Je partage ma vie avec la femme que j'aime. Elle me surpasse de beaucoup par ses qualités athlétiques : souplesse féline, rapidité d'attaque, force musculaire, et aussi par une connaissance des arts martiaux qu'elle a acquise durant des années de pratique. Connaissant mon goût pour la lutte, elle aime m'agresser et me donner des coups pour me prouver son amour. Quand elle me provoque en combat, elle me bat toujours et m'oblige à implorer sa clémence. Dans ce blog je veux d'abord témoigner de ce bonheur qu'est ma vie quotidienne. Je veux aussi rassembler tout ce que j'ai pu voir et apprendre, non seulement sur le thème de la lutte mixte, mais plus généralement sur tout ce qui concourt à l'exaltation des prouesses de l'amazone victorieuse du mâle : expériences vécues, photographiées, filmées, histoires réelles ou légendaires, contributions des arts et de la littérature.
Quelques dessins ou BD sur ces garçons humiliés en combat par des filles aguerries bien plus fortes qu'eux et qui ne leur font pas de cadeaux.
Et d'abord une production japonaise. Nous on ne comprend pas les bulles de textes mais on devine ce qui se passe, les pleurs du garçon sont éloquents.
Le garçon, ci-dessous, a un peu grandi, et la fille encore plus ! Son ciseau de jambes est devenu particulièrement douloureux. Doit-elle se moquer de ce pauvre
garçon ? ou mettre un terme au supplice et le consoler ?
Les dessins ci-dessus ont été trouvés sur deviantart et sont dus à un artiste nommé ContableEnorme.
Ci-dessous d'autres dessins d'un autre artiste produisant sur deviantart et nommé JorgeGaray. C'est certainement l'un des meilleurs dessinateurs actuels dans ce registre et nous y reviendrons. En
tout cas on comprend bien les paroles en anglais : cette Narcissa est a priori une jolie petite fille qui veut simplement jouer ! après coup, c'est autre chose...
Voici encore quelques dessins de Jorge Garay trouvés sur deviantart :
On trouvera bien d'autres dessins de lui sur deviantart.com, avec d'autres héroïnes musclées qui mettent la raclée à notre "héros". Ce que j'aime chez cette Lia, c'est qu'elle est une amie,
qu'elle lui parle et ne se contente pas de le cogner comme d'autres filles brutales : ici on voit à la fin qu'elle se propose même de lui offrir des leçons d'entraînement pour qu'il revienne au
niveau... plus constructif que le simple cassage de gueule.
D'autres planches de cet excellent dessinateur sont visibles sur les liens suivants :
Ci-dessous, une photo d'un homme dominé par sa femme. Cela remonte à 1897, ça s'intitule 'The New Generation' et c'est signé Granger :
Bien plus près de nous, Eric Stanton avait une vision beaucoup plus dure et "physique" d'une "lady in charge".
Quelle différence avec les petites gifles que RITA balançait à BEPPE !
A l'époque de "Rita ou le mari battu" (cf. article précédent), GASPARO disait qu'on pouvait battre les femmes, mais sans les tuer...
C'est le conseil inversé que sa copine donne à cette terrible BETTE : bats ton homme, mais sans le tuer ! On voit où nous a conduit peu à peu le progrès de la
condition féminine...
Notre ami LUCIUS m'a suggéré d'enrichir cet article en parlant du problème social des hommes battus à l'époque contemporaine, sans se contenter de fictions à la
Stanton....
A ce sujet, le plus simple est de renvoyer au site Web suivant, très richement documenté :
La "page d'accueil" du site ("accueil" des hommes battus que nous serions menacés d'être plus particulièrement, nous, lecteurs de ce blog ?) fournit quantité de liens.
En bas et à droite de cette page d'accueil, la rubrique "Autres articles" offre une interminable liste de références à d'autres sites du Web qui nous parlent des
hommes battus tout partout à travers le monde... J'ai reproduit un extrait de
cette page ci-contre. On voit que c'est partout la même litanie...
Pour retrouver ces liens et s'y reporter, prière d'aller sur le site de SOS Hommes battus.
Dans la liste ci-contre, on remarquera une forte présence de ces pays qui ont la fâcheuse réputation d'être des endroits où la femme souffre d'une condition inférieure à celle du sexe "fort", la
femme y est réputée être opprimée : pays maghrébins, africains, Balkans etc.
Le problème, pour les hommes gentils et un peu faibles, soit physiquement, soit de par leur caractère, c'est que dans ces pays comme partout des femmes autoritaires
et fortes physiquement existent !
Or, plus qu'ailleurs, sans doute, les femmes dans ces pays ont une revanche à prendre sur des siècles de domination masculine. D'où cette "conséquence" qu'on note par exemple au Maroc, dans cet
extrait suivant :
En lisant ces confidences d'hommes marocains giflés par leurs épouses, on remarque que ces couples sont entrés dans une habitude. On est en droit de se demander dans quelle mesure la rencontre de
(et surtout la vie commune avec) ces femmes aimant castagner n'a pas révélé à ces hommes qu'ils étaient plus ou moins masochistes. De ce point de vue, il n'est plus aussi certain que M'Hamed vive
un "calvaire" avec son épouse "garçon manqué", il y prend peut-être un certain plaisir et elle aussi.
Cependant, dans notre société il est politiquement correct de refuser toute violence au sein de la famille, et même plus généralement toute violence entre hommes et femmes. Très révélateur est à
cet égard le clip "anti-viol" suivant, qui a été réalisé au Danemark :
Si je comprends bien, cette scène étonnante est jouée et non prise sur le vif par une caméra de surveillance comme on pourrait l'imaginer. Il s'agit à travers cette réalisation de montrer
aux garçons ce qu'endurent les filles quand ils se comportent de manière violente avec elles.
D'où l'idée de leur montrer la situation inversée, où une fille brutale casse la figure à un garçon sous prétexte qu'il refuse de l'embrasser...
La violence, d'où qu'elle vienne, est inacceptable ! telle est la morale de cette vidéo.
Certes, mais alors d'où vient que je regarde, moi, ce clip sans déplaisir, et même avec un plaisir ambigu ? Est-ce qu'au fond le lecteur de notre blog ne rêve pas plus ou moins de se faire
brutaliser par ce genre de nana ? A condition, sans doute, que cette violence soit canalisée, ritualisée, un peu comme dans le cas de nos hommes marocains. Mais là nous ne sommes plus dans le
contexte de haine et de violence aveugle qui est le pain quotidien des conjoint(e)s battu(e)s.
Pour en revenir à ce clip, on peut imaginer ce que pourrait être la stratégie de cette fille : si elle est si amoureuse de lui que ce qu'on voit, et si elle est vraiment très déterminée, ce qui
semble être le cas, ne saura-t-elle pas trouver le moyen, en alternant douceur et violence (et en lui donnant le goût de cette dernière), de le séduire, de l'attirer dans ses rets, et finalement
de l'épouser ? tout comme dans cette chanson que j'ai dédié récemment à notre ami RC (cf. l'article récent sur "le rêve avorté" de notre ami RC et le sondage : "une femme peut-elle aimer un
masochiste ?").
Au plaisir de lire vos commentaires à tout cela, chers lecteurs.
Voici quelques dessins humoristiques et autres cartes postales anciennes qui nous rappellent comment, dans le passé, on a traité de ce grave sujet que sont les
violences conjugales quand le mari est la victime d'une épouse plus forte et plus agressive que lui.
C'est au XIXe siècle que je vous convie à une petite promenade dans l'art lyrique. Au milieu de toute la production d'opéras de l'époque, intéressons-nous à une
oeuvre de Donizetti intitulée "RITA, ou le mari battu" qui fut représentée en 1860.
Opéra-bouffe, bien sûr, opéra comique, car le personnage de Beppe, un mari battu par son épouse, la terrible Rita, ne peut que faire rire dans le contexte de
l'époque...
Ci-contre vous pouvez découvrir quelques affiches de mises en scènes récentes de cet opéra.
Il semble qu'avec le temps on embauche des cantatrices de plus en plus violentes, si du moins l'on compare ces affiches avec la vidéo qu'on pourra visionner ci-dessous, vidéo qui remonte à 1962,
or c'était une époque moins dure que nos temps actuels dominés par le "hard" et le "trash".
Voici un résumé de l'argument :
Rita, épouse de Beppe, est en principe veuve, car elle était auparavant mariée à un certain Gasparo, un homme fort qui la battait. Aujourd'hui elle a refait sa vie
avec le faible Beppe, et elle se venge sur lui de ce qu'elle a subi auparavant : c'est elle qui passe ses nerfs sur Beppe, qui lui allonge des taloches et le bat chaque fois que le pauvre Beppe
commet un impair.
Dès les premières scènes, on peut voir Rita battre Beppe pour une bricole (vers 12', 14' etc.).
Là-dessus arrive Gasparo, qu'on croyait mort et qui croit lui-même que Rita est morte, il vient d'ailleurs chercher un certificat de décès de son ex-épouse, ce qui
lui permettra de refaire sa vie.
Gasparo constate la trace d'une forte gifle sur la joue de Beppe et lui fait la leçon en se donnant pour modèle(Air : "La mia casa per
modello" / "Mon ménage pour modèle") : c'est l'homme qui doit battre sa femme et non le contraire. Amateur de lutte mixte ("I like a good fight"), mais pas dans le genre maso,
Gasparo est dominateur et tout homme se doit de l'être.
Après bien des rebondissements, au cours desquels on se demande lequel des deux hommes restera avec Rita, finalement il est décidé que ce sera Beppe.
Beppe est censé avoir changé et s'être un peu virilisé sous l'influence bénéfique de Gasparo (à un moment Beppe accepte même de se battre en duel !), en tout cas vers la fin de l'opéra Rita le
trouve transformé, l'aime différemment et promet de ne plus le battre...
Quant à Gasparo, avant de partir il en remet une couche dans le finale chanté en parlant de sa "ricetta", sa recette avec les femmes : les battre, mais sans les tuer !
Voici une vidéo qui remonte à 1962 et présente l'avantage de donner des sous-titres en anglais (je présume que la plupart de mes lecteurs ne comprennent pas
l'italien chanté, tout comme moi...). Les dialoguesne manquent pas de sel, ceux de Rita et Beppe d'une part, de
Gasparo et Beppe d'autre part :
L'autre jour j'ai reçu un assez long message d'un lecteur, un certain RC, que je me permets de publier car je le trouve plein d'intérêt.
L'auteur de cet écrit, RC, me traitait de "veinard" et m'engageait à lui écrire pour qu'un dialogue se poursuive. Hélas l'adresse de messagerie qu'il avait indiquée était erronée et un moteur m'a
renvoyé ma réponse.
Le problème qu'il pose est sans doute bien réel et mérite toute notre attention. J'ai entrepris de commencer par demander leur avis aux principales intéressées, les
femmes ! je suis allé interviewer des libertines délurées qui fréquentent un hammam en ville.
J'espérais trouver chez ces femmes dites "libérées" un peu de compréhension pour les masochistes que nous sommes.
Cette dernière intervenante n'a pas tort, certainement, mais elle "botte en touche" me semble-t-il (avant d'aller botter le cul de son maso), dans la mesure où elle ne nous dit pas si oui ou non
elle pourrait éprouver des sentiments amoureux pour un homme comme est son "lutteur maso".
La phrase qui résume le mieux le propos de RC est la suivante et je le cite :
"Si le fait d'être battu en combat par notre compagne est pour nous une grande source de plaisir, je crois que c'est presque toujours quelque chose de
perturbant pour la femme."
Après avoir interrogé un échantillon du beau sexe, je me permets donc de vous demander votre avis par sondage, chers lecteurs. Dans la question suivante, le
mot "masochiste" aura donc le sens précis que voici :
"homme qui ressent un grand plaisir à être battu en combat par sa femme ou sa petite amie."
Bien entendu vous gardez toute possibilité de vous exprimer de manière plus élaborée que par une réponse "oui" ou "non" en écrivant à Aristote sur
h5315335 arobace yahoo.fr
Note d'Aristote du 14/03. Jusqu'à présent, seul notre ami LUCIUS m'a fait parvenir une réponse élaborée, et je le regrette, j'attendais davantage de réactions....
La voici :
(Suite de la note d'Aristote)
Voici la photo que LUCIUS a jointe à son message
en document attaché, extraite du blog "The Second World".
Dans quelque temps, je publierai ma propre réponse
à RC, différente de la sienne par son contenu puisque
moi je réponds "OUI" au sondage.
Réponse d'Aristote (30/03)
Je veux bien admettre que se déclarer "masochiste" (ou même seulement "viragophile") peut constituer un handicap pour un
homme s'il veut séduire une femme, puisque cela ne correspond pas aux qualités qu'on attend d'un homme traditionnellement (il doit plutôt se poser comme fort et dominateur).
Un masochiste peut cependant compenser selon d'autres critères : il a une situation stable et bien rémunérée et peut donc incarner le rôle du mâle protecteur ne serait-ce que sur le plan
matériel. Ou alors il a fait de très bonnes études, possède des diplômes, et même si par les temps qui courent cela ne lui garantit pas une situation aisée, une femme peut voir en lui le futur
père de ses enfants qui saura leur transmettre son intelligence par le biais de ses caractéristiques génétiques.
Ces arguments jouent, sans doute, mais ils restent au niveau "utilitariste" et "calculateur", et de la puissance, du potentiel (matériel ou génétique).
Pourtant on ne peut mettre de côté le rôle de l'amour, de ce grand amour qui, lui, ne calcule pas, et qui peut survenir de
manière imprévue entre deux êtres. Telle femme dira : "Oui, je sais, il n'est pas mon type d'homme, pas assez viril, avec un côté un peu "féminin" ou "soumis" qui en principe ne devrait pas
me plaire, et pourtant je suis amoureuse de lui. Pourquoi ? parce que c'est lui et pas un autre, c'est comme ça..."
Dans l'histoire "le rêve avorté" que nous raconte RC, il s'est mis en ménage avec elle. C'est donc bien qu'elle
l'aime, du moins peut-on le supposer. Mais il y a plusieurs manières d'aimer une personne, on peut y mettre plus ou moins d'égoïsme ou d'altruisme. Beaucoup de femmes portent la culotte dans le
ménage : c'est Madame qui décide dans quelle maison on va habiter, elle qui décide de la décoration intérieure, des amis qu'on fréquente ou qu'on ne fréquente pas, du lieu de vacances etc. etc.
Et en matière de pratiques sexuelles, c'est encore elle qui décide, bien sûr...
Or la lutte mixte, pratiquée dans l'intimité d'un couple, est évidemment une pratique sexuelle. Certaines personnes n'acceptent de faire que ce qui les excite, elles, oubliant leurs partenaires.
Ainsi tel homme refuse de faire à son amie un cunnilingus parce qu'il n'en a pas envie, alors même qu'elle lui a expliqué l'importance que cette pratique a pour elle : un cunni la prépare à
l'orgasme infiniment mieux qu'une pénétration. Mais il refuse par pur égoïsme.
Je pense donc que la compagne de RC devrait comprendre que même si la lutte mixte, pour ce qui la concerne, ne l'excite pas sexuellement, pour RC c'est quelque chose qui lui apporterait
beaucoup de plaisir. Et comme dans le reste de l'histoire nous voyons bien qu'elle est physiquement plus que capable de lui apporter ces petits et grands bonheurs que sont les immobilisations et
fortes étreintes, son refus ne peut s'expliquer que par une sorte d'indifférence aux désirs profonds de son compagnon. Pour qu'un couple marche bien, chacun doit en un sens se dévouer à l'autre,
sinon c'est une forme d'amour égoïste qui, à terme, fait souffrir l'autre.
Je termine cette réponse en dédiant à RC une chanson qu'il ne connaît certainement pas. Evidemment, on peut douter que RC et nos lecteurs apprécient tant que ça le ton de "féminisme revanchard"
de cette chanteuse rêvant d'une relation inversée.
Le rapport avec notre débat ? Vers la fin de la chanson, elle le "cogne gentiment", lui fait mal et lui balance "Dis-le qu't'aimes ça !" Elle a donc découvert son masochisme.
En dépit de cela (ou à cause de cela, c'est comme on veut), elle épouse ce beau gosse soumis. Un mariage d'amour, donc
?
Une femme pareille à la maison, c'est le bonheur suprême !
Cette vidéo est certainement l'une de mes préférées et j'ai déjà eu l'occasion d'en parler, mais je ne me lasserai jamais d'y revenir. Cette Trinity qui lutte avec
un homme, plus faible que lui, ce n'est pas tellement ça qui est original, on commence à en avoir vu pas mal, de ces films où l'homme est dominé par la femme à la lutte, parfois en chiqué,
parfois en réel.
Car ici ce qui est particulier
ce sont
les deux éléments suivants :
1) c'est son homme,
c'est son mec,
enfin c'est ce qu'on comprend,
c'est l'impression que ça donne
2) elle le baise et le rebaise,
sur tous les angles,
d'un appétit dévorant, tout en le dominant à la lutte bien entendu
et en l'étouffant dans de terribles étreintes.
On a vraiment l'impression d'être dans l'intimité d'un couple.
Notons en passant qu'en dehors des baisers il n'y a rien de particulièrement sexuel,
ni nudité, ni attouchements.
Et pourtant c'est très sensuel,
très excitant, et c'est sans doute cela qui a valu à ce film d'être censuré sur youtube, comme d'autres qui sont bien plus explicitement érotiques.
Voici donc quelques photos qui rappellent à tous mes lecteurs qu'il y a vraiment des hommes chanceux sur terre ! en voici un !
Les vidéos de Trinity sont disponibles sur son site Web mightytrinity.com
Je n'ai pas trop apprécié le commentaire laissé ci-dessous par un individu qui profite de son anonymat pour m'insulter (incivilité hélas courante sur
Internet...). Je pense d'ailleurs supprimer son commentaire d'ici peu...
Pour répondre sur le fond, bien sûr que dans ces vidéos, comme dans toute forme de cinéma, il y a une part de jeu d'acteurs. Et alors ? il n'empêche que si
Trinity lutte avec un certain nombre d'hommes dans ses vidéos évidemment réalisées à titre lucratif, je constate que c'est toujours le même heureux garçon qu'elle embrasse sur la bouche
:
Toujours dans le même registre du jeu amoureux, voici quelques photos tirées d'une vidéo de grapplinggirls.com montrant un combat très sensuel, avec baisers en
prime, ce qui, répétons-le, n'est pas fréquent.
Différences avec Trinity :
la fille est bien plus déshabillée,
elle empoigne le sexe de son boyfriend,
d'autre part, le nez du gars dans la fente
de sa copine, c'est assez chaud aussi...
Autre différence, et de taille celle-là :
on n'a pas l'impression, comme chez Trinity,
que la fille est plus forte que le garçon
et que la domination est réelle,
ici c'est du chiqué, comme "combat"...
Le titre de la vidéo est
"boyfriend beating in a sensual way",
dans ce titre le mot "beating" fait un peu forcé,
mais c'est quand même une jolie production
que cette vidéo.
Vous avez dit "grapplinggirl" ? Le mot "grappling" gagne une connotation érotique supplémentaire venant de cette fille délurée qui sait bien ce qu'elle doit "agrappeler" chez son mec...
Voici encore deux photos extraites d'une autre vidéo illustrant un "amoureux combat" entre une fille et son copain :
Ce que j'apprécie dans le film qui suit, signé Lori BRAUN, c'est, outre le fait qu'il dure 16 minutes 30, qu'il offre à voir une amicale empoignade entre une
lutteuse visiblement très aguerrie, musclée, technique(elle ressemble à Helen von Mott, c'est elle ?) et un
intellectuel qui n'a rien d'un athlète mais auquel elle donne l'occasion d'apprécier en toute simplicité ce que cela veut dire au juste d'être "vaincu par elle".
J'apprécie surtout qu'ils se parlent, alors que la plupart des films de lutte mixte relèvent carrément du cinéma muet avec musique d'ambiance ou applaudissements des spectateurs. Or ces deux-là
se parlent beaucoup, à la fois pendant les assauts qu'il subit sans pouvoir rien faire puisqu'elle a toujours largement le dessus, et aussi pendant ces intermèdes où ils s'entretiennent
plus généralement de la lutte mixte, de ce qu'elle représente, de comment elle est perçue dans notre société véhiculant des préjugés négatifs (sur les lutteuses, sur les viragophiles masos, sur
la dimension sexuelle du contact etc.) et comment elle est vécue par les acteurs. Elle-même dit y prendre beaucoup de plaisir et on voit bien qu'elle aime taquiner sa victime.
Je suis loin d'avoir tout compris ce qu'ils se disent, car d'une part mes connaissances en anglais américain restent plutôt approximatives, et d'autre part la bande-son de cet excellent film
n'est pas très bonne.
Alors si, parmi mes aimables lecteurs, quelqu'un voudrait nous traduire, non pas bien sûr tout le film, mais un passage qui semble particulièrement intéressant dans
leur dialogue, ou une réplique bien sentie, je lui serai reconnaissant et ceux des lecteurs qui ont quelques difficultés en anglais courant apprécieront également.
Note du 13 avril : la vidéo n'est plus sur youtube mais on peut la trouver sur dailymotion
Note du 30 janvier : parmi tous les passages intéressants du film, il y a le moment où elle explique comment elle a conçu un "armlock" très particulier : vers 8' - 8'45, elle est en position
assise, genoux écartés mais avec une jambe repliée sous elle, elle est parvenue à coincer la main gauche de sa victime et à la tordre d'une manière qui s'avère douloureuse, surtout quand elle se
couche sur lui... Ce que je trouve intéressant, c'est qu'à ce moment-là, c'est le sexe même, ou en tout cas le pubis de la lutteuse, qui presse sur le dos de la main du garçon, on imagine donc
qu'elle puisse s'exciter sexuellement à faire cela tout en lui faisant mal à lui. Fait-elle allusion à la dimension sexuelle ou SM de cette prise dans ses explications ? je n'en suis pas
certain...
Note du 2 février : je pense que c'est bien Helen von Mott dans cette vidéo qui est sans doute assez ancienne. Rappelons que nous
avons déjà publié un article d'elle traduit par Raoul Fulgurex, en voici le lien :
Les très beaux dessins utilisés ici sont signés LH (Larry Heller) et Lee Burks. Ils sont extraits de l'histoire "A Husband's Demise III", cette histoire fait 24 pages et elle est parue en
1997 dans la brochure FEMJOCKS vol. 2 N°3 avec deux autres histoires. J'ignore si elle est encore disponible ou épuisée. Pour tout renseignement complémentaire, s'adresser à LH-Art.
Chers lecteurs, j'espère que vous passez de bonnes fêtes de fin d'année. Je vais tâcher, dans les contributions qui vont suivre, de réfléchir de temps en temps sur le fond des choses, sur mon
parcours personnel, mes fantasmes, mes rencontres, etc.
Je viens de retrouver des dessins très peu connus, des esquisses plus que des dessins, qui m'ont, une fois de plus, inspiré une histoire. Celle-ci, pour une fois, n'est pas sans rapport avec ma
propre biographie.
Les dessins utilisés pour ce récit sont tirés de "Insult revenged", "Une insulte vengée", une histoire signée K. Dancer, qui fait partie des premiers essais d'Eric Stanton, car ce "K. Dancer"
n'est autre que le futur Eric Stanton, très probablement, disons que cela me semble assez évident....
Les bulles ont été rédigées par moi-même, Aristote, et sont, à quelques détails importants près, autobiographiques.
Ce blog a été créé le 16 décembre 2006. Il fête donc son sixième anniversaire aujourd'hui.
Depuis quelques semaines, vous notez une baisse de fréquence dans la publication. Pour des raisons de circonstances, il est probable que je doive dorénavant me contenter d'une activité moindre
sur ce blog et d'un rythme de parutions plus espacées. Ce rythme réduit risque fort de se prolonger assez longtemps mais il n'est pas définitif.
Cela dit, mes lecteurs sont priés de prendre en compte les deux facteurs suivants :
1) Il n'est nullement question pour moi d'arrêter le blog, il restera en ligne tant que la plateforme overblog voudra bien l'héberger gratuitement, simplement les articles paraîtront moins
souvent, c'est tout ce que je vous annonce aujourd'hui, cela et rien de plus.
2) Vous restez absolument libres et bienvenus pour m'écrire à mon adresse <h5315335 arobace yahoo.fr>. Je reste pleinement disponible pour engager des dialogues avec vous, et ces dialogues
seront publiés s'ils sont suffisamment élaborés. En ce sens, vos contributions, chers lecteurs, (et chères lectrices si par hasard il y en a), pourront contribuer à renouveler le contenu de ce
blog et à le réactiver.
"Martin Roi" est un roman de François PRUNIER paru aux éditions Stock en 2003.
C'est certainement l'un des témoignages les plus marquants qui soit paru sur le thème du masochisme.
Le narrateur, Martin, est profondément masochiste. Il ne rêve que d'une dominatrice dont il serait l'esclave. Elle le
battrait et il ramperait devant elle.
Voici un premier extrait assez marquant : une scène où il voit un garçon humilié par deux filles, et cette scène le
bouleverse.
Dans la suite du roman, Martin se décide à contacter une professionnelle par le biais de petites annonces, et il tombe sur une certaine Satana. Voici un
deuxième extrait :
Le livre n'est pas illustré, je me suis permis d'ajouter ici deux dessins (le deuxième est d'Eric Stanton).
C'est un ouvrage très prenant, mais qui laisse une sensation d'accablement, car on sent que Martin souffre de son
masochisme véritablement obsessionnel et qu'il est très mal dans sa peau.
A la fin de l'ouvrage, il semble avoir trouvé un équilibre en allant vivre aux USA.
La discussion sur ces tendances sexuelles que sont le sadisme et le masochisme n'est jamais close. Rappelons cependant que le point de départ de cette discussion est l'oeuvre du psychiâtre
Richard von KRAFFT-EBING, car c'est lui qui a inventé les deux mots :
L'article de Wikipedia donne de volumineux ouvrages en bibliographie. Cependant, notre ami CRJ57 nous signale la parution d'un livre de poche pas cher qui est une
bonne introduction :
C'est bien sûr celui de la femme qui nous intéresse le plus ici. Par exemple celui de cette catcheuse qui fait l'objet de otre dernier sondage. Bien sûr que le type se laisse faire et que le
combat est truqué, comme toujours en catch. Mais quad même, la fille a une bonne technique et, surtout, elle a ce sadisme qui donne tout son piquant à la séquence et plaît au public (ou à
l'amateur non sportif qui aimerait se faire dominer réellement par elle).
Quant à la poursuite de la discussion sur le sado-masochisme à partir de réflexions contemporaines, notre ami Raoul Fulgurex nous a promis une contribution pour un de ces jours.
:
Ma compagne et moi-même pratiquons la lutte mixte, ou "mixed wrestling". Elle est une redoutable championne et me fait goûter les plaisirs douloureux d'une forme musclée de domination féminine.
Chers lecteurs, quels sont vos articles préférés ?
Vos commentaires sont les bienvenus.
Pour toute correspondance,
écrire à
h5315335 arobace yahoo.fr votre message me parviendra par mail et je ne manquerai pas de vous répondre.
Aristote
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