne vaut-il pas mieux au contraire asseoir bien tranquillement la bodybuildeuse sur ses genoux ?

Nous ne trancherons pas ce dilemme redoutable. Dans les deux cas, la suite des étreintes amoureuses est fort incertaine.






En conclusion, nous rappellerons que la position assise est un grand classique de l'amour tantrique, qu'elle a présenté et présentera toujours de merveilleuses perspectives aux amants enlacés !

NB. Les dessins de nos deux articles sur les confrontations ont été empruntés à des sources diverses : Eric Stanton, Tom Poulton, Lee Burks, "Girls beat boys", "Petesmuscledrawings", etc. Une nouvelle et importante source de dessins est Amy's conquest


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Mardi 9 juin 2 09 /06 /Juin 14:35

Publié dans : récits illustrés

Depuis tout gamin, j'éprouve en présence d'une femme grande et imposante un mélange d'attirance et de peur.

Les premières confrontations physiques que j'ai connues avec des filles se sont opérées en position debout !
Et quand je parle de  "confrontations physiques", je pense aussi bien à celle qui voulait me casser la figure, à celle qui cherchait à me déculotter, ou même me violer.

C'est de ces expériences sans doute que s'est enracinée en moi cette espèce de conviction que la relation sexuelle avec une femme est une sorte de combat, et un combat perdu d'avance (je parle pour moi, bien sûr).






A maintes reprises, d'inquiétantes et superbes Amazones m'ont lancé des défis, sans doute parce qu'elles avaient repéré en moi un garçon faible et timide qu'elles domineraient facilement.
C'était trop facile pour elles de s'en prendre à une mauviette !
Tiens! ces deux-là, à gauche, m'ont flanqué au sol et la blonde s'est carrément assise sur moi !



















Si je voulais résumer ma vie amoureuse, je dirais
  que de douloureuses épreuves ont, tout au long de mon existence, alterné avec des occasions que je qualifierais de nettement plus sympas voire agréables, quoique toujours éprouvantes pour mon ego et me flanquant souvent la trouille...

(A suivre)
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Lundi 25 mai 1 25 /05 /Mai 14:04

Publié dans : rencontres avec des lutteuses

Vous êtes un jeune homme passionné par la lutte mixte. Vous vous inscrivez donc à un club de lutte et participez à des compétitions. Avec un peu de "chance", elles seront mixtes !
Vous voilà confronté à Kara, qui, sans pitié, vous domine au sol !

YouTube - Kara pinning guys like flies at wrestling


Bon, ne nous laissons pas décourager, dirons-nous....
"Courageusement", vous changez donc de sport, quittez la lutte et optez pour le jiu-jitsu.
Coup de bol, on vous repropose un combat mixte ! cette fois avec Katie :

YouTube - Katie's first ever Jiu Jitsu match - Jacksonville, FL

Mmouais !... Là-dessus, je passe la parole à mon ami Amphitryon. Pour vous perfectionner, nous explique-t-il doctement, rien ne vaut une prof femme. Voici ce que m'écrivait Amphitryon dans une récente correspondance :

"Et Si on inversait les roles ?

Cette fois ci la prof est une belle femme et l'élève avec qui elle joue est un homme.
Elle lui donne des conseils pendant le combat qu'elle contrôle facilement puis elle le soumet
quand elle est lassée... 

YouTube - BJJ Purple Belt Gives Advice While Grappling

(la ceinture violette  est la plus haute ceinture en jujitsu. Seuls les maîtres les plus expérimentés peuvent l'obtenir.)
"

Petit détail : toutes ces expériences passionnantes se passent aux USA, car ici, en Europe, on n'est pas si avancé que ça dans l'éducation physique des jeunes garçons par des championnes, il nous reste encore bien des progrès à faire...
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Vendredi 8 mai 5 08 /05 /Mai 21:35

Publié dans : rencontres avec des lutteuses

Le récit qui suit m'a été transmis par un jeune homme qui a choisi de s'appeler Younggrappler. Je le trouve intéressant et très bien rédigé, c'est pourquoi je le publie bien volontiers dans mon blog.
Aristote


Ma première expérience de combat mixte remonte à mes dernières années de collège : en classe de troisième, mes cours d'EPS ont été occupés tout un trimestre par la lutte. J'avais alors un an d'avance, ce qui me plaçait dans les plus petits gabarits de la classe. Les autres garçons me dominaient pour la plupart d'une tête et de plusieurs kilos, aussi mon professeur avait-il décidé de me placer avec les filles. Au début, la nouvelle m'avait paru humiliante, mais en comprenant que cela m'offrait la possibilité de contacts physiques prolongés avec de nombreuses demoiselles, la honte s'était vite muée en satisfaction.

 

Une fois les échauffements effectués, des groupes de trois furent constitués, et une chance insolente poussa le hasard à m'accorder comme partenaires les deux jeunes filles les plus courtisées de la classe. Elles étaient très différentes. La première, blonde, sûre d'elle et de sa féminité, ne reculait pas devant une occasion de nous "allumer", comme on dit ; elle portait pour l'occasion un débardeur léger et un pantalon moulant qui ne laissaient rien ignorer de ses formes – ce qui aurait été dommage étant donné la perfection desdites formes, soit dit en passant. La seconde, brune, était plus timide, se mettait moins en valeur, mais sa beauté compensait amplement ; par ailleurs, sa pratique intensive de la gymnastique laissait augurer d'un corps bien sculpté, qui était pour l'instant dissimulé sous un T-shirt et un jogging informes. En d'autres termes, j'allais passer les deux mois suivants au contact de deux canons. Que demande le peuple ?

 

Tout à mes rêvasseries, je n'entendis même pas le professeur donner les premières consignes. C'est -appelons-la par son nom- Amélie, la "femme fatale" en devenir, qui me sortit de ma torpeur en me proposant de commencer. Après m'être fait répéter les grandes lignes de l'exercice, je compris que nous allions chacun notre tour tenter de retourner l'adversaire, lequel tâcherait de se maintenir à quatre pattes, pendant que le dernier membre du groupe, ici la brune Margaux, prodiguerait des conseils à l'un et à l'autre. Je me mis donc à quatre pattes. La situation plaisait visiblement à Amélie, qui fit longuement courir ses mains sur moi en ayant l'air de chercher la bonne prise avant de se placer dans la position que tous les lutteurs connaissent : perpendiculaire à moi, une main agrippant mon bras opposé, l'autre se glissant entre mes jambes pour saisir ma cuisse. Lorsqu'elle sentit l'érection que son petit manège avait provoqué, Amélie joua quelques temps de sa main le long de ma cuisse et contre mon entrejambe, avant de me chuchoter « accroche-toi » et de me retourner d'un seul coup. Margaux était restée muette, l'air perplexe. Avec un petit sourire satisfait, Amélie m'invita à inverser les rôles. J'avais retenu la technique employée, et je glissai promptement mes bras en travers de sa poitrine et de son ventre. Mais à peine étais-je en place qu'elle serra les jambes et se cambra : ma main droite était prisonnière de ses cuisses, et mon bras gauche était caressé par ses seins. J'étais incapable de réagir, et je ne parvins pas à la retourner. Les rôles furent changés, et l'entraînement resta du domaine purement sportif avec Margaux. Le professeur rappela ensuite tous les groupes au centre du tapis pour l'explication de l'excercice suivant.

 

Il s'agissait cette fois d'immobiliser l'opposant sur le dos. Un frisson me parcourut à l'idée de ce qu'Amélie pourrait bien inventer. Dès la fin de la consigne, j'allai me placer à plat dos dans notre coin de dojo. Amélie me rejoignit, suivie par Margaux. A mon grand dépit, c'est cette dernière qui s'avança d'abord. Au bout de quelques minutes d'essai, chacun était parvenu à immobiliser l'autre, aussi Margaux se releva et Amélie vint prendre sa place. Elle fut à la hauteur de mes attentes : je peine à me souvenir d'une seule parcelle de mon individu qui n'eût pas droit au contact de sa poitrine, de ses fesses ou de son entrejambe. Finalement, elle sembla se satisfaire d'un schoolgirl pin, autrement dit d'une position où elle était à genoux sur le haut de mon corps, ses cuisses encadrant ma tête et ses mains tenant mes bras écartés. Malgré mes efforts, je ne parvins pas à me libérer. Mais le voulais-je vraiment ? Mon tour venu, je la maintins au sol avec un classique headlock.

 

Les cours se suivirent et se ressemblèrent. Margaux était le témoin muet de mes combats avec Amélie, laquelle prenait toujours un malin plaisir à me faire bander comme un âne grâce à des prises inventives et à des mains expertes. Les autres garçons s'étaient aperçus de notre manège, et heureusement la plupart vantaient ma bonne fortune plutôt que d'en concevoir une quelconque jalousie. Ceci dit, la cote de désirabilité de Margaux descendait au même rythme que celle d'Amélie atteignait des sommets. Les semaines passèrent, nous rapprochant inexorablement de l'évaluation, que je redoutais non pas en raison de la note, mais parce qu'elle allait signer la fin des cours de lutte. Puis le jour fatidique arriva.

 

Comme d'habitude, le premier combat se fit entre moi et Amélie. Et comme d'habitude, l'excitation et le désir qu'elle instillait savamment en moi me firent perdre mes moyens. De mémoire, le score final était de l'ordre de 6-3 à son avantage, ou quelque chose d'approchant. J'avais encore passé un excellent moment, et je comptais sur Margaux pour poser moins de problèmes et remonter ma moyenne. Lorsqu'elle entra sur le tapis, quelque chose me semblait étrange. Ce n'est que lorsqu'elle s'agenouilla en face de moi en attendant le début du combat que je compris qu'elle avait troqué ses vêtements habituels contre une tenue plus... découverte. Son débardeur moulant et son shorty confirmait mes présomptions quant à ses formes : magnifiques. Le combat allait donc joindre l'utile à l'agréable ! Cependant, dès le début, sa résistance inhabituelle me surprit. Alors qu'auparavant j'arrivais à la retourner sans trop de problèmes, elle tenait bon. Au terme de plusieurs corps à corps acharnés, je parvins à la mener par 3 à 0. Le temps imparti arrivait à son terme, aussi décidai-je de tenter le tout pour le tout afin de grapiller un point supplémentaire. Mal m'en prit ! Je l'avais déséquilibrée vers l'arrière, mais ses pieds vinrent crocheter mes cuisses. La gymnastique avait porté ses fruits, ses jambes étaient musclées, et elle n'eut aucune difficulté à me faire chuter sur le côté. Elle suivit le mouvement, et se retrouva allongée sur moi. Immédiatement, ses bras enserrèrent mon cou et mes épaules. Seules mes hanches pouvaient me permettre de me libérer. Je commençai à accomplir un mouvement de bascule, quand un détail, ou plutôt deux détails me revinrent à l'esprit : ses pieds. Ils n'avaient pas bougé depuis qu'elle s'en était servi pour me retourner, et se trouvait donc à présent contre mes cuisses. Sentant que j'hésitais, elle affermit la prise de ses cuisses sur mes flancs, et remonta légèrement les mollets pour m'immobiliser les hanches. Ses pieds étaient désormais tout contre mon entrejambe. Leurs plantes se touchaient, et chacun remontait sur une de mes cuisses. Coup de grâce, elle s'en servait pour lentement mais sûrement m'écarter les jambes. L'érection ne se fit pas attendre. Mais je ne devais pas perdre ce round, aussi me démenai-je comme un diable pour sortir de cette prise qu'Amélie n'aurait pas reniée. Margaux tenait bon, et ramenait ses pieds entre mes jambes dès que je parvenais à les en déloger. Mes épaules se décollaient du sol assez régulièrement pour remettre le compte à rebours à zéro, et puisque le professeur ne voulait pas interrompre le combat au mileu d'un moment aussi crucial, le corps à corps dura quelques minutes. Puis une intense chaleur envahit le bas de mon ventre. Je cessai de me débattre, ce que Margaux sentit. Elle raffermit sa prise, et ses pieds frottèrent une fois de trop contre mon entrejambe. Je ne savais pas ce qui m'arrivait, mais un intense plaisir rayonna dans tout mon corps, me laissant sans forces. Les 30 secondes règlementaires furent atteintes, et Margaux se décolla lentement de moi. Avant d'aller se changer, elle me lança un sourire mi-triomphant, mi-amusé.

 

Je compris peu après que je venais d'avoir ma première éjaculation. Le mot n'évoquait pas grand-chose en moi, en revanche j'étais prêt à tout pour connaître à nouveau ce plaisir, sentir un corps pressé contre le mien, et surtout revoir cette expression sur le visage d'une adversaire victorieuse. J'étais entré dans le cercle des amateurs de lutte mixte.

 

Younggrappler

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Mardi 28 avril 2 28 /04 /Avr 12:58

Publié dans : archives du XXe siècle

Un correspondant anonyme qui dispose d'une collection de magazines remontant aux années 80 m'a fait parvenir la photo ci-dessous de Clare FURR, championne de bodybuilding de l'époque, en me demandant mon avis. Je remercie ce correspondant d'avoir pensé à moi.
C'est bien volontiers que je me permets non seulement de publier la photo dans mon blog, mais surtout de la commenter, car elle me semble riche d'enseignements, et forte d'une puissante charge érotique.
Le développement musculaire de la dame est remarquable et, à mon humble avis, bien suffisant. Je n'ignore pas que, comme tout sport de compétition, le bodybuilding sacrifie hélas aux impératifs du "toujours plus" et du "jamais trop".  L'escalade du bodybuilding féminin dans le sens du "je veux être de plus en plus musclée", timidement commencé vers 1979-80  avec Lisa Lyon, s'était accéléré brutalement dans le courant des années 80. A voir cette photo, il me semble que vers 1987 on aurait dû arrêter là, suspendre cet objectif du "encore et toujours plus" et se dire qu'on était parvenu à une sorte de perfection. Ce qu'on n'a pas fait bien sûr, on ne sait jamais s'arrêter...

Mais plus que le développement musculaire de cette personne, c'est la photo qui mérite un examen minutieux, car elle me semble receler bien plus d'érotisme que certaines productions spécialisées dans des genres qualifiés d'érotiques ou de pornographiques. Je pense en particulier à certaines bodybuildeuses s'exhibant à poil, toutes plus "hot" et plus "hardcore" les unes que les autres, que je ne trouve pas si "bandantes" que ça, ni elles, ni leurs gros clitoris...

Ici, le cadre inspire confiance. On est dans l'intimité d'un appartement, pas dans une salle de muscu, ni sur une scène de théâtre, pas davantage dans le studio anonyme d'un photographe. Non, ici on a l'impression que la dame nous reçoit chez elle, qu'on est "introduit". Clare FURR est revêtue d'une robe à la fois habillée, moulante et légère, une robe sexy mais élégante, qui la met terriblement en valeur et la rend bien plus attirante que si elle posait en tenue d'Eve. Son regard appuyé à l'objectif semble s'adresser personnellement au spectateur : c'est une illusion, bien sûr... ce magazine fut évidemment feuilleté par des milliers d'hommes excités et quelques femmes jalouses.
Elle sourit à peine, n'arborant ni un sourire publicitaire niais, ni cette moue hautaine, cette morgue du mannequin de défilé exprimant un vague mépris du populo. Contrairement au mannequin, elle est d'ailleurs immobile, disponible, comme en attente.
La force de cette photo réside aussi dans le statisme de la pose. Elle n'est pas debout, mais assise. En fait elle est presque debout, mais penchée en arrière et en appui. Le photographe, très professionnel dans son approche, lui a sans doute suggéré de prendre cette position particulière du corps, sachant tout le parti qu'on pouvait en tirer au plan visuel : l'appui sur les bras fait saillir d'admirables épaules et triceps ; le poids du corps repose en partie sur ces bras puissants, en partie sur le postérieur  de la dame, et libère les jambes, ce qui lui donne plus d'aisance pour jouer des quadriceps et les "sortir". Mais en même temps, comme elle est presque en position verticale, les lignes du corps ne sont pas ramassées, raccourcies.

Le regard appuyé, attentif de l'hôtesse, dans cette position qu'on pourrait qualifier "d'en offrande", semble dire : "Bonjour ! faisons connaissance ! je suis à vous !..."
Elle n'est pas à nous, bien sûr, cette appétissante boule de muscles, c'est juste une manière de parler, mais le lecteur de 1987 n'était-il pas convié à rêver qu'elle pourrait être à lui?
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Lundi 27 avril 1 27 /04 /Avr 09:53

Publié dans : récits illustrés

Naguère, Truffaut avait intitulé un film "Baisers volés". Je voudrais conter ici l'histoire d'un jeune homme qui, depuis l'adolescence, s'est toujours senti une très forte attirance pour les filles minces, musclées et capables de se défendre.
Une très jolie fille aux bras toniques, durs mais sans trop de volume, voilà ce qui l'a toujours fait rêver. Il n'aimait pas les bodybuildeuses...

Hélas il avait, dans sa gaucherie d'ado, connu bien des mésaventures. Un jour qu'il avait tenté de toucher le bras d'une demoiselle chez laquelle il avait noté de  mignons biceps, la jolie môme avait sanctionné l'audacieux peloteur d'une très vigoureuse clef, assortie d'une bien douloureuse torsion du poignet, sans doute apprise dans quelque cours d'aïkido ou de self-defense...

Depuis cette humiliation, il était devenu plus prudent et, apparemment, plus "respectueux" des sportives.


Mais ses goûts n'avaient pas changé et un jour il eut une sorte de coup de coeur pour une très belle blonde qui faisait office de "modèle" dans divers magazines et qui avait exactement  le type de musculature qu'il recherchait. Il se mit à collectionner ses photos.

Ci-dessus, la photo de gauche montre en effet un bras gauche au triceps bien dessiné tandis que la photo de droite permet de se rendre compte de l'indiscutable fermeté du bras droit de la belle athlète.


Or entre temps, notre homme avait bien progressé, il était devenu rien moins qu'animateur télé !
Il se débrouilla donc pour "l'inviter sur un plateau", comme on dit dans le jargon télévisuel. Pour ses buts, cela revenait à se "l'offrir sur un plateau". Car en public elle n'oserait jamais lui dire "Bas les pattes, on ne touche pas !..." bien sûr qu'elle n'oserait pas...

Dieu, qu'elle était belle ! et comme ses superbes bras nus étaient tentants !
Oui, elle confirma qu'elle faisait beaucoup de sport, et de la musculation... et même de la boxe !... et à un haut niveau !
Danger qu'elle le boxe ? pas à la télé, voyons...
Il ne se sentait nullement menacé et n'eut donc aucun scrupule.

Méthodiquement et à plusieurs reprises il vous la pelota devant les téléspectateurs, dont beaucoup auraient bien aimé être à sa place...

Dans cette position de la main, il avait le pouce sur le biceps de la belle. Dieu, qu'il est dur, ce bras!
Mmmmh ! Gare aux uppercuts !










Dans cette autre position de la main (à droite) il pouvait apprécier la dureté du triceps.
Ouahh ! Elle doit vous expédier de ces sacrés directs ! Bonjour le punch !

Bien entendu, jamais elle ne se départit de son plus charmant sourire...  elle fut adorable, vraiment, et en partant elle ne refusa pas à notre "présentateur" quelques bisous assortis d'un nouveau toucher de ses bras...






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Mercredi 22 avril 3 22 /04 /Avr 12:42

Publié dans : débats d'idées et de société

Au début des années 80, on a assisté à l'apparition des entraînements de musculation pour les femmes à des fins de beauté plastique, entraînements accompagnés d'une diététique appropriée.

Nous ne nous étendrons pas ici sur le terme adéquat pour désigner le phénomène : convient-il de parler de culturisme féminin ? de bodybuilding féminin ? de fitness ? de bodyfitness ? peu importe la dénomination...
Dès l'origine, certaines championnes ont accepté de poser dans le plus simple appareil, produisant ainsi un nouvel archétype de nudité féminine inspirant les photographes et les artistes.



Les deux photos ci-dessus montrent Lisa Lyon dans tout l'éclat de sa jeune musculature. Elle fut la première championne de bodybuilding, apparue au tournant des années 70-80 (à gauche, photo Helmut Newton, à droite photo Robert Mapplethorpe).

Ci-dessous, un montage de photos de Rachel Mc Lish tirées d'un film, photos de Raven Hawk.




Rachel Mc Lish, autre beauté musclée "culte" de l'époque, avait succédé à Lisa Lyon au palmarès du bodybuilding alors débutant.

Dans les décennies qui suivirent, les championnes de ce sport devinrent de plus en plus musclées, ne faisant ainsi qu'attiser des sentiments "d'attraction-répulsion" parmi les femmes, en même temps qu'une certaine attirance sexuelle mêlée d'appréhension chez des mâles se sentant de plus en plus contestés dans leur soi-disant supériorité musculaire sur le sexe dit faible...

D'autre part, ce "sport exhibitionniste" qu'est le culturisme-bodybuilding-fitness s'est désormais répandu dans le monde entier, quoique restant relativement marginal un peu partout.
La photo ci-contre reflète assez bien la situation actuelle, marquée par une spectaculaire montée d'athlètes asiatiques pleines d'enthousiasme et de dynamisme avec, chez les admirateurs de la femme musclée, la persistance d'une catégorie d'hommes "accrocs" qui, rédigeant fébrilement leurs blogs à la gloire de ces femmes d'exception, n'hésitent plus à se qualifier eux-mêmes de "maniaques".

La nudité y est quand même relativement marginale (la photo ci-contre est exceptionnelle dans son genre "uncensored"), de même qu'on occulte le plus souvent la dimension érotique du muscle dans les publications "officiellles" et les divers sites Web consacrés à ces superbes anatomies.
Car parler de la dimension érotique de telle ou telle activité sportive est encore un tabou tenace dans un monde demeuré assez largement hypocrite.

Les dessinateurs ont également produit de très belles oeuvres, ainsi Pete, l'auteur du dessin ci-dessous à gauche (extrait de "petesmuscledrawings").



















Ou encore David C. Matthews (dessin ci-dessous), qui a une page Web :
David C. Matthews







N'est-il pas relativement légitime de s'interroger sur le risque de se faire broyer les côtes quand on se trouve aux prises avec les élans amoureux de ces "odalisques" d'un genre très particulier ?



NB. J'avais déjà publié ces très beaux dessins dans un article du présent blog intitulé "La sensualité du muscle féminin" et publié en février 2007. Hélas, les liens sur youtube de cet article sont morts.
C'est pourquoi je vais supprimer cet article de février 2007.

D'autre part je donnerai des liens youtube actuels en matière "d'exhibitionnisme musclé sensuel" dans un prochain article, en espérant que ces nouveaux liens s'avéreront moins éphémères.




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Jeudi 16 avril 4 16 /04 /Avr 14:39

Publié dans : récits illustrés

C'est l'histoire d'une rencontre avec une fille qui provoque au bras de fer mon vieil ami Bicepsophile.
"Du gauche !" précise-t-elle.

Elle porte un vêtement large, Bicepsophile ne peut pas vraiment se rendre compte si elle est musclée, et elle ne le laisse pas approcher pour lui palper le bras.

Comme on pouvait le craindre, ou l'espérer, au bras de fer elle ne fait qu'une bouchée du timide amateur de biceps féminins.
"Pas surprenant, mon bras gauche est... énorme ! " prétend la belle.

Bicepsophile veut immortaliser cette rencontre par une photo, bien sûr...
Vous savez ce qu'elle lui sort, la coquine ?

"Tu te souviens de cette affiche où une fille à moitié nue annonçait par provocation : demain, j'enlève le bas ! ?"
"Euh... oui, mais quel rapport ?"
"Eh ben voilà, prends ta photo, allez, vas-y ! pas mal, hein ?"
"Euh oui, on voit bien la masse du bras, et celle de l'avant-bras aussi... Membrée comme t'es du bras gauche, on comprend que tu m'aies écrasé au bras de fer ! Mais pour le biceps, c'est pas super, comme photo."

"Ben oui, justement ! c'est pas super parce que je ne tourne pas la main. Pour faire voir le biceps il faut un "mouvement de supination", comme disent les spécialistes dans leur jargon. Alors voilà, c'est tout pour aujourd'hui, na ! la prochaine fois, je tourne la main. Et là, tu vas voir la boule que j'ai comme biceps gauche, mon bonhomme !"

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Vendredi 10 avril 5 10 /04 /Avr 09:10

Publié dans : artistes bien inspiré(e)s

Odalisque - Eugène Delacroix

Les odalisques ne ont pas toujours nues, ni couchées. Beaucoup apparaissent en position assise, comme on peut le voir dans ce dernier article qui leur est consacré. Pour en apprendre plus, la lecture de l'ouvrage ci-contre, rédigé par un spécialiste tunisien,  est vivement conseillée.
















Voici donc, pour conclure,
quelques contributions d'artistes contemporains à ce thème inépuisable.
Des femmes en attente, mais qu'on sent moins soumises aux caprices des hommes que ne l'étaient leurs soeurs d'antan dans les harems des sultans.




Odalisque - Aline Eichner



Odalisque - Christine Comyn


Jacob Collins






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Présentation

  • : Vaincu par Elle
  • Vaincu par Elle
  • : Divers
  • : Ma compagne et moi-même pratiquons la lutte mixte, ou "mixed wrestling". Elle est une redoutable championne et me fait goûter les plaisirs douloureux d'une forme musclée de domination féminine.
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  • : 16/12/2006

Chronologie


Liste complète des articles de ce blog
dans l'ordre chronologique de parution

Hier encore j'ai voulu lutter avec elle
combats mixtes en privé (1)
combats mixtes officiels (1)
combats mixtes au cinéma (1)
Deux filles à poigne
Ce soir, ça va être ma fête !
Le catch sexuel (Union, 1981)
petites annonces des années 80
Gifles et sumo
Le dressage d'Aristote (1)
Bras de fer mixtes
Se retrouver sous elle
Ma découverte de la force féminine
Vengeances tardives
Il voulait lutter avec elle
Démonstrations de force féminine
Intimidante Tazzie
Ses mains m'ont fait peur
La fréquentation des sportives
Pas de recettes miracles
Le mariage de la princesse Katun
J'ayme une fille de village
Cueillette
Le dressage d'Aristote (2)
Annibale Carracci et ses femmes sculpturales
L'amour avec une plus grande
Lutteuses, attention aux satyres !
combats de lutte mixte (suite)
Le monde du BDSM et nous
Evitez de leur chercher noise
Combats féminins de référence
Défis, tests et vrais combats
Baigneuses robustes
Femmes fortes d'autrefois
Combat mixte en MMA
Le dressage d'Aristote (3)
Véronèse profane
En Asie le plaisir, parfois l'ennui
Maggie Jennings lutteuse et artiste
La sensualité du muscle féminin
La tentation des fesses
Improbables clubs de lutte mixte
Isabelle Rouveure
Bras croisés, force et assurance
Pour fêter le 8 Mars
Un film-culte : Faster Pussycat kill ! kill !
La vie quotidienne avec une lutteuse
La main sur la gorge et sur le visage
Lenkiewicz et ses jolies modèles
Croquis souvenirs
Amazones austères
Le dressage d'Aristote (4)
Combats mixtes officiels (2)
Combats mixtes au cinéma (2)
Combats en privé (2)
Regards furieux et dominateurs
Bien plus forte que toi
Livre sur les Amazones
Russell Flint and the strong girl
Louise Lecavalier, danseuse hors norme
Femmes fortes d'autrefois (2)
Bras de fer mixte (2)
Par devant ou par derrière
Le dressage d'Aristote (5)
Le dialogue d'Aristote et Amphitryon
Luttes mixtes sur youtube
Brunhild face à Gunther
La nuit de noces de Gunther
Brunhild face à Siegfried
Elisabeth de Poméranie

Sourires d'une nuit d'été
Très jeune et déjà vaincu par elle
Extraits de films indiens
La demoiselle musclée de Pablo
Agressive et adorable branleuse
A propos de leurs jambes
Jambes ouvertes, offertes, danger!
Souffrir entre leurs jambes
Vaincu par Liza
Un mois déjà
Mordre la poussière
François Boucher (1)
Le dialogue d'Aristote et Amphitryon (2)
Le punch de Megumi
Affronter une boxeuse
Affronter une catcheuse
Le dialogue d'Aristote et Amphitryon (3)
Histoire d'une fiancée
Souffrir entre ses cuisses huilées
Lutteur réglo cherche Amazone austère
Ces petits attirés par les grandes
Attiré par les femmes noires
Une copine quelque peu violente
Témoignage : une femme bat son mari
Histoire d'une lutteuse de foire
Une amie dure et tendre à la fois
Vidéos amateurs de couples chahuteurs
Vidéos professionnelles de couples chahuteurs
Suis-je raciste envers les petits ?
Balasko joue les femmes fortes
Combats mixtes officiels (3)
Vues à la télé
Sortez couverts
Deux jolies séquences
Quelques superbes japonaises
12 sites amateurs de provenances diverses
Amazones sculpturales et terribles
Amazones vaincues
Amazones sanguinaires
Amazones dans la bande dessinée
Hommes battus (suite)
Amazones culturistes
F-X Simm et ses beautés amazoniennes
Quelques nouveaux portails de lutte mixte
La violence dans les videos de girl power
Affronter une kickboxeuse
Quelques bras de fer (1)
Deux curieuses cartes postales de vacances
Trois cartes postales de monuments historiques
Se frotter à une prof de jiu jitsu
Se frotter à une judokate
Un combat mixte de kickboxing
François Boucher (2)
Quelques bras de fer (2)
Belle, forte et menaçante

Une excitante défaite en cours d'EPS

Plutôt baraques les femmes de Braque !

"Comme les deux doigts", roman

Un rêve compromettant

Gaillardes et mauviettes

A la recherche d'une Asiatique

Catcheuses et mauviettes dans le cinéma mexicain

Gaillardes et mauviettes (2)

Trois excitantes vidéos

"Vous pourrez prendre vos repas en notre compagnie"

Epouse trop forte

Régulièrement battu par Julie

Annie, chahuteuse souriante et très coquine

Quelques odalisques (1)

Quelques odalisques (2)

Quelques odalisques (3)

Quelques odalisques (4)

Quelques odalisques (5)

La prochaine fois je tourne la main  

Femmes musclées nues

Touchers volés

Erotique de l'exhibitionnisme musculaire : magazines

Ma première expérience sportivo-érotique avec deux filles de la classe

Prendre des leçons auprès d'une championne

Confrontations debout

Confrontations assises

Ma femme fait du judo (Fernandel)

Elle me bat au bras de fer (Higelin)

J'suis comme un chien mouillé (Renan Luce)

La quête difficile d'une relation inversée

L'impossible tentative de fuite

Vidéo perdue et provisoirement retrouvée

Gaillarde japonaise retrouvée

Ruth, l'éternelle incomprise

La lutte mixte est-elle accessible à tous?

Se faire boxer : de la peur au plaisir

Des progrès incessants, mais pas partout

Wedge, notre "professional victim"

D'une époque à l'autre

Qui s'y frotte s'y pique

Un peu de tourisme à Liège 

Kimberli, dernière terreur en date des garçons 

Une agréable prison, serré contre la belle 

quelques beaux diaporamas 

A la recherche d'une Asiatique (2) 

Drôlement musclée, la fille...

Ces miroirs où on les contemple 

Eprouvants jeux de bras avec la souriante Kim 

Vraiment besoin d'une fille aux gros bras? 

A la recherche d'une Asiatique (3)

Intermède caritatif 

Prendre la place du ballon
A la recherche d'une Asiatique (4) 

Encore une femme dangereuse 

L'inoubliable Miss Mara 

Meilleurs voeux, et vive le blog de Xana !

Premier sondage des lecteurs

Erotisme du muscle féminin dans les blogs (1)

Erotisme du muscle féminin dans les blogs (2)

Sensualité et spiritualité
Un destin tout tracé
Erotisme du muscle féminin : les jambes (1)
Erotisme du muscle féminin : les jambes (2)
Erotisme du muscle féminin : les jambes (3)
Ces jambes de femme qui enserrent et étouffent
Vos goûts sur quelques régions (sondage)

Femmes assises, jambes redoutables

Souffrir et bander en Espagne

Empoignade sympa avec une petite nana musclée

Elle l'insulte, rit de lui, ou se tait

Rêver aux doigts de fer de la pianiste

Mon rêve familier (pastiche)

Aimer, souffrir et obéir

Lors que la poule chante et fait taire le coq

Erotique du muscle féminin : les jolis abdos

Erotisme du muscle féminin : les Webcam girls (1)

Confrontations debout (2)

Celles qui vous tordent les bras et vous plantent leur genou

Une blonde pour Socrate

Attention, boxeuse !

Le bonheur dans la souffrance

Le risque du sommeil et de l'ennui

En marge des festivals de musique

Ces veines qui parcourent leurs bras musclés !

Aristote rencontre ses lecteurs  

La défaite, couché sous elle  

Pénétrer dans l'intimité d'une athlète

Soulevé, serré, vaincu... quelques vidéos

Quelques déshabillages

Ayez de l'ambition !

Le beau combat de Sarah

Photos aventureuses avec une fille musclée (1)

Photos aventureuses avec une fille musclée (2)

Quelques noyades stantoniennes

Poème stantonien

Un peu de gym corrective pour ce garçon

Retrouver la salle de classe (1)

Retrouver la salle de classe (2)

Belle et dangereuse Julie

Fuite sans combat

Le blog de notre ami Brad Fer

Des trésors de tendresse et de gentillesse

Mon bras de fer avec Julie

Une grande fille apparemment calme

Catcheuses mexicaines

Quelques étrangleuses (1)

Quelques étrangleuses (2)

Quelques étrangleuses (3)

Quelques étrangleuses (4)

Quelques étrangleuses (5)

Quelques étrangleuses (6)

Une coquine de chez Pilates

Une Hongroise qui vous presse contre son sein

Un risque de violence conjugale

Jalouse d'une plante verte

A Amsterdam, un certain matelas

Deux sondages sur les confrontations homme/femme

Madame porte la culotte (film)

L'un des meilleurs films de domination

Pas assez de sexe ? dialogue Lucius-Aristote (1)

Pas assez de porno ? dialogue Lucius-Aristote (2)

Quel masochisme ? dialogue Lucius-Aristote (3) + sondage

Tu vas pas remettre ça ? si !

Le masochisme du demandeur de coups bas

Virago, viragophile et viragomaniaque

Le "meilleur film" de domination de retour !

Jacques Villeret, sa mob et sa virago

Le couple fatal Gérard Depardieu - Faith Minton

Une femme peut-elle violer un homme ? (1)

Une femme peut-elle violer un homme ? (2)  

Une femme peut-elle violer un homme ? (3)

Le fantasme d'être pris de force par une femme

Le film de boxe mixte, entre fiction et document

Une viragophilie gérontophile (1)

Une viragophilie gérontophile (2)

Une femme venge son sexe

Un beau combat mixte actuellement en ligne

Belle et cruelle Antscha

Kyra, encore une Hongroise décidée à vaincre les mecs

Une femme peut-elle violer un homme ? (4)

Fêter le 1er mai avec une femme libérée

Un entretien d'embauche assez spécial

Du rêve à la réalité

Une ex-catcheuse se venge

Elle le bat et le ratatine sans discussion possible

Anodin, ce site de vidéos sur youtube ?

Lutter avec une naïade

Résister au harcèlement

Dressé par une méchante femelle

Une femme peut-elle violer un homme ? (5)

Ces femmes balaises qui abusent de leur force

Quelques films d'anthologie provisoirement en ligne

Une charmante athlète au bras fort et beau

La Japonaise et le fétichiste

Viktoria et bien d'autres... encore une nouvelle chaîne

Deux questions de Chapeau Melon à Aristote

Ceux qui tentent d'attaquer et les soumis d'avance

Celles qui nous surprennent

La lutte soumission : une domination sans jeu de rôle

Découvertes dans les musées de Paris

Fascination, hésitation, impuissance du voyeur

Actualité des vidéos en ligne - 24/08

Histoire imaginaire

Bras de fer imaginaire

Se faire écarteler ou se faire serrer ?

un masochisme rigolo

Les sessions, quand on hésite à en faire 

Les gladiatrices à l'époque romaine

A la télévision, les Nibelungen (1924)

Les sessions, quand on hésite à en faire (2)

Actualité des vidéos de combats mixtes sportifs

Actualité des vidéos de lutte fantaisie (18/10/11)

Une nuit dans un quartier chaud

Vidéos avec dialogues en français

Vaincu et piégé par une grande athlète noire

Le duo Faith Minton Gérard Depardieu remis en ligne

Vous reprendrez bien un peu de magnésie ? (1)

Vous reprendrez bien un peu de magnésie ? (2)

Epouser une femme forte ? (dialogue Raoul Fulgurex - Lucius) (1)

Epouser une femme forte ? (dialogue Raoul Fulgurex - Lucius) (2)

Une diva nommée Nadia

L'enlèvement d'une Sabine, aventure risquée

Suite du dialogue Lucius-Raoul Fulgurex (3)

Rêve de Noël : épouser une géante de choc !

Suite du dialogue Lucius-Raoul Fulgurex (4)

Article de BIBA mentionné par Lucius et Raoul

Pour la Nouvelle Année, des baisers !

Un homme séquestré et violé

Baisers volés... par elle !

Suite du dialogue Lucius-Raoul Fulgurex (5)

La danse classique mène à tout

Introduction à la ciseaulogie (1)

Introduction à la ciseaulogie (2)

Obscurément battu, et giflé comme il le mérite

Deux hommes, une femme plus petite, trapue...

A propos des histoires d'hommes violés (Lucius)

A propos de la ciseaulogie (par CRJ 57)

Réponses de Lucius et Aristote à un commentaire de CRJ 57

La santé de ce blog dépend de celle de ses collaborateurs

Bénabar se prend des râteaux

Tu as bien dit : "anorexique" ?

Seins nus, musclée, dominatrice, maternelle

Un gros vilain à reprendre en mains

Retrouver Ani sur son lit, démarche téméraire

Philippe Martinery et ses femmes costaudes

Les ébats passés des jeunes danubiennes et danubiens

La conclusion rêvée : une pose en signe de victoire

Muscle féminin (1) : exhibitionnistes involontaires

Entraînements mixtes pour jeunes générations

Dialogue Lucius-Aristote sur les entraînements mixtes

Muscle féminin (2) : allumeuses et allumées sur Webcam

Muscle féminin (3) : allumeuses qui jouent des biceps et des pecs

Muscle féminin (4) : collectionneurs de photos

Muscle féminin (5) : caresseurs, peloteurs, baiseurs

Muscle féminin (6) : calmer la lutteuse et la peloter

Muscle féminin (7) : vidéos de dominations et fétichismes

Un clip "porno" proposé par Lucius

Muscle féminin (8) : Christa BAUCH, déesse du fétichisme

Prendre une leçon de jiu-jitsu

Indomptables gymnastes asiatiques

Lutteuses, art et poésie

Exposition Robert CRUMB à Paris

Paris, ville déconseillée sur la liste wb270

Sondage : votre idéal de femme (physiquement)

Rosy la bourrasque (Depardieu - Faith Minton)

Ces filles aux jambes puissantes : danger !

Alors, ces vacances, comment ça se présente ?

Message de vacances

Henri d'Orcines et sa lutteuse

Les trois soeurs Panaitescu

Parties de jambes en l'air

Retours de vacances

Une belle et grande dominatrice

"L'Amazone" de Georges PIOCH (1912)

Kara leur fait mal, les bat, les humilie (les mecs)

"Les lutteuses" - théâtre (1867) - (1/3)

"Les lutteuses" - théâtre (1867) - (2/3)

"Les lutteuses" - théâtre (1867) - (3/3)

Vidéo : un garçon dominé à la lutte par son amie

Trinity en action : comment qu'elle le porte et le trimballe !

La sagesse de Charles FOURIER (1772 - 1837)

Comment elle domine cette mauviette de Symon !

Photos de famille

Sondage : quelle défaite préférez-vous ?

Les gladiatrices, trident, fourche, mythe et réalité

A propos de Krafft-Ebing, du sadisme et du masochisme

"Martin Roi", roman sur le masochisme (2003)

Une séance SM au déroulement imprévu

Affolé par les seins de la belle, et vaincu par elle

Fière de ses muscles, de ses seins, dominatrice

La jolie Miss Géraldine au 6ème anniversaire du blog

Pourquoi j'adore ça ? Et elle, pourquoi ?...

L'inquiétude existentielle d'Aristote

Comment elle domine cette mauviette de Symon !

Confrontation d'une lutteuse et d'un intello

La lutte mixte comme jeu amoureux (1)

Une femme peut-elle aimer un maso ?

Dominations féminines incontestables

Maris battus, autrefois si moqués

Maris battus, victimes à plaindre de nos jours

Humiliantes expériences 

Vous avez dit "sthénolagnie" ?

"Comment j'ai su que ce n'était pas lui" dit-elle...

Vidéos de lutte mixte en ligne (juin 2013)  

Lutte mixte et pornographie

Clay et autres battus : des masos mal-aimés ?

Naissance d'un mythe : Vanessa

Une infirmière qui vous prend en charge complètement

Lutte domination, histoires vécues par CBT

Bodybuilding, érotisme et pornographie (historique)

Ma femme de fer

Bras de fer et culte du muscle

Des romans érotiques à redécouvrir

Une escaladeuse atypique

Apprentissages en images

Un coup de fil de Chantal, la maman de Josy

Femmes fortes de la Belle Epoque

Femmes fortes des années 50  

Redoutables héroïnes de mangas

Lana la fille sans voiles et sans tabous

Leurs masochismes à eux, leurs sadismes à elles

Lutteuses sportives et dominatrices

Histoire vraie, par RC

Plus grande, plus forte...

Judith et Holopherne, images et commentaires à venir

Comment me contacter par e-mail

La lutte comme prélude à l'amour

  Ariqstote vaincu par Walka (1/2)

Mixed wrestling sur youtube en cette fin 2014

  Comment me contacter par e-mail

 

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Aristote

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