Son site préféré sur le Web, ce n'est pas le blog "vaincu par elle", alors là pas du tout ! on n'y voit pas de noires, ou si peu... Non, ses références, c'est
Blog de nubiennes - Black is beautiful !!! les déesses nubiennes... - Skyrock.com
ou encore, dans un registre élargi à des questions de société (il prétend hautement ne pas faire partie de ces obsédés qui ne savent pas sortir du pur voyeurisme physique) :
TEBAWALITO UNBLOG
Il aime par principe toutes les femmes noires, du moins quand elles sont belles, bien sûr, mais il y en a beaucoup. Cela dit, il a une préférence pour les athlètes. Leurs corps hypertoniques et leurs musculatures de panthères le fascinent complètement.
Tout jeune, dans les années 80, il avait flashé sur l'extraordinaire Grace JONES dans le film de James Bond "Dangereusement Vôtre" (photos ci-contre) où son inquiétante beauté faisait mouche dans des scènes d'action musclées, comme par exemple celle-ci
YouTube - Man overheadlifted by Grace Jones.
Ses copains lui disaient : "Mais tu ne vois pas qu'elle est dangereuse, cette cinglée, cette espèce de mante religieuse ? fais gaffe à ce genre de femmes dominatrices, tu risques gros, contente-toi de la regarder de loin, t'approche pas."
Lui répondait : "Bof, c'est que du cinéma, elle est pas si forte que ça !... D'ailleurs Jean-Paul Gaultier a été avec elle et il est encore vivant !"
N'empêche qu'il ressentait bien, sans l'avouer, tapie au fond de lui-même, une sorte de peur.
Il avait également eu la trouille, une fois, de Lisette MALIDOR. Dans le film "Ronde de Nuit", il avait vue cette sculpturale danseuse de revue jouer une sorte de remake français de Grace JONES en exécutant froidement un politicien à l'occasion d'une scène SM qui lui avait mis les chocottes (NB d'Aristote : je n'ai pas de photos disponibles, si par hasard quelqu'un en a).
N'empêche qu'il rêvait secrètement de s'envoyer en l'air avec une belle black athlétique.
"Ah ! une partie de jambes en l'air avec Surya ! ce serait trop beau" soupirait-il.
"Ah ! un petit bras de fer et un peu de lutte avec Gail Devers, ça serait le pied !"
"OK, elle a un super biceps, mais t'as vu ses ongles ? elle pourrait te lacérer grave la gueule, fais gaffe à ce genre de nanas, fais gaffe" mettaient en garde les copains.
"Ah ! Eunice ! t'as vu le corps qu'elle a ? toute en muscles ! ça doit être le pied !"
"OK mais demande-toi quand même pourquoi Eunice ouvre grand la bouche comme Grace Jones, et si c'est juste dans la pomme qu'elle veut mordre !" répondaient les copains.
Et puis un jour, coup de bol, le voilà en déplacement, quelque part dans un hôtel. Dans le hall de l'hôtel, il avise une belle black et se risque à l'aborder, d'autant qu'elle a l'air seule, tout comme lui. Ils font connaissance. Visiblement elle cherche de la compagnie, et pourquoi pas lui, après tout, un garçon plutôt gentil, un peu timide mais qu'importe ?... apparemment, elle n'appréhende pas du tout la perspective de se retrouver seule dans une chambre avec ce mec. Allons-y donc !
Dans la chambre, quand elle se déshabille et qu'il la voit en tea-shirt, bras nus, il a un choc. Cette black est de toute évidence sur une super athlète, une de celles qui l'ont toujours fait rêver.
Quand elle se jette sur lui et le plaque sur le lit, il se retrouve allongé plus vite qu'il n'aurait cru et là, il a un autre choc ! Aîe ! elle s'installe sur lui, le tourne et le retourne pour contrôler sa proie de face comme de dos, et la séance commence.
De toute évidence il n'a rien à dire, rien à désirer, rien à souhaiter. Il est là, immobilisé par la poigne de fer de cette Amazone noire, totalement à sa merci. Elle mènera le jeu comme elle l'entend.
Dans quel état notre homme est-il ressorti de l'aventure ? En tout cas, ont noté les copains, dans un gros état de fatigue...
"Affaire privée, je n'ai pas de déclarations à faire" a-t-il dit aux copains qui l'interrogeaient goguenards.
C'est qu'il hésitait à avouer une chose, un détail, et ce détail c'est qu'elle l'avait transformé en une sorte de masochiste accroc des séances de domination, et ça, il ne l'aurait jamais cru avant de le vivre réellement.
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