L'histoire qui suit m'a été rapportée récemment par un homme qui voulait produire son témoignage dans le contexte des affaires de violence conjugale dont on a reparlé tout récemment à l'occasion d'une journée sur ce thème. "Il y a le cas des maris battus" m'expliqua-t-il.
"Je sais bien et j'en ai d'ailleurs déjà parlé dans mon blog, des maris battus par leurs épouses" lui ai-je répondu.
Les statistiques montrent en effet que sur 100 cas de violences conjugales avérées, il y en a environ 85 où l'homme bat sa femme mais aussi 15, dont on parle moins, où c'est au contraire la femme qui bat son mari. Un témoignage particulièrement réaliste a été donné ici.
"Mais ce n'est pas exactement de cela que je veux parler", m'explique mon interlocuteur. "C'est toute l'histoire de ma vie, que je veux résumer, si ça ne t'ennuie pas Aristote. Je ne veux pas seulement parler des nombreuses raclées que je me suis prises de la part de la femme que j'aime, je veux aussi évoquer les pressions et chantages qu'elle n'a jamais cessé d'exercer, et jusqu'à l'heure actuelle.
"Vous êtes mariés ?" lui demandé-je alors.
"Non, nous nous connaissons depuis l'enfance, nous nous sommes toujours fréquentés, mais jusqu'à présent elle a toujours refusé le mariage. Quant à moi, je n'ai jamais envisagé d'épouser une autre femme qu'elle, et je suis donc célibataire."
"Dans ces conditions", lui expliquai-je, "parler de violences conjugales est hors de propos. Mais je ne veux pas interrompre davantage ton récit et te donne la parole."
"C'est à l'adolescence qu'elle a établi son emprise sur moi, quand elle s'est rendue compte qu'elle était physiquement bien plus forte que moi. Elle y a pris plaisir et... je dois bien l'avouer, moi aussi, en un certain sens, je me demande s'il n'y a pas une certaine dimension de perversité en cela d'ailleurs. Le masochisme est une perversité sexuelle, non ?"
Je n'ai pas souhaité répondre à cette question délicate et j'ai laissé mon ami poursuivre son récit.
"En grandissant, les choses ont continué et sa supériorité sur moi, en taille et en force physique, s'est affirmée de plus en plus. Devenue une jeune femme
libérée, elle était encore plus déchaînée qu'avant dans nos luttes au corps à corps, et souvent elle mêlait du sexe à des rapports sado-masochistes, d'ailleurs, selon son bon
plaisir."
"Par ailleurs elle est progressivement devenue une grande championne dans les sports de forces : je passe sur les détails techniques, tous les "...lifting" de ceci et de cela, je suppose que tout le monde comprendra qu'il ne s'agit pas de chirurgie esthétique mais de soulever des charges de plus en plus lourdes, de diverses manières. Son appétit de remuer de la fonte ne s'est jamais démenti.
Tout en restant très belle et très féminine d'allure, elle s'est terriblement musclée au fil du temps et comme de mon côté je n'ai jamais été particulièrement sportif ni porté vers l'entraînement, l'écart entre nos "performances", si je puis m'exprimer ainsi, n'a fait que croître. Mais j'étais toujours très amoureux d'elle au point qu'un jour j'ai accroché à mon mur une photo où on la voit me portant sur son épaule avec beaucoup d'aisance.
J'étais très fier d'être l'ami de cette championne, je rêvais toujours de l'épouser et le lui avais dit souvent. Pour moi elle était ma "fiancée". Elle a tenté de me décourager en durcissant nos combats : elle devenait de plus en plus violente, dure, implacable, et c'est en ce sens que je dirais que j'ai été victime de violences conjugales. Une fois elle m'a démis l'épaule, une autre fois j'ai atterri aux urgences, elle m'avais enfoncé des côtes flottantes et j'avais peine à respirer. Le toubib m'a dit d'un air narquois, quand j'ai essayé de lui raconter ce qui m'arrivait :
"Ecoutez, mon ami, vous n'êtes pas de constitution assez robuste pour pratiquer les sports violents, voyons !"
"En tout cas", réexpliquai-je à mon ami, "tant que tu ne l'épouses pas, personne n'acceptera de considérer ton cas comme relevant des "violences conjugales", je suis désolé d'avoir à te le répéter, mon vieux, mais entre fiancés l'expression ne s'applique pas, il faut la circonstance de cette prison particulière qu'est le mariage pour qu'on en parle."
Mais laissons mon ami poursuivre son histoire :
"Nous avions eu des rapports sexuels mais elle se plaignait, là aussi, de mes faibles performances. Elle avait toujours refusé de vivre avec moi, et sur sa vie privée, sa vie sentimentale, j'étais finalement assez ignorant. Je comprenais vaguement qu'elle avait eu des partenaires des deux sexes, généralement des sportifs d'ailleurs, parfois des gros balèzes, plus souvent des femmes de son gabarit assez impressionnant. Sa bisexualité me gênait un peu, mais finalement je trouvais cela préférable à une homosexualité féminine pure et dure qui ne m'aurait laissé aucun espoir.
Mille fois je la redemandai en mariage, mille fois elle eut l'occasion de me dire qu'elle "m'aimait bien", certes, que j'avais une place d'ami dans son coeur, avec tous les souvenirs communs que nous avions, mais sans plus. Elle n'était pas amoureuse de moi et ne souhaitait pas faire sa vie avec moi.
Un soir qu'elle est venue me voir, j'ai voulu tenter une dernière chance de demande en mariage. Il faut dire qu'elle était plus superbe que jamais, plus impressionnante encore, avec ces beaux bras nus si puissants ! Tout ramassé dans mon fauteuil, quand j'ai vu comment elle déployait son grand corps d'Amazone au-dessus de moi, plus que jamais je me suis senti petit, minable, infériorisé en un mot.
Alors j'ai voulu lui expliquer que pour moi la vie n'était plus tenable, que je voulais absolument l'épouser parce qu'il n'y avait pas d'autre issue pour moi. Elle m'écoutait en silence, et quelqu'un qui nous aurait vus tous les deux aurait sans doute pensé : "Mais à quoi pense-t-il ? mais il ne fait pas le poids, le pauvre ! si elle le prend dans ses bras elle va le casser en deux !"
Elle restait très calme, et même souriante. Elle m'expliqua qu'elle avait une relation amoureuse avec l'une de ses amies que je connaissais, une ex-basketteuse, et qu'elle ne renoncerait jamais à cette relation-là, en tout cas pas pour moi, qui n'était capable de la combler sous aucun rapport. Tout au plus pourrais-je éventuellement contribuer financièrement à un ménage à trois, si cela pouvait me convenir. Certains couples de lesbiennes ont des animaux de compagnie, alors pourquoi pas un homme ? Elle en parlerait à son amie, laquelle aimait les fêtes grandioses ; alors elle lui ferait la suggestion d'un double mariage en robes blanches, avec moi pris en sandwich entre les deux amazones. "On a déjà vu ça" disait-elle, brandissant une vieille carte postale...
Mon ami est très hésitant. Quant à moi je lui ai fait observer que s'il venait à s'engager dans ce chemin plein d'embûches, le risque de violences conjugales allait devenir non seulement bien réel, mais multiplié par deux !
Depuis quelque temps il tournait autour de cette grande fille athlétique qui l'impressionnait tant par sa taille (elle avait largement une tête de plus que lui) que par son allure calme, très cool.
Il savait peu de choses d'elle, sinon qu'elle avait touché à quelques-uns de ces sports de balles tels le basket ou le volley qui semblent avoir été inventés pour les personnes de grande taille dans son genre.
Elle ne donnait pas tellement l'impression d'être musclée, mais quand même carrée d'épaules, nantie d'une cage thoracique d'athlète, en même temps que probablement ferme de corps, souple et bien dans sa peau.
Il avait remarqué qu'elle fréquentait ce grand parc, près de chez lui, où il l'avait déjà vue faire des footings en de longues et puissantes foulées, ou simplement se balader perdue dans ses pensées, l'air de ne pas y toucher. Il était donc devenu, lui aussi, un familier de ce parc...
Quand un jour il s'était risqué à lui adresser la parole sous un prétexte futile qui ne pouvait la laisser dupe des intentions réelles de son interlocuteur, il avait été surpris de sa réaction plutôt ouverte. Ce n'était pas le genre de fille sur la défensive, agacée par les dragueurs, non, elle s'était montrée disponible pour un brin de conversation.
Le temps passa et ils se revirent de temps à autre. Il finit par comprendre qu'il ne lui déplaisait pas, à cette fille, que son travail d'approche avait été fructueux, bref qu'elle semblait bien d'accord pour faire plus ample connaissance. Mais il ne se doutait pas pour autant de ce qui l'attendait, ça, non, il n'aurait pas pu le prévoir...
Car ce fut elle qui, en un sens, pris les devants ! un jour, dans ce parc, alors qu'ils se promènent ensemble elle lui montre un immeuble et lui explique qu'elle y habite au 7ème étage, appartement n°76, et qu'elle l'attend le soir même à la tombée de la nuit. Il n'aura qu'à sonner, entrer, et se diriger vers la terrasse de son living où elle l'attendra.
C'est ce qu'il fit, sans se démonter. Le soir, à la tombée de la nuit, il pénétra dans l'immeuble. Arrivé devant la porte de l'appartement n°76, il constata qu'elle était entrouverte, mais sonna quand même. Personne ne répondit, mais comme la porte était ouverte il se permit malgré tout d'entrer avec précaution. Il n'y avait personne dans la pièce, mais un courant d'air venait de la grande baie vitrée qui était ouverte sur la terrasse. Quand il se dirigea vers cette terrasse, il la vit de dos, assise et en maillot de bain, en train de se coiffer. Elle l'avait entendu venir, marmonna quelque chose qui pouvait vouloir dire "bonsoir" et lui fit un vague geste d'attendre.
La lumière déclinait, mais elle gardait le visage tourné vers le ciel, et de même après qu'elle se soit enfin décidée à rentrer dans son living elle continuait à regarder dehors, comme si elle tenait à jouir du spectacle du coucher de soleil. Elle lui dit, machinalement : "N'allume pas la lumière, s'il te plaît." Puis elle enchaîna brusquement avec cette phrase inattendue, qui le suffoqua : "Je fais toujours l'amour dans le noir."
C'est alors qu'il comprit qu'il était venu pour faire l'amour ! Elle se déshabilla et il put, à contre-jour (car elle se tenait toujours devant la baie vitrée ouverte et lui avait fait comprendre qu'il devait, lui, rester en arrière), admirer sa sculpturale anatomie, ses larges épaules, son dos immense...
Il crut bon de faire le malin en faisant observer qu'il ne faisait pas encore vraiment noir. C'est alors qu'elle se retourna vers lui, le prit dans ses bras, l'empoigna avec une force qu'il n'aurait jamais soupçonnée chez une femme et qu'elle lui expliqua en souriant : "Avant de faire l'amour, nous devons d'abord nous découvrir physiquement. Pour l'instant nous n'avons fait que de causer, lors de nos rencontres. Alors déshabille-toi !"
En fait, elle lui arracha quasiment ses habits et une lutte improvisée s'engagea. Une longue et éprouvante lutte, où elle le domina totalement, et qu'elle se plut à faire durer assez longtemps, en dépit de ses plaintes à lui, qui ne s'attendait pas à devoir subir une telle épreuve physique et aurait peut-être préféré des préliminaires plus classiques.
Au bout d'un bon moment, alors qu'il était complètement épuisé et qu'il avait mal partout tant elle avait été dure au combat, le tordant, le serrant et le retournant sans cesse, elle lui fit remarquer qu'il faisait à présent nuit noire et qu'elle voulait faire l'amour sans tarder davantage. Il avait timidement suggéré un petit repas du soir car il avait assez faim, mais elle lui fit comprendre qu'elle avait plus faim d'autre chose que de nourriture et que c'est elle qui décidait. Ils firent l'amour, donc, furieusement et jusqu'au matin, et c'est seulement au petit matin qu'elle lui rendit enfin sa liberté, le jetant presque dehors.
Mon bras de fer avec Julie
L'histoire que je vais vous raconter est authentique.
Je ne me souviens plus de l'époque précise, c'était à la fin du printemps ou au début de l'automne, en 2004 ou 2005,
en Ardèche dans une discothèque nommée « le Titanic ».
J'avise une fille d'environ 22 à 25 ans, elle était en tee-shirt manches courtes. Drôlement musclée, la fille, j'hallucine en remarquant qu'elle avait deux
biceps super bien galbés, qui roulaient sous la peau quand elle bougeait ses bras en discutant ...
Bref, le genre de biceps qui laissent deviner une certaine force et qui me font fondre chez une femme...
A la fin de la soirée (comme je suis timide il m'a fallu du temps), je l'ai abordée et lui ai demandé ce qu'elle pratiquait comme sports, et aussi si elle
serait partante pour un bras de fer... Elle me dit qu'elle faisait de l'escalade et de la gym, et qu'elle était OK pour le bras de
fer.
Là-dessus on sort sur le parking de la discothèque, on va vers ma voiture, elle appuie son bras gauche sur le capot, je pense donc qu'elle est gauchère (mais c' est pas grave, je prends quand même, lol) je prends sa main, et on attaque ...
Je pensais bien sûr que j'aurais le dessus, mais je n'ai pas cherché à la plier d'entrée, je comptais la laisser forcer un peu, puis la battre
doucement...
Mais là, surprise!!! je me suis subitement rendu compte de sa force à elle ! et alors là j'ai compris que ça allait être autre chose que le scénario prévu
!...Au bout de quelques secondes, j'ai dû déjà mettre toute la gomme pour parvenir à lui résister...
Trente secondes après, comme j'étais toujours sur la défensive dans ce bras de fer d'enfer, et alors j'entends
subitement, venant de ses copines dans une voiture à côté :
« VAS Y JULIE ! TU EN AS BATTU DES PLUS COSTAUDS ! »...
Ses copines la voyaient déjà gagnante ! Ouah ! la honte !...
Notre duel a encore duré, je ne sais pas, disons deux à trois minutes, et puis finalement on a arrêté sur mon
initiative, on a décrété un match nul....
Cette Julie, je ne l'ai jamais revue, hélas ! Qu'est-ce que j'aimerais revivre ça ! je ne vous dis que ça, les amis... Qu'est-ce j'aimerais la revoir, cette fille !...
Signé : Brad Fer, auteur du blog brad-fer
NB : la photo n'est pas authentique, ce n'est pas moi et ce n'est pas Julie, mais c'est une fille qui lui ressemble et j'ai choisi cette photo pour ça.
On l'appelle Trésor, parce qu'elle dispense des trésors de tendresse et de gentillesse. Son hospitalité est légendaire, son lit est un havre de douceur.
Mais laissons-donc la parole à Trésor :
Nous espérons vous avoir convaincus des grandes qualités relationnelles de l'adorable Trésor.
Voici donc la vidéo dont sont extraites les photos ci-dessus, puisqu'à l'heure où nous écrivons cet article, elle est toujours en ligne :
On était assez copains, cette fille et moi, et comme elle avait des problèmes en classe, parfois on se retrouvait dans la salle de classe où, bon prince, je lui donnais une explication. Un jour, je sais pas pourquoi, elle en a eu marre de mes explications et elle exigea de me donner la sienne...
La superbe lutteuse qu'on voit ici est VeVe Lane
Les photos qui ont illustré ce récit sont tirées de la vidéo VeVe démolit Mark dont nous recommandons vivement l'acquisition.
Notre récit est une adaptation qui n'est pas absolument fidèle au scénario de la vidéo, bien sûr nous avons brodé autour du fait que cela se passe dans ce lieu symbolique qu'est une salle de classe, mais à part ça la raclée que met VeVe Lane à Mark dans la vidéo est incontestable !...
Voici enfin la vidéo qui m'a inspiré ce récit illustré, lequel restera sur ce blog, j'espère, si comme on peut le craindre la vidéo est retirée un jour de youtube :
Les vacances, c'est aussi la saison des spectacles de musiques en tous genres et c'est donc également l'occasion d'admirer quelques remarquables artistes sur scène.
Parmi ces artistes, il est quelques femmes qui tranchent par leur physique musclé et par l'énergie qu'elles dégagent. Je vous ferai grâce de Madonna et vous parlerai ici de dames moins connues et d'abords plus faciles.
(non, je n'ai pas fait de faute d'orthographe à "abord", qui, dans mon intention, n'est pas ici un adverbe mais un nom )
Mes lecteurs qui feront des rencontres analogues durant un été 2010 qui s'annonce chaud, seraient bien inspirés de nous raconter leurs aventures mouvementées avec telle artiste ou championne qu'ils auront croisée lors d'une manifestation culturelle.
A tout hasard, voici encore deux porteuses de guitare qui ne manquent pas de muscle, mais je ne doute pas que vous saurez nous en signaler d'autres.
Aristote : Bonjour Socrate ! cela fait un moment qu'on ne s'est vu. En octobre dernier, tu es venu me suggérer de faire Un peu de tourisme à Liège
Je te remercie d'avoir pris ton bâton de pélerin pour revenir me voir. De quoi viens-tu nous entretenir à présent ?
Socrate : de mes déboires avec Xanthippe et de mon souhait de me trouver une autre blonde.
Aristote : Mais n'a-t-on pas dit, en octobre, que tu étais marié avec Xana ? que Xana et Xanthippe était une seule et même blonde ? Je rappelle à mes lecteurs que dans
notre belle langue grecque, "blonde" se dit "ξανθιά", Xanthia...
Socrate : Rumeur mensongère colportée par cette infame presse pipeule ! Xanthippe a mon âge, hélas, et avec les années elle s'est terriblement aigrie. Nos rapports sont exécrables et les gens s'en font les gorges chaudes, même les Allemands ont écrit un livre sur nous !
Quant à Xana, elle vit en Belgique, je ne l'ai jamais rencontrée, mais je lis régulièrement le blog de Xana
et je remarque qu'on y voit de belles luttes féminines.
Socrate : Pourtant, dans sa jeunesse Xanthippe fut une très belle blonde, elle posait nue pour les plus grands sculpteurs tels Phidias ! certes à l'époque elle me battait déjà à la lutte, mais avec moins de méchanceté que la vieille mégère sadique qu'elle est devenue.
Aristote : Ainsi tu te cherches une autre blonde... et une jeune ? dans le genre de Xana ? d'où les rumeurs qui courent les gazettes... Mais ne rêves-tu pas, mon vieux Socrate ? A ton âge, refaire ta vie avec une jeunesse ? ce n'est pas sérieux, pour un philosophe de ton niveau.
Socrate : Mais je suis encore vert, mon vieux ! plus que toi, je parie !
Aristote : Et pourquoi encore une blonde ?
Socrate : Et pourquoi pas ? excuse-moi, Aristote, mais je trouve que les blondes n'ont pas leur place dans ton blog, il n'y en a que pour ce Paul qui se cherche éternellement une Asiatique, tu oublies les blondes, mon vieux, tes lecteurs voudraient voir des blondes !
Aristote : Tu es injuste, il est arrivé qu'une blonde soit en vedette sur mon blog, par exemple dans Touchers volés
Socrate : Mais ce n'est pas souvent. Tiens, je t'ai apporté quelques photos de blondes, et bien sûr des filles capables de nous dominer en combat, toi ou moi. Comment les trouves-tu ?
Socrate : Un vieil ami à moi fréquente depuis longtemps le milieu de la boxe et il m'avait apporté quelques documents intéressants, mais il a hésité à prendre contact avec ces filles et je le comprends !
Socrate : Je me demande si je ne vais pas quand même contacter l'une ou l'autre de ces blondes boxeuses, elles pourraient me donner des cours et m'entraîner en préparation de mes affrontements avec Xanthippe...
Pour en revenir à mon ami, il est allé voir Ola, une lutteuse blonde d'origine polonaise qui fait des sessions en Allemagne et il en est revenu enchanté ! voici tout un reportage sur cette beauté qui sait admirablement agresser ses visiteurs :
Aristote : Prends garde que pendant que tu courras ainsi derrière une jeune blonde qui se fiche pas mal de toi et ne s'intéresse qu'à ton argent, tu ne perdes définitivement ta chère Xanthippe, mon vieux Socrate.
Nous autres, philosophes, sommes en quête de sagesse, et en l'occurrence il me semble que tu fais fausse route, mon vieux Socrate, reprends vite la voie de la
sagesse !
Bonjour, je m'appelle Simon, je suis comme vous amateur de lutte mixte et, comme vous aussi je pense, il y a, mêlées dans mon esprit, deux composantes : le désir et la peur.
Je veux lutter avec une femme forte mais en même temps que je désire cela, j'ai peur de l'humiliation qui pourrait en résulter. L'idée de lutter avec une telle femme me fait bander mais quand je vois par exemple ce gars couché sur le ventre et qui se fait tordre le bras dans le dos par Kim, ça me fait mal, quelque part...
Pareil avec cet autre gars, lui aussi couché sur le ventre, avec au-dessus de lui cette terrible Tazzie apparue il y a quelques années dans des vidéos allemandes disparues des rayons, je crois.... Elle lui a tordu les deux bras, elle pèse avec son genou, en même temps qu'elle le gifle !
Ouah ! je souffre pour lui, et j'ai peur : si jamais il me prenait de lutter avec elle, dans quel état je sortirais ?
Encore on peut dire que ces deux-là ne voient pas ce qui leur arrive, ou assez mal, puisqu'ils sont à plat ventre... Mais d'autres se font durement dominer en étant couchés sur le dos, comme celui-là. Car ici les intentions de Mme Mysteria (je crois que c'est elle) ne font pas mystère : elle veut le faire taire et refuse d'entendre ses plaintes !
Il y a ce type qui finit sur le dos avec le genou de Lee Price planté sur la gorge... et son bras tendu qui lui fait mal !
Il
y a ce type que la lutteuse étrangle en forçant son propre bras autour de son cou : ici on voit Agnès, une dangereuse pro de Paris, faire rougir ce gars par une technique de ce type, Humiliant de
s'étouffer soi-même, non ?
Tandis que là c'est Kathy, la tatouée de Londres, qui fait pareil avec sa victime.
Moi, Simon, je me suis donc dit : quand tu feras un combat avec une demoiselle, choisis-la à ta portée, donc pas trop forte quand même, pas une femme monstrueusement musclée.
Dans les photos qui suivent, vous me voyez luttant avec une fille qui, au départ, m'avait parue un bon choix.
Elle était tatouée, certes, mais ce n'était pas Kathy, non, avec Kathy je n'aurais pas osé, elle a un haut niveau tandis que moi... passons.
Non, elle était tatouée, mais inconnue, en principe pas une championne, donc je me sentais à l'aise au départ. J'étais comme Larry face à Joli Sourire ! en confiance, cool au départ. Eh ben j'ai déchanté, tout comme l'ami Larry !
J'ai passé à Aristote les photos de mon combat et c'est lui qui a rajouté les textes, je vous laisse donc à votre lecture. Il a mélangé le "il" (Simon) avec le "je"
(toujours Simon) mais peu importe. Faut-il faire un sondage pour savoir si vous auriez aimé être à ma place ?
Bon, voilà, j'arrête là le récit de cette cuisante défaite. Quand je pense qu'au départ j'avais dit "oui" parce que je la trouvais "bandante", cette tatouée, alors
là, vraiment... Vos commentaires seront les bienvenus, les amis !
Aristote : Bonjour Paul ! cela fait quelque temps que nous étions sans nouvelles de toi. Alors, que deviens-tu ? toujours à la recherche d’une Asiatique championne en arts martiaux ?
Paul Asiatophile : Oui, sans doute, mais en rêve plus qu’en réalité, n’est-ce pas, tu l’as compris depuis longtemps et tes lecteurs aussi… En
ce moment je fantasme sur la force que certaines ont dans les doigts ou dans les poings.
Je ne sais pas ce qui me fait le plus peur : la
fille qui s’avance la main ouverte ou celle qui brandit son poing fermé. La première a appris tel ou tel art martial sophistiqué (avec un de ces noms orientaux que je n’arrive jamais à retenir et
encore moins à orthographier correctement en français), elle imite les techniques de combat des animaux, sa fine main ne doit pas faire illusion car ses doigts d’acier peuvent faire des ravages
sur son adversaire. L’autre fille menace plus simplement de « t’en mettre une » en pleine poire, ce qui n’est guère plus rassurant.
Toi qui fais des sondages, Aristote, voilà une question que tu devrais poser à tes lecteurs : laquelle de ces deux attitudes fait-elle le plus peur ? moi, je suis incapable de répondre, je m’abstiendrais.
Aristote : Pourquoi portes-tu ces grosses lunettes, Paul ? cela ne t’avantage pas beaucoup, je trouve…
Paul : Par discrétion, pour rester anonyme. J’imite cette Japonaise musclée qui domine une mauviette dans une vidéo qu’on peut admirer en ce moment. Si elle porte ces lunettes, c’est sans doute pour qu’on ne la reconnaisse pas, hein ? J’aime beaucoup cette vidéo, surtout le passage où elle domine le gars à la force des doigts. Je t’ai montré ça et tu m’as proposé qu’on écrive ensemble un court « roman photos » de cet épisode, je pense que ce serait le moment de montrer ça à tes lecteurs, Aristote.
Aristote : Bien sûr, c’est pour l’agrément de nos lecteurs que nous avons fait cela, alors voici ce petit « roman-photo » :
Aristote : Voici également la vidéo dont ces photos sont extraites :
Paul Asiatophile : On verra d’autres passages de cette séance de domination sur la chaîne youtube suivante : chaîne de QuarenForever
En ce qui me concerne, c’est le passage « doigts de fer » qui me plaît le plus, mais on peut en préférer d’autres, chacun ses goûts.
Aristote : Ces extraits mis en ligne sont tirés d’une vidéo japonaise qui est sortie il y a quelques années. Voici une reproduction de la jaquette :
Il y a sans doute un problème de « copyright » à mettre ça sur youtube, mais bon, ce n’est pas notre problème à toi et moi, n’est-ce pas...
NB du 11 mai : les vidéos de cette fille ont été supprimées sur youtube.
A ton avis, quel sport pratique cette fille musclée ?
Paul : Probablement du kickboxing, mais je me demande si par ailleurs elle ne joue pas du piano. En Chine et au Japon, beaucoup de demoiselles dans son genre jouent du piano, c’est très à la mode et ça muscle terriblement les doigts, le piano.
Aristote : Ah bon ?
Paul Asiatophile : Je fantasme à propos d’une pianiste asiatique qui lui ressemble, et dont voici quelques photos.
Je me demande si ce n’est pas elle. Bon, je rêve, là, mais je « voudrais » que ça soit la même personne. En tout cas je rêve d’affronter cette pianiste aux doigts de fer, et quand je vois l’énergie qu’elle dégage sur son piano, là je pense qu’elle me battrait certainement à plate couture si je me hasardais à insérer mes doigts dans les siens pour un test de force. Je me vois sortant de là les phalanges meurtries, tout rouge et tout excité… Je rêve aussi qu’elle me fasse un massage, mais pas le genre sensuel mollasson, non, dans le genre vigoureux, hein, avec des pressions sur les vertèbres, le genre shiatsu. Ah ! mais qu’elle lâche un peu la grappe aux touches d’ivoire de son piano ! qu'elle arrête de lui taper dessus et qu’elle vienne donc jouer son Chopin sur mes vertèbres, mes côtes et mes osselets ! alors ça, ça serait le "pied", si je puis dire…
Aristote : Ecoute, Paul, je crois que tu délires complètement, les demoiselles pianistes et les championnes d’arts martiaux, ça ne va pas ensemble, ce sont deux milieux sociaux très différents, tu sais.
Paul : excuse-moi, Aristote, mais tu as tort, tu te trompes complètement et je te le prouve, regarde un peu cette vidéo-ci, par exemple :
Tu vois bien, Aristote, que ce sont les mêmes filles qui font du piano et des arts martiaux. Dans le cas de cette vidéo, on peut seulement regretter l’écart entre
ce qui est promis («Ass kicking beauty») et ce qui est vraiment montré, sans combat mixte hélas, même si cette Elaine Kwan est absolument charmante et, nous n’en doutons pas, certainement
dangereuse pour le gars qui voudrait faire joujou avec elle...
Aristote : c'est vrai qu'au moment où le gars l'interviewe on aimerait bien qu'elle lui fasse une petite démonstration en direct et qu'on le retrouve alors, ce blondinet, étendu sur la moquette près du piano, à implorer "mercy"! Mais bon... on ne fait dans cette vidéo que suggérer ce qui se passe sans doute dans l'intimité, de même ce qui se passe dans mon couple, j'en parle mais je ne souhaite pas l'exhiber publiquement...
Au plaisir de te revoir bientôt, Paul, pour une suite à cette passionnante chronique asiatophile!
Liste complète des articles de ce blog
dans l'ordre chronologique de parution
Hier encore j'ai voulu lutter avec elle
combats mixtes en privé (1)
combats mixtes officiels (1)
combats mixtes au cinéma (1)
Deux filles à poigne
Ce soir, ça va être ma fête !
Le catch sexuel (Union, 1981)
petites annonces des années 80
Gifles et sumo
Le dressage d'Aristote (1)
Bras de fer mixtes
Se retrouver sous elle
Ma découverte de la force féminine
Vengeances tardives
Il voulait lutter avec elle
Démonstrations de force féminine
Intimidante Tazzie
Ses mains m'ont fait peur
La fréquentation des sportives
Pas de recettes miracles
Le mariage de la princesse Katun
J'ayme une fille de village
Cueillette
Le dressage d'Aristote (2)
Annibale Carracci et ses femmes sculpturales
L'amour avec une plus grande
Lutteuses, attention aux satyres !
combats de lutte mixte (suite)
Le monde du BDSM et nous
Evitez de leur chercher noise
Combats féminins de référence
Défis, tests et vrais combats
Baigneuses robustes
Femmes fortes d'autrefois
Combat mixte en MMA
Le dressage d'Aristote (3)
Véronèse profane
En Asie le plaisir, parfois l'ennui
Maggie Jennings lutteuse et artiste
La sensualité du muscle féminin
La tentation des fesses
Improbables clubs de lutte mixte
Isabelle Rouveure
Bras croisés, force et assurance
Pour fêter le 8 Mars
Un film-culte : Faster Pussycat kill ! kill !
La vie quotidienne avec une lutteuse
La main sur la
gorge et sur le visage
Lenkiewicz et ses jolies modèles
Croquis souvenirs
Amazones austères
Le dressage d'Aristote (4)
Combats mixtes officiels (2)
Combats mixtes au cinéma (2)
Combats en privé (2)
Regards furieux et dominateurs
Bien plus forte que toi
Livre sur les Amazones
Russell Flint and the strong girl
Louise Lecavalier, danseuse hors norme
Femmes fortes d'autrefois (2)
Bras de fer mixte (2)
Par devant ou par derrière
Le dressage d'Aristote (5)
Le dialogue d'Aristote et Amphitryon
Luttes mixtes sur youtube
Brunhild face à Gunther
La nuit de noces de Gunther
Brunhild face à Siegfried
Elisabeth de Poméranie
Sourires d'une nuit
d'été
Très jeune et déjà vaincu par elle
Extraits de films indiens
La demoiselle musclée de Pablo
Agressive et adorable branleuse
A propos de leurs jambes
Jambes ouvertes, offertes, danger!
Souffrir entre leurs jambes
Vaincu par Liza
Un mois déjà
Mordre la poussière
François Boucher (1)
Le dialogue d'Aristote et Amphitryon (2)
Le punch de Megumi
Affronter une boxeuse
Affronter une catcheuse
Le dialogue d'Aristote et Amphitryon (3)
Histoire d'une fiancée
Souffrir entre ses cuisses huilées
Lutteur réglo cherche Amazone austère
Ces petits attirés par les grandes
Attiré par les femmes noires
Une copine quelque peu violente
Témoignage : une femme bat son mari
Histoire d'une lutteuse de foire
Une amie dure et tendre à la fois
Vidéos amateurs de couples chahuteurs
Vidéos professionnelles de couples chahuteurs
Suis-je raciste envers les petits ?
Balasko joue les femmes fortes
Combats mixtes officiels (3)
Vues à la télé
Sortez couverts
Deux jolies séquences
Quelques superbes japonaises
12 sites amateurs de provenances diverses
Amazones sculpturales et terribles
Amazones vaincues
Amazones sanguinaires
Amazones dans la bande dessinée
Hommes battus (suite)
Amazones culturistes
F-X Simm et ses beautés amazoniennes
Quelques nouveaux portails de lutte mixte
La violence dans les videos de girl power
Affronter une kickboxeuse
Quelques bras de fer
(1)
Deux curieuses cartes postales de vacances
Trois cartes postales de monuments historiques
Se frotter à une prof de jiu jitsu
Se frotter à une judokate
Un combat mixte de kickboxing
François Boucher (2)
Quelques bras de fer (2)
Belle, forte et menaçante
Une excitante défaite en cours d'EPS
Plutôt baraques les femmes de Braque !
"Comme les deux doigts", roman
A la recherche d'une Asiatique
Catcheuses et mauviettes dans le cinéma mexicain
"Vous pourrez prendre vos repas en notre compagnie"
Annie, chahuteuse souriante et très coquine
La prochaine fois je tourne la main
Erotique de l'exhibitionnisme musculaire : magazines
Ma première expérience sportivo-érotique avec deux filles de la classe
Prendre des leçons auprès d'une championne
Ma femme fait du judo (Fernandel)
Elle me bat au bras de fer (Higelin)
J'suis comme un chien mouillé (Renan Luce)
La quête difficile d'une relation inversée
L'impossible tentative de fuite
Vidéo perdue et provisoirement retrouvée
La lutte mixte est-elle accessible à tous?
Se faire boxer : de la peur au plaisir
Des progrès incessants, mais pas partout
Wedge, notre "professional victim"
Kimberli, dernière terreur en date des garçons
Une agréable prison, serré contre la belle
A la recherche d'une Asiatique (2)
Drôlement musclée, la fille...
Ces miroirs où on les contemple
Eprouvants jeux de bras avec la souriante Kim
Vraiment besoin d'une fille aux gros bras?
A la recherche d'une Asiatique (3)
Prendre la place du ballon
A la recherche d'une Asiatique (4)
Meilleurs voeux, et vive le blog de Xana !
Erotisme du muscle féminin dans les blogs (1)
Erotisme du muscle féminin dans les blogs (2)
Sensualité et spiritualité
Un destin tout tracé
Erotisme du muscle féminin : les jambes (1)
Erotisme du muscle féminin : les jambes (2)
Erotisme du muscle féminin : les jambes (3)
Ces jambes de femme qui enserrent et étouffent
Vos goûts sur quelques régions (sondage)
Femmes assises, jambes redoutables
Empoignade sympa avec une petite nana musclée
Elle l'insulte, rit de lui, ou se tait
Rêver aux doigts de fer de la pianiste
Lors que la poule chante et fait taire le coq
Erotique du muscle féminin : les jolis abdos
Erotisme du muscle féminin : les Webcam girls (1)
Celles qui vous tordent les bras et vous plantent leur genou
Le risque du sommeil et de l'ennui
En marge des festivals de musique
Ces veines qui parcourent leurs bras musclés !
Aristote rencontre ses lecteurs
Pénétrer dans l'intimité d'une athlète
Soulevé, serré, vaincu... quelques vidéos
Photos aventureuses avec une fille musclée (1)
Photos aventureuses avec une fille musclée (2)
Quelques noyades stantoniennes
Un peu de gym corrective pour ce garçon
Retrouver la salle de classe (1)
Retrouver la salle de classe (2)
Des trésors de tendresse et de gentillesse
Une grande fille apparemment calme
Une Hongroise qui vous presse contre son sein
Un risque de violence conjugale
A Amsterdam, un certain matelas
Deux sondages sur les confrontations homme/femme
Madame porte la culotte (film)
L'un des meilleurs films de domination
Pas assez de sexe ? dialogue Lucius-Aristote (1)
Pas assez de porno ? dialogue Lucius-Aristote (2)
Quel masochisme ? dialogue Lucius-Aristote (3) + sondage
Le masochisme du demandeur de coups bas
Virago, viragophile et viragomaniaque
Le "meilleur film" de domination de retour !
Jacques Villeret, sa mob et sa virago
Le couple fatal Gérard Depardieu - Faith Minton
Une femme peut-elle violer un homme ? (1)
Une femme peut-elle violer un homme ? (2)
Une femme peut-elle violer un homme ? (3)
Le fantasme d'être pris de force par une femme
Le film de boxe mixte, entre fiction et document
Une viragophilie gérontophile (1)
Une viragophilie gérontophile (2)
Un beau combat mixte actuellement en ligne
Kyra, encore une Hongroise décidée à vaincre les mecs
Une femme peut-elle violer un homme ? (4)
Fêter le 1er mai avec une femme libérée
Un entretien d'embauche assez spécial
Elle le bat et le ratatine sans discussion possible
Anodin, ce site de vidéos sur youtube ?
Dressé par une méchante femelle
Une femme peut-elle violer un homme ? (5)
Ces femmes balaises qui abusent de leur force
Quelques films d'anthologie provisoirement en ligne
Une charmante athlète au bras fort et beau
Viktoria et bien d'autres... encore une nouvelle chaîne
Deux questions de Chapeau Melon à Aristote
Ceux qui tentent d'attaquer et les soumis d'avance
La lutte soumission : une domination sans jeu de rôle
Découvertes dans les musées de Paris
Fascination, hésitation, impuissance du voyeur
Actualité des vidéos en ligne - 24/08
Se faire écarteler ou se faire serrer ?
Les sessions, quand on hésite à en faire
Les gladiatrices à l'époque romaine
A la télévision, les Nibelungen (1924)
Les sessions, quand on hésite à en faire (2)
Actualité des vidéos de combats mixtes sportifs
Actualité des vidéos de lutte fantaisie (18/10/11)
Une nuit dans un quartier chaud
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Vaincu et piégé par une grande athlète noire
Le duo Faith Minton Gérard Depardieu remis en ligne
Vous reprendrez bien un peu de magnésie ? (1)
Vous reprendrez bien un peu de magnésie ? (2)
Epouser une femme forte ? (dialogue Raoul Fulgurex - Lucius) (1)
Epouser une femme forte ? (dialogue Raoul Fulgurex - Lucius) (2)
L'enlèvement d'une Sabine, aventure risquée
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Rêve de Noël : épouser une géante de choc !
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Article de BIBA mentionné par Lucius et Raoul
Pour la Nouvelle Année, des baisers !
Suite du dialogue Lucius-Raoul Fulgurex (5)
La danse classique mène à tout
Introduction à la ciseaulogie (1)
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Obscurément battu, et giflé comme il le mérite
Deux hommes, une femme plus petite, trapue...
A propos des histoires d'hommes violés (Lucius)
A propos de la ciseaulogie (par CRJ 57)
Réponses de Lucius et Aristote à un commentaire de CRJ 57
La santé de ce blog dépend de celle de ses collaborateurs
Tu as bien dit : "anorexique" ?
Seins nus, musclée, dominatrice, maternelle
Un gros vilain à reprendre en mains
Retrouver Ani sur son lit, démarche téméraire
Philippe Martinery et ses femmes costaudes
Les ébats passés des jeunes danubiennes et danubiens
La conclusion rêvée : une pose en signe de victoire
Muscle féminin (1) : exhibitionnistes involontaires
Entraînements mixtes pour jeunes générations
Dialogue Lucius-Aristote sur les entraînements mixtes
Muscle féminin (2) : allumeuses et allumées sur Webcam
Muscle féminin (3) : allumeuses qui jouent des biceps et des pecs
Muscle féminin (4) : collectionneurs de photos
Muscle féminin (5) : caresseurs, peloteurs, baiseurs
Muscle féminin (6) : calmer la lutteuse et la peloter
Muscle féminin (7) : vidéos de dominations et fétichismes
Un clip "porno" proposé par Lucius
Muscle féminin (8) : Christa BAUCH, déesse du fétichisme
Prendre une leçon de jiu-jitsu
Indomptables gymnastes asiatiques
Exposition Robert CRUMB à Paris
Paris, ville déconseillée sur la liste wb270
Sondage : votre idéal de femme (physiquement)
Rosy la bourrasque (Depardieu - Faith Minton)
Ces filles aux jambes puissantes : danger !
Alors, ces vacances, comment ça se présente ?
Henri d'Orcines et sa lutteuse
Une belle et grande dominatrice
"L'Amazone" de Georges PIOCH (1912)
Kara leur fait mal, les bat, les humilie (les mecs)
"Les lutteuses" - théâtre (1867) - (1/3)
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Vidéo : un garçon dominé à la lutte par son amie
Trinity en action : comment qu'elle le porte et le trimballe !
La sagesse de Charles FOURIER (1772 - 1837)
Comment elle domine cette mauviette de Symon !
Sondage : quelle défaite préférez-vous ?
Les gladiatrices, trident, fourche, mythe et réalité
A propos de Krafft-Ebing, du sadisme et du masochisme
"Martin Roi", roman sur le masochisme (2003)
Une séance SM au déroulement imprévu
Affolé par les seins de la belle, et vaincu par elle
Fière de ses muscles, de ses seins, dominatrice
La jolie Miss Géraldine au 6ème anniversaire du blog
Pourquoi j'adore ça ? Et elle, pourquoi ?...
L'inquiétude existentielle d'Aristote
Comment elle domine cette mauviette de Symon !
Confrontation d'une lutteuse et d'un intello
La lutte mixte comme jeu amoureux (1)
Une femme peut-elle aimer un maso ?
Dominations féminines incontestables
Maris battus, autrefois si moqués
Maris battus, victimes à plaindre de nos jours
Vous avez dit "sthénolagnie" ?
"Comment j'ai su que ce n'était pas lui" dit-elle...
Vidéos de lutte mixte en ligne (juin 2013)
Clay et autres battus : des masos mal-aimés ?
Naissance d'un mythe : Vanessa
Une infirmière qui vous prend en charge complètement
Lutte domination, histoires vécues par CBT
Bodybuilding, érotisme et pornographie (historique)
Bras de fer et culte du muscle
Des romans érotiques à redécouvrir
Un coup de fil de Chantal, la maman de Josy
Femmes fortes de la Belle Epoque
Redoutables héroïnes de mangas
Lana la fille sans voiles et sans tabous
Leurs masochismes à eux, leurs sadismes à elles
Lutteuses sportives et dominatrices
Judith et Holopherne, images et commentaires à venir
Comment me contacter par e-mail
La lutte comme prélude à l'amour
Ariqstote vaincu par Walka (1/2)
Mixed wrestling sur youtube en cette fin 2014
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