récits illustrés

Mercredi 4 novembre 3 04 /11 /Nov 11:15

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On se souvient de ce Français, Paul Asiatophile, qui cherchait une compagne asiatique (petite amie ou épouse, on verrait bien, disait-il...), avec une préférence pour les filles pratiquant les arts martiaux. J'ai déjà parlé de ce courageux garçon dans mon blog et renvoie à l'article suivant : A la recherche d'une Asiatique

Nullement découragé, Paul continue ses prospections dans divers pays orientaux, insistant auprès de ses aimables correspondantes pour qu'elles lui envoient des photos montrant leur goût pour "le combat fille contre garçon", comme il dit dans son anglais : 'fight photos, preferably girl versus boy'.
Prudent comme la "Jeune Demoiselle" de Diam's, il a même précisé :
"Si vous pouvez joindre 2 photos... Parce que une, euh, on sait qu'c'est d'la triche."














Une jeune fille qui disait d'elle "j'ai une forte poigne", eut l'amabilité de lui transmettre les deux photos ci-dessus, prouvant ainsi tout son savoir-faire quand elle est confrontée à un garçon ! Hem ! cela fait réfléchir...


Une autre s'est présentée comme "catcheuse mixte" et lui a donc envoyé deux photos d'elle en activité sur un ring. Aïe !

































Une troisième demoiselle lui a envoyé ces deux photos-ci, qu'il juge inquiétantes (d'abord elle ne traduisait pas le texte sur la photo de droite, et puis cette grille en arrière-plan : une cellule pour sa victime ?)

Une quatrième a fait preuve d'originalité en envoyant une photo + une vidéo ! la photo ci-dessus était on ne peut plus rassurante, tout-à-fait le profil de la douce Asiatique telle qu'on se l'imagine...
La vidéo, c'est un tout autre genre...

Une cinquième s'est présentée à lui comme
"volontiers nudiste, par goût pour le simple appareil" et  aussi "judokate confirmée, bonne technicienne,
mais dépourvue de kimono ! Ah ah !".

Elle a également précisé que s'il voulait combattre avec elle, lui aurait droit à un kimono, car les hommes faibles, c'est bien connu, sont très pudiques et bien vite effarouchés...
Une sixième, également judokate et aimant elle aussi enchaîner les projections (sur un ring pour que ça fasse plus de bruit !), a défendu le point de vue exactement inverse : elle exigeait de ses adversaires masculins qu'ils se dénudent tandis qu'elle garderait bien sagement son kimono. D'autre part elle se garderait bien de poursuivre le combat au sol comme on doit en principe le faire en judo, reprendrait ses distances après chaque projection et éviterait autant que possible les contacts proches...
Paul n'a pas trop aimé cette "approche"-là...


Un lien vers sa vidéo, non intégrable sur un blog

judokate japonaise


Une septième, encore une judokate, lui a promis une "sacrée séance"...
Avec kimono?
mmoui, elle aurait un kimono, "au moins au début", précisait-elle. Ah bon ?

La photo était assez évocatrice... il s'est demandé si cette "séance" dont elle parlait n'était pas plutôt une "session"  au sens où l'entendent les professionnelles...
 

Quant la huitième candidate est entrée en lice, il n'eut plus aucun doute : celle-là, oui, c'était une professionnelle, et d'ailleurs même pas forcément une fille forte en arts martiaux, juste une petite nana sadique comme on en voit tant de par le monde.
Mais cette fille ne le laissait pas pour autant indifférent. Ah ! ces charmants petits fous-rires pendant que le mec en bave et souffre, elle était craquante, elle le rendait fou !...

Pour revenir à plus de sérieux dans son approche (car c'est à une fille vraiment capable en arts martiaux que notre homme aspire), les invesgitations de Paul Asiatophile se sont poursuivies dans le milieu des filles expertes en self-defense.



Avec cette neuvième personne, il s'est rendu compte qu'un nombre impressionnant de représentantes du beau sexe en Asie s'exercent dans cette direction, sans doute avec la volonté de se faire respecter d'hommes qui les ont longtemps traitées en êtres de seconde zone.



Car tout cela n'exclut nullement la dimension de plaisir pour un garçon qui sait pleinement savourer sa défaite. Cette dixième fille est à retenir !

Bien entendu, après les dix contacts dont il nous a rendu compte dans le cadre de cet article, les investigations de notre ami Paul Asiatophile se poursuivent. Il faut dire qu'il est d'un caractère indécis, partagé qu'il est sans cesse entre son espoir et sa crainte de souffrir quand il sera véritablement aux prises avec une femme aussi désirable que dangereuse.


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Mardi 13 octobre 2 13 /10 /Oct 11:30

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C'est une histoire qui remonte déjà à quelque temps et dont j'ai gardé un souvenir douloureux. Face à une championne en arts martiaux, j'ai toujours eu cette manie de vouloir me battre avec elle, moi qui n'y connaît rien ! bien souvent je suis sorti de là non seulement vaincu, mais meurtri par la douleur et ce fut encore le cas à cette occasion.

Ce "garçon manqué", plus toute jeune et dont je tairai le nom, était une sorte de touche-à-tout, très entraînée aux arts martiaux, avec une prédilection pour le karaté, l'aïkido, le jiu-jitsu, le travail sur les articulations...
Par ailleurs elle faisait aussi de la boxe et était redoutée pour son punch.
Elle était très entraînée, très endurante, avec un corps plutôt mince, de poids léger, tout en muscles.
 
Avec ses poings très osseux, elle aurait pu, dans une boxe à poings nus, faire mal à son adversaire, et se faire mal à ses mains aussi d'ailleurs, et c'est pourquoi elle avait coutume
de mettre des gants et de protéger ses phalanges par des bandes.
.


Avec moi elle n'a pas pris de gants quand je lui ai timidement proposé une sorte de "combat". Elle a souri car elle se doutait bien qu'elle n'était pas face à un champion, que je n'étais pas de taille à l'affronter et qu'elle n'aurait aucun mal à me maîtriser...


A titre de test elle m'a imposé le port d'un kimono et nous nous sommes retrouvés sur le tatami. J'ai remarqué très vite la force de sa poigne. Si elle cherchait à me saisir aux doigts, ce n'est pas seulement parce qu'elle avait travaillé certaines techniques spéciales que je qualifierais de "vicieuses", mais c'était aussi pour la simple raison qu'elle avait bien plus de force dans les doigts que moi-même et que ça l'amusait de m'humilier en me tordant les doigts dans tout un harcèlement d'approches et de progressive "prise en main" de sa victime.

Une clef au bras appliquée dans les règles de l'art m'a fait mettre les deux genous au sol.
J'avais mal partout, dans tout le bras gauche : épaule, articulation du coude qu'elle pressait de sa main droite, poignet, sans oublier mes pauvres doigts qu'elle tordait allègrement de sa main gauche.
J'ai bien dû taper avec ma main libre pour demander grâce.
Comme on s'en doute, les autres assauts de ce combat inégal se sont terminés de la même manière humiliante par mes cris de douleur.


Mes amis se sont toujours demandés comment il se faisait qu'un type plutôt mollasson et douillet dans mon genre puisse vouloir faire des combats avec ce genre de femmes. Un masochiste ne devrait-il pas d'abord apprendre à supporter la douleur, à l'endurer ? je ne dois pas être un vrai masochiste...

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Vendredi 7 août 5 07 /08 /Août 09:24

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De Fragonard à Picasso, Roger Crumb et Suzanne Ballivet, c'est elle, toujours elle.

Vous ne la reconnaissez pas ? Pourtant c'est bien elle, c'est Ruth aux fortes cuisses, Ruth qui aime lutter, Ruth qui cherche remède à sa solitude et ne rencontre que des hommes qui ne la comprennent pas.


Fragonard l'imaginait faisant semblant de se réfugier dans la lecture.


Picasso, en 1936, nous la montre en sommeil, en proie à des réves érotiques, elle voudrait tant que ses fortes cuisses soient enfin visitées par quelque faune au désir dévorant !

Toute gamine, dans un célèbre tableau très justement intitulé "la lutte inutile",



Jean-Honoré Fragonard l'avait dépeinte en fille qui n'a personne à afronter à coups de polochon, si ce n'est un gamin qui dort et s'en fiche.













Il ne lui reste guère qu'un petit chien avec qui s'amuser, nous expliquait le même Fragonard...
pas de quoi exercer ses muscles comme ils le méritent !


Mais elle se sait forte et entreprend de cultiver ce don en pratiquant un sport où elle pourra pleinement s'épanouir : l'haltérophilie !



C'est ainsi qu'elle devient peu à peu une très puissante jeune fille, le genre de fille qui en principe se fait respecter, n'est-ce pas...





Pourtant, parvenue à l'adolescence, ne voilà-t-il pas qu'un ado débile à la Roger Crumb considère notre Ruth comme un moyen de transport, une sorte d'animal de trait !


Beaucoup de femmes costaudes, et d'abord dans les sociétés dites primitives, se sont aperçues que leur force physique était systématiquement exploitée pour des travaux pénibles que les mecs leur déléguaient.

Mais ce qui est à la rigueur compréhensible dans des sociétés où l'humanité est confrontée à une dure lutte pour la survie est-il encore acceptable de nos jours ?



Toute songeuse, dans sa chambre, Ruth défait ses chaussettes, retire sa culotte, en proie à une pénible solitude...

Mais qui saura jamais rendre hommage à sa puissante beauté ?

Qui saura se montrer digne d'honorer ces cuisses royales ?

Telle est la question lancinante que pose la grande artiste Suzanne Ballivet dans une lithographie célèbre.

Car une erreur commune est de croire que les belles femmes sont entourées d'hommes qui les aiment.
C'est tout simplement faux ! la plupart des femmes remarquables ne tombent que sur des types qui ne les méritent absolument pas !


Mais ne voilà-t-il pas qu'elle rencontre Denis ! et là elle a le coup de coeur !
Ah ! mais c'est qu'il lui plaît, Denis ! il est mignon, il est à son goût !
Hélas, Denis est paniqué...


Denis Maréchal - Ruth
envoyé par BeeAwolF. - Gag, sketch et parodie humouristique en video.

Visiblement, Denis n'est pas exactement le genre d'homme à lire le blog d'Aristote...Et puis Ruth n'est vraiment pas "son type de femme", il en rajoute méchamment dans la caricature de la femme haltérophile ou bodybuildeuse.... et il est hélas représentatif !
Il ne reste plus qu'à espérer qu'un jour Ruth rencontre l'un de nos lecteurs qui sera "son type d'homme", mais ça c'est une autre histoire...
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Mardi 7 juillet 2 07 /07 /Juil 16:08

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Elle aimait
battre les garçons.
Mettre la raclée
à un mec...
c'était pour elle
un vrai plaisir .

Il le savait.
Il avait peur de cette fille.
A son approche
il s'est enfui.
Il a couru, couru...

Mais elle courait
bien plus vite !
ça aussi
il le savait bien !

En sport
elle le battait
dans toutes
les épreuves,
en course aussi...
toute tentative
de fuite était inutile.

Elle l'attrapa
par les cheveux
et le flanqua
à terre, elle
lui prit les pieds
pour l'étirer
et l'imobiliser.


La suite de cette histoire? on ne l'a pas ! le témoin, le dessinateur (Eric Stanton) a ramassé son dessin et s'est enfui à toutes jambes avant qu'elle ne s'en prenne à lui. Et comme elle était occupée avec le garçon elle l'a laissé partir, sinon...

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Jeudi 11 juin 4 11 /06 /Juin 12:51

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Après les "confrontations debout" entre un homme et une femme qui se trouve être de force supérieure à celle du mâle, venons-en aux confrontations qui s'opèrent en position assise (quant aux confrontations couchées, c'est un sujet rebattu, mais nous ne nous interdisons pas d'y revenir).

La transition entre le "debout" et "l'assis" est normale et naturelle, comme nous le rappelle cette adorable marquise tout droit sortie de notre littérature libertine :



Cependant, avec une sportive très entraînée, la position assise peut réserver quelques surprises relativement éprouvantes pour un individu lambda :



encore qu'en principe les choses finissent agréablement avec les plus douées :



Ne jamais oublier qu'avec certaines femmes la confrontation est un véritable rapport de forces qui peut s'avérer pénible pour l'ego masculin :



Il se trouve des lutteuses qui savent sanctionner comme ils le méritent certains malotrus qui se croyaient tout permis :


et qui continuent la raclée en toutes positions :


En ces temps où le contingent de femmes musclées ne cesse de croître, certaines situations sont carrément embarrassantes, même lorsqu'elle semble bien gentille :



Ne désespérons pas ! Beaucoup d'entre elles se montrent très compréhensives :







Convient-il de s'asseoir sur les genoux de la géante ?

Ne vaut-il pas mieux au contraire asseoir bien tranquillement la bodybuildeuse sur ses genoux ?

Nous ne trancherons pas ce dilemme redoutable. Dans les deux cas, la suite des étreintes amoureuses est fort incertaine.






En conclusion, nous rappellerons que la position assise est un grand classique de l'amour tantrique, qu'elle a présenté et présentera toujours de merveilleuses perspectives aux amants enlacés !

NB. Les dessins de nos deux articles sur les confrontations ont été empruntés à des sources diverses : Eric Stanton, Tom Poulton, Lee Burks, "Girls beat boys", "Petesmuscledrawings", etc. Une nouvelle et importante source de dessins est Amy's conquest


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Mardi 9 juin 2 09 /06 /Juin 14:35

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Depuis tout gamin, j'éprouve en présence d'une femme grande et imposante un mélange d'attirance et de peur.

Les premières confrontations physiques que j'ai connues avec des filles se sont opérées en position debout !
Et quand je parle de  "confrontations physiques", je pense aussi bien à celle qui voulait me casser la figure, à celle qui cherchait à me déculotter, ou même me violer.

C'est de ces expériences sans doute que s'est enracinée en moi cette espèce de conviction que la relation sexuelle avec une femme est une sorte de combat, et un combat perdu d'avance (je parle pour moi, bien sûr).






A maintes reprises, d'inquiétantes et superbes Amazones m'ont lancé des défis, sans doute parce qu'elles avaient repéré en moi un garçon faible et timide qu'elles domineraient facilement.
C'était trop facile pour elles de s'en prendre à une mauviette !
Tiens! ces deux-là, à gauche, m'ont flanqué au sol et la blonde s'est carrément assise sur moi !



















Si je voulais résumer ma vie amoureuse, je dirais
  que de douloureuses épreuves ont, tout au long de mon existence, alterné avec des occasions que je qualifierais de nettement plus sympas voire agréables, quoique toujours éprouvantes pour mon ego et me flanquant souvent la trouille...

(A suivre)
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Lundi 27 avril 1 27 /04 /Avr 09:53

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Naguère, Truffaut avait intitulé un film "Baisers volés". Je voudrais conter ici l'histoire d'un jeune homme qui, depuis l'adolescence, s'est toujours senti une très forte attirance pour les filles minces, musclées et capables de se défendre.
Une très jolie fille aux bras toniques, durs mais sans trop de volume, voilà ce qui l'a toujours fait rêver. Il n'aimait pas les bodybuildeuses...

Hélas il avait, dans sa gaucherie d'ado, connu bien des mésaventures. Un jour qu'il avait tenté de toucher le bras d'une demoiselle chez laquelle il avait noté de  mignons biceps, la jolie môme avait sanctionné l'audacieux peloteur d'une très vigoureuse clef, assortie d'une bien douloureuse torsion du poignet, sans doute apprise dans quelque cours d'aïkido ou de self-defense...

Depuis cette humiliation, il était devenu plus prudent et, apparemment, plus "respectueux" des sportives.


Mais ses goûts n'avaient pas changé et un jour il eut une sorte de coup de coeur pour une très belle blonde qui faisait office de "modèle" dans divers magazines et qui avait exactement  le type de musculature qu'il recherchait. Il se mit à collectionner ses photos.

Ci-dessus, la photo de gauche montre en effet un bras gauche au triceps bien dessiné tandis que la photo de droite permet de se rendre compte de l'indiscutable fermeté du bras droit de la belle athlète.


Or entre temps, notre homme avait bien progressé, il était devenu rien moins qu'animateur télé !
Il se débrouilla donc pour "l'inviter sur un plateau", comme on dit dans le jargon télévisuel. Pour ses buts, cela revenait à se "l'offrir sur un plateau". Car en public elle n'oserait jamais lui dire "Bas les pattes, on ne touche pas !..." bien sûr qu'elle n'oserait pas...

Dieu, qu'elle était belle ! et comme ses superbes bras nus étaient tentants !
Oui, elle confirma qu'elle faisait beaucoup de sport, et de la musculation... et même de la boxe !... et à un haut niveau !
Danger qu'elle le boxe ? pas à la télé, voyons...
Il ne se sentait nullement menacé et n'eut donc aucun scrupule.

Méthodiquement et à plusieurs reprises il vous la pelota devant les téléspectateurs, dont beaucoup auraient bien aimé être à sa place...

Dans cette position de la main, il avait le pouce sur le biceps de la belle. Dieu, qu'il est dur, ce bras!
Mmmmh ! Gare aux uppercuts !










Dans cette autre position de la main (à droite) il pouvait apprécier la dureté du triceps.
Ouahh ! Elle doit vous expédier de ces sacrés directs ! Bonjour le punch !

Bien entendu, jamais elle ne se départit de son plus charmant sourire...  elle fut adorable, vraiment, et en partant elle ne refusa pas à notre "présentateur" quelques bisous assortis d'un nouveau toucher de ses bras...






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Jeudi 16 avril 4 16 /04 /Avr 14:39

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C'est l'histoire d'une rencontre avec une fille qui provoque au bras de fer mon vieil ami Bicepsophile.
"Du gauche !" précise-t-elle.

Elle porte un vêtement large, Bicepsophile ne peut pas vraiment se rendre compte si elle est musclée, et elle ne le laisse pas approcher pour lui palper le bras.

Comme on pouvait le craindre, ou l'espérer, au bras de fer elle ne fait qu'une bouchée du timide amateur de biceps féminins.
"Pas surprenant, mon bras gauche est... énorme ! " prétend la belle.

Bicepsophile veut immortaliser cette rencontre par une photo, bien sûr...
Vous savez ce qu'elle lui sort, la coquine ?

"Tu te souviens de cette affiche où une fille à moitié nue annonçait par provocation : demain, j'enlève le bas ! ?"
"Euh... oui, mais quel rapport ?"
"Eh ben voilà, prends ta photo, allez, vas-y ! pas mal, hein ?"
"Euh oui, on voit bien la masse du bras, et celle de l'avant-bras aussi... Membrée comme t'es du bras gauche, on comprend que tu m'aies écrasé au bras de fer ! Mais pour le biceps, c'est pas super, comme photo."

"Ben oui, justement ! c'est pas super parce que je ne tourne pas la main. Pour faire voir le biceps il faut un "mouvement de supination", comme disent les spécialistes dans leur jargon. Alors voilà, c'est tout pour aujourd'hui, na ! la prochaine fois, je tourne la main. Et là, tu vas voir la boule que j'ai comme biceps gauche, mon bonhomme !"

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Jeudi 2 avril 4 02 /04 /Avr 15:10

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Cette histoire m'a été rapportée il y a déjà pas mal de temps par un ami qui avait été photographe amateur dans sa jeunesse - nous l'appellerons Photophile. Il m'avait d'ailleurs confié quelques-uns de ses clichés que j'utiliserai ici pour illustrer le récit. La piquante Annie ne nous en voudra sûrement pas si elle se reconnaît dans ces photos.

Un jour qu'il était de passage dans un salle d'arts martiaux pour y réaliser un reportage photographique, notre ami Photophile eut le plaisir de prendre le portrait ci-contre d'une jeune championne, la très mignonne Annie.
"Ne vous y trompez pas", lui confia l'entraîneur, "son gentil sourire cache une redoutable guerrière !"

Photophile sympathisa avec Annie, dont l'attitude très engageante semblait vouloir dire : "Laisse donc là ton appareil photo et viens un peu te mesurer à moi !"

Hélas Photophile n'était nullement, lui, un expert en arts martiaux, physiquement assez maigrichon et pas bien costaud. Et puis il n'avait pas de tenue appropriée, pas de kimono... Bref il n'eut le loisir de constater les talents d'Annie qu'en l'observant aux prises avec ses partenaires d'entraînement... et il en fut fortement impressionné, d'ailleurs.

Cependant, Annie voulait récupérer les photos qu'il était en train de prendre. Elle lui confia donc son adresse... Quelques jours plus tard, ayant développé ses précieuses photos argentiques, Photophile téléphone à Annie... qui l'invite discrètement chez elle !

Et une fois qu'il fut chez elle, la coquine insista pour lui faire une petite démonstration de ses talents en combat : "Ici, pas besoin de kimonos" précisa-t-elle... Et les voilà qui s'empoignent en tenue relativement déshabillée, mais encore décente, dirons-nous.... Annie est plus petite, un plus légère, mais beaucoup plus entraînée. Elle lui porte quelques prises et remporte assez facilement le combat. A la fin, elle lui plaque les épaules au sol et s'assoit sur l'infortuné Photophile.
"Lâche-moi, laisse-moi partir" implora-t-il.
"A condition que tu m'offres les photos !" répondit l'impitoyable donzelle... ce qu'il fit, bien sûr, car ce faisant il se prenait à aimer le corps d'Annie, surtout ses genoux qu'elle aimait appuyer ici ou là, et puis ses fortes cuisses qui l'enserraient comme dans un étau et dont il ne pouvait se sortir.

De plus en plus copains, Annie et Photophile se sont revus assez souvent pour lutter. Il apportait son appareil photo et enclenchait le retardateur, vite elle prenait la pose, elle sur lui bien sûr ! car comme elle le battait à tous les coups, la photo-souvenir devait refléter sa domination... 
Notons que contrairement au couple de Julie et de notre ami Beatenboy, elle ne profita jamais de sa supériorité pour l'humilier et le torturer, car au fond Annie était une gentille fille adorant chahuter mais pas une dominatrice sadique. C'est juste une précision que je donne ici, pas un jugement négatif sur Julie, tous les goûts sont dans la nature, une certaine perversité plaît à beaucoup de garçons masos qui s'ennuieraient avec une Annie venant juste pour une partie de rigolade et de défoulement...

Peu à peu, la relation devint de plus en plus érotique, Annie prenant plaisir à s'habiller léger pour mieux exciter Photophile. En string elle n'hésitait pas à s'asseoir sur son visage et à se frotter sur son nez et sa bouche, parvenant à l'orgasme grâce à une habile stimulation clitoridienne. Constatant son érection à lui, elle le masturbait et, se frottant contre son sexe grâce à une prise de "lutte sexuelle", elle finissait par le faire éjaculer. Car elle avait aussi inventé des techniques de "lutte sexuelle", la mâtine ! Vers la fin de leur relation elle luttait entièrement nue et ils parvenaient encore plus vite à la jouissance.

Ont-ils jamais vraiment fait l'amour, avec pénétration ? Apparemment non, c'est du moins ce que m'a raconté Photophile, qui semblait regretter de n'avoir jamais eu de rapports sexuels complets avec cette superbe petite lutteuse.
"Pourquoi ça ? elle ne t'aimait pas vraiment ?"
lui demandai-je interloqué.


Voici la réponse que me fit Photophile :
 
"Elle adorait le contact physique avec moi. Mais ce qu'elle m'a dit, c'est qu'elle était vierge (je n'ai pas pu vérifier), qu'elle était encore mineure, et que de toute façon elle allait bientôt déménager avec ses parents dans une autre ville. Elle ne voulait donc pas que les choses aillent plus loin, pour ne pas trop s'attacher à moi et pour qu'on n'ait pas de problèmes.
Je crois que notre relation lui servait d'exutoire sexuel, pour se prouver à elle-même qu'elle pouvait lutter et se masturber entièrement nue contre un mec tout en le tenant en respect et sans lui céder. Comme je ne suis pas bien costaud elle a gagné son pari ! Je n'ai jamais pu lui faire l'amour, finalement, même si nous nous sommes souvent fait jouir mutuellement.

Et puis un beau jour elle est partie, et je ne l'ai jamais revue. J'ai pris une dernière photo d'elle, vue de dos et entièrement nue, s'en allant pour toujours... Ah ! qu'est-ce que je la regrette, ma petite Amazone !"



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Lundi 30 mars 1 30 /03 /Mars 10:38

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Dans le précédent article, on parle du cas de l'homme vaincu par son épouse. Mais il y a aussi le cas du jeune garçon battu par une fille et qui en est marqué à vie.

Je cite ici le dernier témoignage posté par Beatenboy dans la rubrique des commentaires :

"Ayant été battu, en cours d'EPS à la lutte, par une fille plus jeune que moi, je suis devenu un garçon soumis aux filles. Julie m'a flanqué des dérouillées tous les mercredis après-midi et j'y prenais plaisir."

La question reste de savoir si l'on est d'autant plus marqué psychologiquement par l'expérience de cette défaite qu'elle est intervenue d'autant plus tôt dans la vie du garçon (dans l'enfance, l'adolescence ou l'âge adulte). Je pense que oui.

Le dessin d'illustration est ici dû à Edmundo Marculeta, et a été publié naguère par les soins d'Eric Stanton.
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Mercredi 25 mars 3 25 /03 /Mars 13:25

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Sous le titre "Epouse trop forte", un lecteur assidu de ce blog, Défait, m'a fait parvenir le récit qui suit et que je publie volontiers comme constituant un témoignage de plus venant d'hommes dominés par leurs femmes sur le terrain de la force physique.

Pour illustrer son récit, Défait et moi-même avons choisi un dessin d'Eric Stanton.
Aristote

Epouse trop forte

J'ai été vaincu par mon épouse.
 
Tout d'abord je dois préciser que je ne suis pas une mauviette sans être une armoire à glace. Je suis plutôt un type lambda.
Mon épouse est un peu plus petite que moi mais quand même grande pour une femme, et surtout elle possède une force naturelle incroyable.
Elle a toujours été forte, elle battait les garcons à l'école, mais je ne me serais jamais douté qu'elle serait plus forte que moi.
Elle pratique beaucoup de sports, comme l'escalade, le tennis tous les week-ends, et elle a été une nageuse de très haut niveau (elle continue à nager).
 
En fait, j' ai été vaincu par elle une seule fois.
Lors d'une dispute nous nous sommes emportés, on s'est empoignés, et une vraie bagarre a éclaté.
Nous n'étions plus dans notre état normal.
On a fini à terre et elle a gagné le combat. Elle m'a immobilisé sous elle en maintenant mes bras sous ses genoux. Nous étions tous deux très essouflés.
Je me suis débattu quelques minutes en lui criant de me lâcher, mais elle a seulement repondu qu'elle le ferait quand je me serais calmé.
J'ai arrêté de me débattre, et j'ai annoncé que j'étais calmé. J'étais vaincu, je reconnaissais ma défaîte, alors elle m'a laissé me relever.
Elle a juste dit qu'on devrait oublier cette dispute mais que la prochaine fois que je lèverais la main sur elle, "elle me casserait la figure" : cela était dit très calmement.
 
Cet épisode a changé beaucoup de choses pour moi. Mais de son côté, elle fait comme si de rien n'était.
Quant à moi, j'ai été terriblement choqué et humilié par ma défaite, mais aussi prodigieusement excité. Je n'arrête pas de repenser à cette bagarre où elle m'a battu. Des fois je me dis même que j'aimerais tenter d'avoir ma revanche.

Mais pour elle ce n'est pas à refaire et ça ne l'a pas excité. Elle n'en reparle plus, c'est tout. Elle doit penser que j'ai compris une bonne fois pour toutes.

Signé : Défait
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Lundi 12 janvier 1 12 /01 /Jan 10:37

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Un aimable correspondant, dont l'adresse est "funwrestling arobace yahoo point com", avec lequel je suis en correspondance depuis quelque temps, me signale la parution récente d'un roman, "Comme les deux doigts", aux éditions Publibook, qui lui a beaucoup plu. Avec son accord, je publie ici volontiers son mail, car il me semble que vous y trouverez un certain intérêt. L'article qui suit est donc signé de funwrestling et non de moi-même, mais j'y ai ajouté des extraits du roman transmis par funwrestling - un peu dans le désordre, pas de manière chronologique -  et je les ai illustrés en puisant dans mes archives (les photos sont données sans références précises parce que je ne les ai pas notées, elles sont issues de vidéos de lutte mixte, si les propriétaires de ces vidéos veulent que j'ajoute les références de la vidéo ou de la lutteuse pour telle ou telle photo, il n'y aura aucun problème).
Aristote


Je viens de lire un roman très divertissant dont je souhaite vous faire part ici, car il contient des scènes de lutte érotique. C'est un roman contemporain : l'histoire d'un trentenaire, de ses amours, de ses rencontres par Internet, de ses angoisses, bref de sa petite vie. L'écriture est fluide et agréable, et l'histoire est pleine de rebondissements.


Alors voilà, c’est l’histoire de Nicolas Gamution, un cadre marketing d’une trentaine d’années, le portrait type du mâle urbain et technologiquement branché de ce début de 21ème siècle. Alors qu’il rentre de sa journée de travail et s’apprête à fêter son anniversaire – qui tombe le jour de la St Valentin – Nicolas trouve en guise de cadeau de la part de sa compagne une lettre de rupture sur la table de la salle à manger. Dans les placards et la chambre, tout est retourné, comme si un cambriolage avait eu lieu. Ses affaires gisent pêle-mêle tandis que celles de Lara, sa compagne, ont été emportées.

Dès lors, Nicolas connaît une descente aux enfers, une plongée dans la dépression la plus noire. Mais c’est pourtant un geste des plus anodins – un clic sur la banderole publicitaire d’un site de rencontres en ligne – qui le sauve d’un suicide programmé. Malgré lui, son inscription sur le site de rencontres l’entraîne dans une véritable aventure sociale. Sur sa route, Nicolas va rencontrer une ribambelle de personnages tous plus extravagants les uns que les autres : un pré-adolescent déjà obsédé par le sexe, une jolie princesse des cités qui ne s’exprime qu’en langage texto, un collègue homo aussi gentil que licencieux, un directeur despote, une écrivaine aussi loquace qu’une huître fermée, une beauté slave nymphomane, un livre doué de parole et fan de bouddha, sans compter Sandra. La belle Sandra, femme charismatique, imprévisible et cultivée au charme renversant, mais en même temps experte en ju jitsu et lutte érotique, avec quelques tendances dominatrices.

Un soir, elle entraîne Nicolas dans le dojo particulier de son appartement parisien. Le lendemain matin, il ne peut que repenser à cette nuit passée aux côtés d’une “femme serpent au physique de panthère” qui lui a enseigné l’art du judo sensuel en tenue légère tel qu’il se pratique dans les clubs privés.



Elle n’acceptait pas d’être dérangée pendant ses changements de tenue. Un signe de plus qui me confirmait le sérieux de ses motivations. Elle réapparut avant que je n’aie eu le temps

de m’inquiéter du temps qui défilait, vêtue d’un micro-string et d’un micro-soutien gorge noir qui ne cachait que l’essentiel.

Ses muscles noueux se dessinaient sous la peau au moindre mouvement. Ses magnifiques cheveux bruns noués en une longue natte la rendaient encore plus sexy. Un vrai look de catcheuse qui ne facilitait pas ma concentration.




Mais un instinct mâle et récalcitrant,

hérité des tabous sociaux datant de la nuit des temps, me commandait

de me hisser de toutes mes forces sur le rivage et de défendre ma virilité.

Je tentai de me dégager, mais à peine

avait-elle deviné mon intention qu’elle banda davantage sa musculature sans faille.



Elle avait neutralisé ma tentative avec une facilité déconcertante et me rappelait à mon

rôle de proie.


Le tiraillement de mes jambes écartelées fit naître sur mon visage une grimace qui annonçait ma proche reddition. L’impression d’être coincé dans un grand écart douloureux. Son Mont de Vénus écrasait mon sexe gonflé jusqu’à provoquer mon gémissement.




Extraits de "Comme les deux doigts"

(C. Simard, Editions Publibook)




Je ne vous en dis pas plus pour ne pas vous gâcher la lecture, car l’intrigue en vaut la peine. Mais l’on peut dire que Nicolas découvre la lutte mixte comme beaucoup d’entre nous aimeraient l’avoir découverte. « Comme les deux doigts » est un roman qui intéressera aussi bien les hommes fans de lutte mixte et féminine, que les lutteuses professionnelles ou amateurs (c'est tellement rare que des écrivains parlent d'elles). Et puis, ce roman peut constituer un joli cadeau à offrir à ces demoiselles à qui vous voudriez faire découvrir la lutte en toute subtilité. A bon entendeur, vous pouvez le trouver aux éditions Publibook (http://www.publibook.com/boutique2006/detail-4241-PB.html). Je crois que l’auteur peut également être contacté sur FaceBook.


Signé "Funwrestling arobace yahoo point com"




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Lundi 5 janvier 1 05 /01 /Jan 14:02

Publié dans : récits illustrés

Le récit qui suit m'a été envoyé par Beatenboy en commentaire à l'article "Ma découverte de la force féminine".
Comme je le trouve très intéressant et excitant, je trouve qu'il a sa place ici en première page. En illustration j'ajoute une photo de "schoolgirlpin" (il se trouve que la fille de la photo est de type asiatique, ce qui à vrai dire est sans importance, le point important est qu'elle est jeune et jolie, tout à fait le genre à vous donner une érection en combat au sol...)
Aristote


"Ce récit correspond à mon vécu de garçon soumis aux filles. Tout commença un jour en cours d'EPS en 3ème où nous avons été initiés à la lutte libre. Nous étions 15 garçons, donc il manquait un partenaire pour obtenir 8 combats. Je fus alors opposé à une fille qui s'était portée volontaire... J'avais 14 ans, je jouais au foot et j'étais assez costaud. La fille était en 4ème, mais étant en avance n'avait que 11 ans et demi. J'étais bien plus grand qu'elle et je la connaissais un peu car elle habitait le même immeuble que moi. Le combat s'engagea et je réussis très facilement à la mettre au sol, mais elle s'avèra très bonne au sol... Très souple et très technique, elle parvint à me maitriser avec un superbe gravepine.

Nous étions tous deux en tenue de sport et à l'époque j'avais un short Adidas court, noir à bas, des rouges ; Julie, elle, portait un short Puma bleu façon satin. Le prof encourageait la gamine et bien qu'humilié, car au bord de la défaite, j"étais excité et malgré moi une bosse énorme déforma mon short.

Julie s'assit alors sur mon ventre et son fessier frôla mon érection. Heureusement, elle s'avança pour chevaucher mon torse. Ses mains plaquèrent mes bras derrière ma tête: j'étais vaincu pour la première fois de ma vie par une fille, de surcroît plus jeune que moi, et en public. J'étais fasciné par ses cuisses qui m'enserraient, et par l'entrejambe de son short qui me cachait son sexe, dit faible...
Julie me fixait droit dans les yeux; elle ne disait rien mais son regard en disait long. En se relevant, elle ouvrit la bouche en voyant la bosse de mon short : elle comprit que j'avais aimé être battu par une fille. Mes copains se moquèrent de moi, sauf un qui me prit à part : ma défaite l'avait excité et nous allions devenir complices et satisfaire nos besoins d'être battu par des filles."

signé : Beatenboy

Pour donner une "illustration vidéo" ou, si l'on veut, "live", du récit de notre beaten boy, je propose d'ajouter encore un clip apparu tout récemment sur youtube, où l'on voit une fille battre à la lutte un garçon en combat régulier et arbitré. Ils sont bien jeunes, n'est-ce pas ! à cet âge-là tout peut encore vous arriver... Faut-il plaindre ou envier ce garçon ?







le lien sur youtube est :
Girl beats boy in wrestling
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Vendredi 15 février 5 15 /02 /Fév 08:59

Publié dans : récits illustrés
Il croyait la draguer, il n'avait pas compris qu'en fait c'est elle qui avait le plus envie de lui, c'est elle qui déciderait de tout. Sur le lit où elle a réussi à l'entraîner, elle l'étreint vigoureusement. Et à présent qu'elle a pu à se glisser derrière lui, elle le tient, le bonhomme, pressé tout contre elle.

Elle le verrouille des bras et des jambes, il le ne peut plus bouger, elle l'étrangle littéralement.
Une main sur la bouche, car il n'a rien à dire, c'est elle qui décide. Les mains sur les yeux, la bouche, le sexe, elle contrôle les parties vitales de l'homme et lui enseigne comment les choses se passent avec une lutteuse qui prend le dessus.

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Vendredi 8 février 5 08 /02 /Fév 22:26

Publié dans : récits illustrés


Je suis une enfant de la balle, née dans une famille de forains. Mon père était hercule de foire et j’ai suivi son exemple. Depuis toute gamine je remue des haltères, tord des barres de fer et m’exerce à la lutte. On me fait combattre  surtout avec des hommes parce que je suis trop forte pour les femmes. 


Des lutteuses, il y en a, j’ai des amies dans ce milieu-là, comme par exemple ma copine Louise Weber. On l’appelle « La Goulue », elle est célèbre  pour savoir lever la jambe, c’est elle qui a lancé la mode du french cancan au  Moulin Rouge.


Elle aussi, elle vient du cirque et des foires : elle est une dompteuse réputée (de fauves, pas rien que de mecs) et elle faisait de la lutte dans sa jeunesse mais faut pas croire, elle est pas si forte que ça.

Bien sûr, quand elle est face à un nabot comme son copain le peintre Toulouse Lautrec, c’est facile pour elle de le séduire et de le dominer à tous les niveaux… Mais quand même, quel grand artiste, son boiteux ! quelles belles affiches il lui fait !

 


Je suis plus grande et bien plus costaude que la Goulue et je lutte avec des hommes forts, moi, en plein air, en public. J’ai beaucoup de force, d’expérience,  et en général je gagne, je leur fais toucher les épaules sous les yeux ébahis du populo.

A côté de ça, j’ai aussi des fréquentations chez les bourgeois, c’est vrai, parce qu’il faut bien vivre et que la lutte sur les foires devant des gens fauchés, ça ne rapporte pas grand-chose.

 

Heureusement, si l’on peut dire,  il y a des messieurs très bien qui me contactent pour des « luttes » en privé, des séances discrètes où je leur mets des petites raclées. C’est beaucoup plus facile à faire que de se colleter avec des costauds du peuple sur la foire, et c’est très bien pour se faire du fric. Le danger, c’est pour la réputation, on est vite mêlée à des intrigues. Il y a trop de jalousies, ces dames leurs épouses nous font la guerre, elles ont des amis écrivains, il y a des salauds qui écrivent n’importe quoi, comme par exemple ce dandy voyageur, le dénommé Valéry Larbaud quand il prétend rapporter les propos malveillants d’un millionnaire de ses amis, un certain O. A. Barnabooth, à propos d’une copine (mais ça aurait très bien pu être moi !) :

« Je ne voyais en elle que la prostituée, masseuse obscène, lutteuse immonde; la puanteur de sa vie me piquait le nez (LARBAUD,Barnabooth, 1913, p.170) »

Merci pour la copine, vraiment !!

De mon côté j’ai eu les « honneurs » de la presse à scandale quand on a appris que je fréquentais ces messieurs et que j'y avais un "Amant", alors là j’ai eu droit à une première page ! (cf. photo)

 


Après tous ces déboires j'ai bien dû m'assagir un peu et me ranger de ces affaires-là, je voulais pas finir en taularde à cause de ces messieurs.

Alors je me suis reconvertie.

Très appréciée pour mon physique sans pareil de femme de constitution très vigoureuse, j'ai eu l'occasion de poser pour des artistes.

 

J'ai été dessinée par Edgar Chahine alors que je luttais contre un homme fort. (cf. le dessin au début de cet article, note d'Aristote)


J'ai posée nue pour Mme Ethel Gabain (Gabain, et non pas Gabin comme l'acteur). Cette franco-britannique a laissé de superbes oeuvres (dessins, peintures, lithogravures...).


Je vous laisse admirer la manière dont elle a su dessiner mon corps taillé à la serpe, vu de dos. (cf. reproduction ci-contre à gauche)


Pour rester en activité, j'ai ouvert une baraque itinérante où je continue mes numéros de force sur les foires. De temps en temps je flanque une correction à un amateur, il y a toujours des types qui jouent aux durs et sont en fait faciles à battre...













Ma fierté, maintenant, c’est ma fille. Regardez-moi ça un peu ! elle est pas belle, la petite, hein ?


Quoi ? qu'est-ce que vous dîtes ? "trop maigre" ? taisez-vous, imbéciles !  elle a pas l’air comme ça, elle est encore jeunette mais c’est une excellente lutteuse, ma gamine.

Elle pourrait en remontrer à plus d'un d'entre vous, mauviettes !


Elle a inspiré le crayon d'Ethel Gabain, tout comme moi naguère.

On ne saura jamais assez remercier ces artistes qui nous immortalisent !

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Présentation

  • : Vaincu par Elle
  • Vaincu par Elle
  • : Divers
  • : Ma compagne et moi-même pratiquons la lutte mixte, ou "mixed wrestling". Elle est une redoutable championne et me fait goûter les plaisirs douloureux d'une forme musclée de domination féminine.
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  • : 16/12/2006

Chronologie


Liste complète des articles de ce blog
dans l'ordre chronologique de parution

Hier encore j'ai voulu lutter avec elle
combats mixtes en privé (1)
combats mixtes officiels (1)
combats mixtes au cinéma (1)
Deux filles à poigne
Ce soir, ça va être ma fête !
Le catch sexuel (Union, 1981)
petites annonces des années 80
Gifles et sumo
Le dressage d'Aristote (1)
Bras de fer mixtes
Se retrouver sous elle
Ma découverte de la force féminine
Vengeances tardives
Il voulait lutter avec elle
Démonstrations de force féminine
Intimidante Tazzie
Ses mains m'ont fait peur
La fréquentation des sportives
Pas de recettes miracles
Le mariage de la princesse Katun
J'ayme une fille de village
Cueillette
Le dressage d'Aristote (2)
Annibale Carracci et ses femmes sculpturales
L'amour avec une plus grande
Lutteuses, attention aux satyres !
combats de lutte mixte (suite)
Le monde du BDSM et nous
Evitez de leur chercher noise
Combats féminins de référence
Défis, tests et vrais combats
Baigneuses robustes
Femmes fortes d'autrefois
Combat mixte en MMA
Le dressage d'Aristote (3)
Véronèse profane
En Asie le plaisir, parfois l'ennui
Maggie Jennings lutteuse et artiste
La sensualité du muscle féminin
La tentation des fesses
Improbables clubs de lutte mixte
Isabelle Rouveure
Bras croisés, force et assurance
Pour fêter le 8 Mars
Un film-culte : Faster Pussycat kill ! kill !
La vie quotidienne avec une lutteuse
La main sur la gorge et sur le visage
Lenkiewicz et ses jolies modèles
Croquis souvenirs
Amazones austères
Le dressage d'Aristote (4)
Combats mixtes officiels (2)
Combats mixtes au cinéma (2)
Combats en privé (2)
Regards furieux et dominateurs
Bien plus forte que toi
Livre sur les Amazones
Russell Flint and the strong girl
Louise Lecavalier, danseuse hors norme
Femmes fortes d'autrefois (2)
Bras de fer mixte (2)
Par devant ou par derrière
Le dressage d'Aristote (5)
Le dialogue d'Aristote et Amphitryon
Luttes mixtes sur youtube
Brunhild face à Gunther
La nuit de noces de Gunther
Brunhild face à Siegfried
Elisabeth de Poméranie

Sourires d'une nuit d'été
Très jeune et déjà vaincu par elle
Extraits de films indiens
La demoiselle musclée de Pablo
Agressive et adorable branleuse
A propos de leurs jambes
Jambes ouvertes, offertes, danger!
Souffrir entre leurs jambes
Vaincu par Liza
Un mois déjà
Mordre la poussière
François Boucher (1)
Le dialogue d'Aristote et Amphitryon (2)
Le punch de Megumi
Affronter une boxeuse
Affronter une catcheuse
Le dialogue d'Aristote et Amphitryon (3)
Histoire d'une fiancée
Souffrir entre ses cuisses huilées
Lutteur réglo cherche Amazone austère
Ces petits attirés par les grandes
Attiré par les femmes noires
Une copine quelque peu violente
Témoignage : une femme bat son mari
Histoire d'une lutteuse de foire
Une amie dure et tendre à la fois
Vidéos amateurs de couples chahuteurs
Vidéos professionnelles de couples chahuteurs
Suis-je raciste envers les petits ?
Balasko joue les femmes fortes
Combats mixtes officiels (3)
Vues à la télé
Sortez couverts
Deux jolies séquences
Quelques superbes japonaises
12 sites amateurs de provenances diverses
Amazones sculpturales et terribles
Amazones vaincues
Amazones sanguinaires
Amazones dans la bande dessinée
Hommes battus (suite)
Amazones culturistes
F-X Simm et ses beautés amazoniennes
Quelques nouveaux portails de lutte mixte
La violence dans les videos de girl power
Affronter une kickboxeuse
Quelques bras de fer (1)
Deux curieuses cartes postales de vacances
Trois cartes postales de monuments historiques
Se frotter à une prof de jiu jitsu
Se frotter à une judokate
Un combat mixte de kickboxing
François Boucher (2)
Quelques bras de fer (2)
Belle, forte et menaçante

Une excitante défaite en cours d'EPS

Plutôt baraques les femmes de Braque !

"Comme les deux doigts", roman

Un rêve compromettant

Gaillardes et mauviettes

A la recherche d'une Asiatique

Catcheuses et mauviettes dans le cinéma mexicain

Gaillardes et mauviettes (2)

Trois excitantes vidéos

"Vous pourrez prendre vos repas en notre compagnie"

Epouse trop forte

Régulièrement battu par Julie

Annie, chahuteuse souriante et très coquine

Quelques odalisques (1)

Quelques odalisques (2)

Quelques odalisques (3)

Quelques odalisques (4)

Quelques odalisques (5)

La prochaine fois je tourne la main  

Femmes musclées nues

Touchers volés

Erotique de l'exhibitionnisme musculaire : magazines

Ma première expérience sportivo-érotique avec deux filles de la classe

Prendre des leçons auprès d'une championne

Confrontations debout

Confrontations assises

Ma femme fait du judo (Fernandel)

Elle me bat au bras de fer (Higelin)

J'suis comme un chien mouillé (Renan Luce)

La quête difficile d'une relation inversée

L'impossible tentative de fuite

Vidéo perdue et provisoirement retrouvée

Gaillarde japonaise retrouvée

Ruth, l'éternelle incomprise

La lutte mixte est-elle accessible à tous?

Se faire boxer : de la peur au plaisir

Des progrès incessants, mais pas partout

Wedge, notre "professional victim"

D'une époque à l'autre

Qui s'y frotte s'y pique

Un peu de tourisme à Liège 

Kimberli, dernière terreur en date des garçons 

Une agréable prison, serré contre la belle 

quelques beaux diaporamas 

A la recherche d'une Asiatique (2) 

Drôlement musclée, la fille...

Ces miroirs où on les contemple 

Eprouvants jeux de bras avec la souriante Kim 

Vraiment besoin d'une fille aux gros bras? 

A la recherche d'une Asiatique (3)

Intermède caritatif 

Prendre la place du ballon
A la recherche d'une Asiatique (4) 

Encore une femme dangereuse 

L'inoubliable Miss Mara 

Meilleurs voeux, et vive le blog de Xana !

Premier sondage des lecteurs

Erotisme du muscle féminin dans les blogs (1)

Erotisme du muscle féminin dans les blogs (2)

Sensualité et spiritualité
Un destin tout tracé
Erotisme du muscle féminin : les jambes (1)
Erotisme du muscle féminin : les jambes (2)
Erotisme du muscle féminin : les jambes (3)
Ces jambes de femme qui enserrent et étouffent
Vos goûts sur quelques régions (sondage)

Femmes assises, jambes redoutables

Souffrir et bander en Espagne

Empoignade sympa avec une petite nana musclée

Elle l'insulte, rit de lui, ou se tait

Rêver aux doigts de fer de la pianiste

Mon rêve familier (pastiche)

Aimer, souffrir et obéir

Lors que la poule chante et fait taire le coq

Erotique du muscle féminin : les jolis abdos

Erotisme du muscle féminin : les Webcam girls (1)

Confrontations debout (2)

Celles qui vous tordent les bras et vous plantent leur genou

Une blonde pour Socrate

Attention, boxeuse !

Le bonheur dans la souffrance

Le risque du sommeil et de l'ennui

En marge des festivals de musique

Ces veines qui parcourent leurs bras musclés !

Aristote rencontre ses lecteurs  

La défaite, couché sous elle  

Pénétrer dans l'intimité d'une athlète

Soulevé, serré, vaincu... quelques vidéos

Quelques déshabillages

Ayez de l'ambition !

Le beau combat de Sarah

Photos aventureuses avec une fille musclée (1)

Photos aventureuses avec une fille musclée (2)

Quelques noyades stantoniennes

Poème stantonien

Un peu de gym corrective pour ce garçon

Retrouver la salle de classe (1)

Retrouver la salle de classe (2)

Belle et dangereuse Julie

Fuite sans combat

Le blog de notre ami Brad Fer

Des trésors de tendresse et de gentillesse

Mon bras de fer avec Julie

Une grande fille apparemment calme

Catcheuses mexicaines

Quelques étrangleuses (1)

Quelques étrangleuses (2)

Quelques étrangleuses (3)

Quelques étrangleuses (4)

Quelques étrangleuses (5)

Quelques étrangleuses (6)

Une coquine de chez Pilates

Une Hongroise qui vous presse contre son sein

Un risque de violence conjugale

Jalouse d'une plante verte

A Amsterdam, un certain matelas

Deux sondages sur les confrontations homme/femme

Madame porte la culotte (film)

L'un des meilleurs films de domination

Pas assez de sexe ? dialogue Lucius-Aristote (1)

Pas assez de porno ? dialogue Lucius-Aristote (2)

Quel masochisme ? dialogue Lucius-Aristote (3) + sondage

Tu vas pas remettre ça ? si !

Le masochisme du demandeur de coups bas

Virago, viragophile et viragomaniaque

Le "meilleur film" de domination de retour !

Jacques Villeret, sa mob et sa virago

Le couple fatal Gérard Depardieu - Faith Minton

Une femme peut-elle violer un homme ? (1)

Une femme peut-elle violer un homme ? (2)  

Une femme peut-elle violer un homme ? (3)

Le fantasme d'être pris de force par une femme

Le film de boxe mixte, entre fiction et document

Une viragophilie gérontophile (1)

Une viragophilie gérontophile (2)

Une femme venge son sexe

Un beau combat mixte actuellement en ligne

Belle et cruelle Antscha

Kyra, encore une Hongroise décidée à vaincre les mecs

Une femme peut-elle violer un homme ? (4)

Fêter le 1er mai avec une femme libérée

Un entretien d'embauche assez spécial

Du rêve à la réalité

Une ex-catcheuse se venge

Elle le bat et le ratatine sans discussion possible

Anodin, ce site de vidéos sur youtube ?

Lutter avec une naïade

Résister au harcèlement

Dressé par une méchante femelle

Une femme peut-elle violer un homme ? (5)

Ces femmes balaises qui abusent de leur force

Quelques films d'anthologie provisoirement en ligne

Une charmante athlète au bras fort et beau

La Japonaise et le fétichiste

Viktoria et bien d'autres... encore une nouvelle chaîne

Deux questions de Chapeau Melon à Aristote

Ceux qui tentent d'attaquer et les soumis d'avance

Celles qui nous surprennent

La lutte soumission : une domination sans jeu de rôle

Découvertes dans les musées de Paris

Fascination, hésitation, impuissance du voyeur

Actualité des vidéos en ligne - 24/08

Histoire imaginaire

Bras de fer imaginaire

Se faire écarteler ou se faire serrer ?

un masochisme rigolo

Les sessions, quand on hésite à en faire 

Les gladiatrices à l'époque romaine

A la télévision, les Nibelungen (1924)

Les sessions, quand on hésite à en faire (2)

Actualité des vidéos de combats mixtes sportifs

Actualité des vidéos de lutte fantaisie (18/10/11)

Une nuit dans un quartier chaud

Vidéos avec dialogues en français

Vaincu et piégé par une grande athlète noire

Le duo Faith Minton Gérard Depardieu remis en ligne

Vous reprendrez bien un peu de magnésie ? (1)

Vous reprendrez bien un peu de magnésie ? (2)

Epouser une femme forte ? (dialogue Raoul Fulgurex - Lucius) (1)

Epouser une femme forte ? (dialogue Raoul Fulgurex - Lucius) (2)

Une diva nommée Nadia

L'enlèvement d'une Sabine, aventure risquée

Suite du dialogue Lucius-Raoul Fulgurex (3)

Rêve de Noël : épouser une géante de choc !

Suite du dialogue Lucius-Raoul Fulgurex (4)

Article de BIBA mentionné par Lucius et Raoul

Pour la Nouvelle Année, des baisers !

Un homme séquestré et violé

Baisers volés... par elle !

Suite du dialogue Lucius-Raoul Fulgurex (5)

La danse classique mène à tout

Introduction à la ciseaulogie (1)

Introduction à la ciseaulogie (2)

Obscurément battu, et giflé comme il le mérite

Deux hommes, une femme plus petite, trapue...

A propos des histoires d'hommes violés (Lucius)

A propos de la ciseaulogie (par CRJ 57)

Réponses de Lucius et Aristote à un commentaire de CRJ 57

La santé de ce blog dépend de celle de ses collaborateurs

Bénabar se prend des râteaux

Tu as bien dit : "anorexique" ?

Seins nus, musclée, dominatrice, maternelle

Un gros vilain à reprendre en mains

Retrouver Ani sur son lit, démarche téméraire

Philippe Martinery et ses femmes costaudes

Les ébats passés des jeunes danubiennes et danubiens

La conclusion rêvée : une pose en signe de victoire

Muscle féminin (1) : exhibitionnistes involontaires

Entraînements mixtes pour jeunes générations

Dialogue Lucius-Aristote sur les entraînements mixtes

Muscle féminin (2) : allumeuses et allumées sur Webcam

Muscle féminin (3) : allumeuses qui jouent des biceps et des pecs

Muscle féminin (4) : collectionneurs de photos

Muscle féminin (5) : caresseurs, peloteurs, baiseurs

Muscle féminin (6) : calmer la lutteuse et la peloter

Muscle féminin (7) : vidéos de dominations et fétichismes

Un clip "porno" proposé par Lucius

Muscle féminin (8) : Christa BAUCH, déesse du fétichisme

Prendre une leçon de jiu-jitsu

Indomptables gymnastes asiatiques

Lutteuses, art et poésie

Exposition Robert CRUMB à Paris

Paris, ville déconseillée sur la liste wb270

Sondage : votre idéal de femme (physiquement)

Rosy la bourrasque (Depardieu - Faith Minton)

Ces filles aux jambes puissantes : danger !

Alors, ces vacances, comment ça se présente ?

Message de vacances

Henri d'Orcines et sa lutteuse

Les trois soeurs Panaitescu

Parties de jambes en l'air

Retours de vacances

Une belle et grande dominatrice

"L'Amazone" de Georges PIOCH (1912)

Kara leur fait mal, les bat, les humilie (les mecs)

"Les lutteuses" - théâtre (1867) - (1/3)

"Les lutteuses" - théâtre (1867) - (2/3)

"Les lutteuses" - théâtre (1867) - (3/3)

Vidéo : un garçon dominé à la lutte par son amie

Trinity en action : comment qu'elle le porte et le trimballe !

La sagesse de Charles FOURIER (1772 - 1837)

Comment elle domine cette mauviette de Symon !

Photos de famille

Sondage : quelle défaite préférez-vous ?

Les gladiatrices, trident, fourche, mythe et réalité

A propos de Krafft-Ebing, du sadisme et du masochisme

"Martin Roi", roman sur le masochisme (2003)

Une séance SM au déroulement imprévu

Affolé par les seins de la belle, et vaincu par elle

Fière de ses muscles, de ses seins, dominatrice

La jolie Miss Géraldine au 6ème anniversaire du blog

Pourquoi j'adore ça ? Et elle, pourquoi ?...

L'inquiétude existentielle d'Aristote

Comment elle domine cette mauviette de Symon !

Confrontation d'une lutteuse et d'un intello

La lutte mixte comme jeu amoureux (1)

Une femme peut-elle aimer un maso ?

Dominations féminines incontestables

Maris battus, autrefois si moqués

Maris battus, victimes à plaindre de nos jours

Humiliantes expériences 

Vous avez dit "sthénolagnie" ?

"Comment j'ai su que ce n'était pas lui" dit-elle...

Vidéos de lutte mixte en ligne (juin 2013)  

Lutte mixte et pornographie

Clay et autres battus : des masos mal-aimés ?

Naissance d'un mythe : Vanessa

Une infirmière qui vous prend en charge complètement

Lutte domination, histoires vécues par CBT

Bodybuilding, érotisme et pornographie (historique)

Ma femme de fer

Bras de fer et culte du muscle

Des romans érotiques à redécouvrir

Une escaladeuse atypique

Apprentissages en images

Un coup de fil de Chantal, la maman de Josy

Femmes fortes de la Belle Epoque

Femmes fortes des années 50  

Redoutables héroïnes de mangas

Lana la fille sans voiles et sans tabous

Leurs masochismes à eux, leurs sadismes à elles

Lutteuses sportives et dominatrices

Histoire vraie, par RC

Plus grande, plus forte...

Judith et Holopherne, images et commentaires à venir

Comment me contacter par e-mail

La lutte comme prélude à l'amour

  Ariqstote vaincu par Walka (1/2)

Mixed wrestling sur youtube en cette fin 2014

  Comment me contacter par e-mail

 

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