Vaincu par Elle
Ce récit illustré est dédié à Amphitryon. Il fut mon premier correspondant, le premier de mes lecteurs avec lequel j'ai engagé de longs dialogues où nous comparions nos situations et goûts respectifs (cf. colonne de droite).
Depuis deux ans je suis sans nouvelle d'Amphitryon. Sa redoutable épouse lui aurait-elle intimé l'ordre de ne plus fréquenter le blog du vieil Aristote ? c'est bien possible, il me donnait l'impression de lui être pleinement soumis.
Si je dédie le présent article à Amphitryon, c'est parce qu'il avait plusieurs fois insisté sur le fait que les danseuses ont une grande force physique, notamment dans l'entre-jambes, et que cela ne doit pas être sous-estimé.
Voilà qui achève ce récit dédié à Amphitryon. Les photos sont tirées d'un clip resté en ligne sur youtube quelque temps, puis supprimé. En voici un autre avec la même fille aux jambes d'acier
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Encore une fois, très beau scénario Aristote.
Une amie à moi faisait beaucoup de danse classique, et je confirme, la force dans les jambes des danseuses est incroyable. Rapport puissance/poids inégalable :-)