Chapitre 3  Un étranglé bien chanceux : Steve

Un personnage célèbre dans le monde de la lutte mixte, du moins de ce côté-ci de l'Atlantique, est un Français surnommé Steve, qu'un commentateur considère comme "l'homme le plus chanceux de la terre" (THE LUCKIEST MAN ON EARTH !) :

Steve a lutté avec un très grand nombre de femmes de tous types physiques et de toutes catégories, et la plupart d'entre elles se sont fait un plaisir d'étrangler un Steve qui semble particulièrement apprécier cette épreuve. Voici donc quelques photos tirées de diverses vidéos qui sont des classiques sur les plateformes de vidéos :

Voici à présent deux adversaires moins connues que les précédentes.

J'avoue être incapable d'identifier cette puissante blonde ci-contre à droite, il

faudrait que Steve nous dise qui elle est. Ce qui est certain, c'est qu'elle est

d'un gabarit impressionnant, hors norme, car en comparaison, notre Steve

semble presque frêle, lui qui est tout de même un authentique athlète...

D'où le titre, "Hardcore Brutal" indiquant que c'est bien plus dur d'avoir une

telle mégère imposante sur le poil qu'une fille de proportions courantes...

Voici donc ci-dessous la vidéo :

Chapitre 1 : Aux origines

Notons en passant deux choses : dans l'iconographie on ne voit jamais Cyrène étrangler un être humain, d'autre part elle lutte toujours en position debout, opérant une "prise de tête" sur un lion qui lui arrive à la ceinture, sans même qu'elle ait besoin de se pencher.

Pourquoi nous autres, amoureux de la lutte mixte, aimons-nous tant nous faire étrangler par une femme ? Il y a sans doute, au départ, le plaisir d'être tout simplement enveloppé dans les bras d'une femme (dans le cadre de ces articles, l'étranglement se fait par les bras, les mains, mais on pourrait bien sûr dire qu'un ciseau au cou est aussi une forme d'étranglement...), et peut-être ainsi de retrouver le plaisir du bébé dans ceux de sa maman.

Et puis, peu à peu, l'étranglement est devenu une sorte de passage obligé de toute scène de lutte mixte.

Ci-dessus à droite, la regrettée Kay Baxter dans ses oeuvres.

Voici encore un petit montage qui permet de se rendre compte de la variété des prises possibles, même en se restreignant à la position debout de Cyrène :

Dans le clip vidéo d'anthologie qui nous ervira de conclusion à ce premier chapitre, on notera l'association de l'étranglement par les bras et du "double nelson" (qui n'est pas un étranglement mais intervient souvent juste avant ou après). On reconnaîtra également quelques acteurs bien connus du petit monde de la lutte mixte professionelle :

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Depuis quelque temps il tournait autour de cette grande fille athlétique qui l'impressionnait tant par sa taille (elle avait largement une tête de plus que lui) que par son allure calme, très cool.

Il savait peu de choses d'elle, sinon qu'elle avait touché à quelques-uns de ces sports de balles tels le basket ou le volley qui semblent avoir été inventés pour les personnes de grande taille dans son genre.

Elle ne donnait pas tellement l'impression d'être musclée, mais quand même carrée d'épaules, nantie d'une cage thoracique d'athlète, en même temps que probablement ferme de corps, souple et bien dans sa peau. 

Il avait remarqué qu'elle fréquentait ce grand parc, près de chez lui, où il l'avait déjà vue faire des footings en de longues et puissantes foulées, ou simplement se balader perdue dans ses pensées, l'air de ne pas y toucher. Il était donc devenu, lui aussi, un familier de ce parc...

Quand un jour il s'était risqué à lui adresser la parole sous un prétexte futile qui ne pouvait la laisser dupe des intentions réelles de son  interlocuteur, il avait été surpris de sa réaction plutôt ouverte. Ce n'était pas le genre de fille sur la défensive, agacée par les dragueurs, non, elle s'était montrée disponible pour un brin de conversation.

Le temps passa et ils se revirent de temps à autre. Il finit par comprendre qu'il ne lui déplaisait pas, à cette fille, que son travail d'approche avait été fructueux, bref qu'elle semblait bien d'accord pour faire plus ample connaissance. Mais il ne se doutait pas pour autant de ce qui l'attendait, ça, non, il n'aurait pas pu le prévoir...

Car ce fut elle qui, en un sens, pris les devants ! un jour, dans ce parc, alors qu'ils se promènent ensemble elle lui montre un immeuble et lui explique qu'elle y habite au 7ème étage, appartement n°76, et qu'elle l'attend le soir même à la tombée de la nuit. Il n'aura qu'à sonner, entrer, et se diriger vers la terrasse de son living où elle l'attendra.

C'est ce qu'il fit, sans se démonter. Le soir, à la tombée de la nuit, il pénétra dans l'immeuble. Arrivé devant la porte de l'appartement n°76, il constata qu'elle était entrouverte, mais sonna quand même. Personne ne répondit, mais comme la porte était ouverte il se permit malgré tout d'entrer avec précaution. Il n'y avait personne dans la pièce, mais un courant d'air venait de la grande baie vitrée qui était ouverte sur la terrasse. Quand il se dirigea vers cette terrasse, il la vit de dos, assise et en maillot de bain, en train de se coiffer. Elle l'avait entendu venir, marmonna quelque chose qui pouvait vouloir dire "bonsoir"  et  lui fit un vague geste d'attendre.

La lumière déclinait, mais elle gardait le visage tourné vers le ciel, et de même après qu'elle se soit enfin décidée à rentrer dans son living elle continuait à regarder dehors, comme si elle tenait à jouir du spectacle du coucher de soleil.  Elle lui dit, machinalement : "N'allume pas la lumière, s'il te plaît."  Puis elle enchaîna brusquement avec cette phrase inattendue, qui le suffoqua  : "Je fais toujours l'amour dans le noir." 

C'est alors qu'il comprit qu'il était venu pour faire l'amour ! Elle se déshabilla et il put, à contre-jour (car elle se tenait toujours devant la baie vitrée ouverte et lui avait fait comprendre qu'il devait, lui, rester en arrière), admirer sa sculpturale anatomie, ses larges épaules, son dos immense...

Il crut bon de faire le malin en faisant observer qu'il ne faisait pas encore vraiment noir. C'est alors qu'elle se retourna vers lui, le prit dans ses bras, l'empoigna avec une force qu'il n'aurait jamais soupçonnée chez une femme et qu'elle lui expliqua en souriant : "Avant de faire l'amour, nous devons d'abord nous découvrir physiquement. Pour l'instant nous n'avons fait que de causer, lors de nos rencontres. Alors déshabille-toi !"

En fait, elle lui arracha quasiment ses habits et une lutte improvisée s'engagea. Une longue et éprouvante lutte, où elle le domina totalement, et qu'elle se plut à faire durer assez longtemps, en dépit de ses plaintes à lui, qui ne s'attendait pas à devoir subir une telle épreuve physique et aurait peut-être préféré des préliminaires plus classiques.

Au bout d'un bon moment, alors qu'il était complètement épuisé et qu'il avait mal partout tant elle avait été dure au combat, le tordant, le serrant et le retournant sans cesse, elle lui fit remarquer qu'il faisait à présent nuit noire et qu'elle voulait  faire l'amour sans tarder davantage.  Il avait timidement suggéré un petit repas du soir car il avait assez faim, mais elle lui fit comprendre qu'elle avait plus faim d'autre chose que de nourriture et que c'est elle qui décidait. Ils firent l'amour, donc, furieusement et jusqu'au matin, et c'est seulement au petit matin qu'elle lui rendit enfin sa liberté, le jetant presque dehors.

On l'appelle Trésor, parce qu'elle dispense des trésors de tendresse et de gentillesse. Son hospitalité est légendaire, son lit est un havre de douceur.

Mais laissons-donc la parole à Trésor :

Nous espérons vous avoir convaincus des grandes qualités relationnelles de l'adorable Trésor.
Voici donc la vidéo dont sont extraites les photos ci-dessus, puisqu'à l'heure où nous écrivons cet article, elle est toujours en ligne :

L'image ci-contre est extraite d'un clip de pub du GAN (Groupement des Assurances Nationales) qu'on peut voir à la télé ou sur le Web (cf. le site gan.fr).

Le combat entre ce représentant du sexe fort (à gauche) et son adversaire du sexe supposé faible (à droite) n'aura pas lieu, et ce pour une raison évidente...

Si je comprends bien le sens de la pub, le GAN se propose de vous assurer contre tous les risques possibles, y compris celui d'avoir à affronter physiquement une dame beaucoup plus imposante que vous !

Mais est-ce vraiment un "risque", ou une chance ? la question reste posée...

On était assez copains, cette fille et moi, et comme elle avait des problèmes en classe, parfois on se retrouvait dans la salle de classe où, bon prince, je lui donnais une explication. Un jour, je sais pas pourquoi, elle en a eu marre de mes explications et elle exigea de me donner la sienne...

La superbe lutteuse qu'on voit ici est VeVe Lane

Les photos qui ont illustré ce récit sont tirées de la vidéo VeVe démolit Mark  dont nous recommandons vivement l'acquisition.

Notre récit est une adaptation qui n'est pas absolument fidèle au scénario de la vidéo, bien sûr nous avons brodé autour du fait que cela se passe dans ce lieu symbolique qu'est une salle de classe, mais à part ça la raclée que met VeVe Lane à Mark dans la vidéo est incontestable !...

Voici enfin la vidéo qui m'a inspiré ce récit illustré, lequel restera sur ce blog, j'espère, si comme on peut le craindre la vidéo est retirée un jour de youtube :

Quelques histoires dessinées extraites des brochures "Stantoons", toutes axées sur le risque de se faire noyer par la fille quand on pratique la lutte mixte en milieu aquatique.

Et d'abord une histoire "marante" dessinée par Markuleta. Nous sommes à la campagne, un individu louche s'en prend à une blonde aussi belle et sexy que forte à la lutte, alors elle le jette à terre dans une mare, s'assoit sur lui, et le noie dans cette mare...

A présent, nous sommes dans un lieu de vacances pour baigneurs. Des garçons de service, imbus de leur rôle de maîtres nageurs, arborent des maillots avec écrit dessus "life guard", autrement dit "sauveteur". Une fille forte à la lutte a envie de contester leur domination en s'amusant, alors elle déshabille un garçon et lui pique son maillot.

Ah le beau "face-sitting" sur le sable, surtout qu'elle a retiré son slip et frotte sa fente sur le nez du garçon !

Petit détail : quand la vague arrive, elle submerge le sable et la tête du garçon, qui boit la tasse alors même qu'il est contraint à un cunnilingus. Le copain soi-disant "life guard" lui aussi, assiste à cela, terrorisé, incapable qu'il est de sauver la vie de son ami, et surtout, son honneur de petit mec.

Autre histoire, où une nana boxe un mec qu'elle a jeté à l'eau, le met KO, et le ramène noyé sur la berge. Heureusement que les filles ont relayé les garçons comme sauveteuses !

Pour conclure cette petite anthologie de Stantomania aquatique, des extraits de "Getting Even", dans le Stantoon 51. C'est l'histoire d'une sculpturale plongeuse aux cheveux courts. Très libérée, c'est dans le plus simple appareil que la belle effectue ses plongeons.

Hélas, ce gars va se débrouiller pour la chloroformer et abuser d'elle. Mais nous en arrivons à un autre passage de l'histoire, quand elle se venge: elle lutte avec lui dans la piscine, le noie et le sort de l'eau pour le ranimer. Trois dessins de cet épisode :

Il avait abusé d'elle, mais il ne lui déplaît pas, alors elle va le ranimer et "prendre soin" de lui, et même, pour accomplir sa revanche, elle va l'exciter sexuellement et abuser de lui. Quand il aura repris ses esprits, ils luttent à poil, elle le soumet et le viole littéralement. Belle revanche !

Comme notre article est déjà long, nous remettons à plus tard la publication de cette lutte à poil, avec d'autres (c'est un genre pour lequel on manque cruellement de photos réelles, d'ailleurs, heureusement qu'il y a les dessins de Stanton pour nous rappeler que ça existe, des garçons et des filles qui luttent nus, comme dans la Grèce antique...). 

Pour conclure avec le thème de la noyade chez Stanton, voici un dernier dessin :