Vaincu par Elle

 

Lucius:  Tout dépend comment l'on conçoit l'Evolution ! Si l'on se borne à une conception purement "matérialiste" et à une  adaptation à l'environnement, alors, oui, l'expérience des Dinosaures n'est pas un "raté" (mais il y a plein d'autres exemples de ce type dans la "nature"). Maintenant, si l'on se place sur sur un point quasi-religieux, comme le fait Bergson, et que l'on considère que l'évolution aboutit au genre humain - avec l'apparition de la "pensée" et de la "raison" - même sans adopter les thèses bergsoniennes, on peut considérer que toutes les autres initiatives ont été des "ratés", en s'engageant sur des impasses. A remarquer qu'apparemment, pour le moment, le "genre humain" ne brille pas par son adaptation aux conditions existantes - en détruisant son environnement et lui-même et en croissant sans frein. Problème qui devient "philosophique"; Car on ne conçoit pas l'homme sans les autres espèces (végétales et animales). Argument des thèses "fixistes" se limitant à la Bible.       Raoul : Alors si c'est à un point de vue quasi-religieux, je suis obligé de le respecter même si je ne le partage pas. Bien sûr, en pareil cas c'est une tautologie de considérer l'homme comme une réussite et les branches qui n'y ont pas mené comme des échecs. Pour ma part je souscris à une version plus modeste qui est que la complexité du monde a largement augmenté avec l'apparition de l'homme et de sa culture. Il faut savoir que cette vue est déjà une hérésie pour pas mal de scientifiques. Il est en effet difficile de trouver une mesure de complexité qui ne soit pas complètement ad hoc (c'est-à-dire construite exprès pour faire gagner l'espèce humaine), et qui donne autant de poids au espèces "évoluées" qu'à l'immense biomasse des unicellulaires. Je pense toutefois que cela est possible. Quant à considérer l'homme comme l'aboutissement inévitable de l'évolution, je pense toutefois que c'est un peu chauvin et que cela sous-estime largement la place du hasard.  Lucius : Je ne crois pas que je me sentirais "humilié" si j'étais battu par un type ou une femme du genre "rugbyman" ou "super sportive" ! Mais, je ressentirai ce sentiment d'humiliation si mon adversaire féminin était d'une stature comparable à la mienne (plus ou moins) et pas une sportive de haut niveau ou très experte en arts martiaux. pro123
Raoul Je relève le défi : voici Afrika en action sur la photo, elle est un véritable paquet de muscles autant qu'une experte en soumissions. Cela signifie-t-il qu'il ne serait pas humiliant de se retrouver ainsi crucifié dans une position à se faire briser la nuque, et de devoir demander grâce devant, disons une dizaine de spectateurs ou de spectatrices ? Bien sûr je force un peu le trait ! Pour ma part, même sans les spectateurs je me sentirais complètement (et délicieusement) humilié. Lucius :   Maintenant, pour le Bondage, je l'apprécie beaucoup, mais toujours à condition qu'il soit imposé par la "force" (ou, tout au moins, de l'imaginer). Dans mon fantasme, j'imagine un bondage plutôt simple, comme, par exemple, d'avoir une seule main et un seul pied entravés - et ce pour permettre à la victime de pouvoir bouger et tenter d'opposer une certaine résistance et à se "tortiller" ! Je n'aime pas trop quand le bondage devient trop compliqué.   stan 014-2-19 Raoul : Je préfère aussi quand ce n'est pas compliqué au point de poireauter 10 minutes en attendant que l'attacheuse parachève son œuvre d'art. Par contre, j'accepte facilement de ménager une petite minute de collaboration pour me faire attacher avant de lutter. Après cela je ne collabore plus du tout, même si les liens sont très restrictifs je trouve excitant de me battre contre avec toute l'énergie possible. Ou de subir des soumissions par dix à la douzaine car je suis sans défense. En fait dans mon adolescence la plupart de mes fantasmes incluaient du bondage, car je ne croyais pas vraiment qu'une fille puisse me battre sans cela. Si j'ai bien changé d'avis sur ce dernier point de vue, le bondage reste un grand fantasme pour moi, et des cordes bien placées peuvent être un excellent substitut à un contact plus charnel. Avant de rencontrer ma femme je voyais le bondage aussi comme le moyen idéal de me faire dominer par une épouse charmante mais pas forte. Qui plus est, je trouve aussi humiliant d'être battu par des cordes que par une femme ! En fait je ne vois que des avantages au bondage... encore faut-il l'apprécier !  Lucius:   Curieux, car, pour moi, je considère la nudité totale comme un "nec plus ultra", mais pas au début d'une lutte. Non, mais une tenue comme tu dis - au début -, pluis une sorte de "strip-tease" graduel pour ménager un certain suspense. Avec  une totale nudité, à la fin, suivi d'actes sexuels.     "Une vidéo de LEDA - la FD-196 - avait retenu mon attention, bien que déficiente au point de vue "lutte proprement dite".  Car cette vidéo nécessiterait de profonds changements. Mais, l'idée de départ était intéressante. C'est d'ailleurs la seule vidéo de LEDA, je crois, où l'on voit une scène carrément "porno" (mais que je considère comme différente du "porno" classique). Scène de "viol" bien détaillée ! Et il y avait un semblant de Scénario.  Bref, dans cette vidéo, l'on voyait le héros (DAVID, un acteur assez passable) ne voulant pas faire l'amour avec une fille (pourtant pas laide du tout et en négligé). Pour quelle raison ? C'est l'une des faiblesses de l'histoire (mais il vaut mieux ne pàs chercher à approfondir). Quoiqu'il en soit, cette fille, accompagnée de deux grosses filles - bien baraquées, mais, malheureusement complétement habillées - invite David à lui rendre hommage. Ce dernier, étant réticent et refusant ses avances, les deux autres filles entrent en action et c'est là qu'il y une (trop) brève séance de lutte,  pas convaincante - loin d'une lutte paraissant réelle. David, rapidement maîtrisé est déshabillé (gardant toutefois son tee-shirt, encore une faiblesse du film, puis, maltraité et "fessé" (une des constantes des Films de LEDA). Malgré cela, il est toujours réticent. Il est alors re-fessé, puis, pour finir, renversé sur le lit, une des filles le maintenant renversé sur le lit avec son genou l'immobilisant, pendant que l'autre l'attache aux 4 coins du lit. Alors, la troisiéme fille, assistant à l'action, peut rentrer dans le jeu et se met à "violer" David dans une scène, assez longue, mais vraiment "porno", commençant par une fellation pour durcir le membre flaccide de David (au début), puis le "baisant" (après lui avoir mis une capote !) dans les deux positions dominantes - une étant au dessus de lui dans la position normale, l'autre en se retournant. On voit nettement son mouvement de va-et-vient et le pénis de David apparaissant, puis disparaissant lors de cette action. Vers la fin le rythme s'accélère et la fille arrive à la conclusion, son visage reflétant son extase - David, impuissant, se prêtant au jeu et gémissant. A l'extrême fin, comme un crescendo (que j'avais fort apprécié), on voit réappparaître les deux filles et l'une d'elles tapote les fesses de la "baiseuse" en ayant l'air de lui dire "Bravo, bien travaillé,  ma fille". Excellente fin .........   (pour moi, c'est ce que j'appelle un film semi-porno).          stantoons054 Voici les modification que j'envisagerais. Tout d'abord, il n'y aurait qu'une seule "grosse" fille et qui serait en tenue "sexy" - presque demi-nue - et un combat plus étoffé (et bien fait) aurait eu lieu. Malgré sa défaite, le héros, David, serait toujours réticent. Suivrait alors un deuxième épisode de lutte, à la suite duquel, David, complètement nu, serait jeté, à demi-conscient, sur le lit et la "grosse" fille, le chevauchant l'attacherait à deux coins du lit - une main et le pied opposé (pour lui laisser la possibilité de tenter une défense désespérée et lui permettant de "gesticuler" -. A la suite de quoi, la deuxième fille entrerait en action et la scène de "viol" serait à peu près identique. Et, à la fin, la "grosse" fille aurait pu ajouter, après avoir tapoté les fesses de la "baiseuse" - "Et, maintenant, c'est mon tour ! Raoul: C'est drôle, la fille forte qui m'attache pour me livrer à la fille moins forte (me livrer à sa domination martiale s'entend, pas à son envie de pénis), c'était un de mes fantasmes récurrent d'adolescence. J'aime assez les deux scénarios, quand même assez alambiqués comme tu le soulignes, mais je trouve ta conclusion bien meilleure ! Pourquoi seule la fille qui ne fait rien aurait le droit d'en profiter ? Je comprends très bien ton attrait pour la nudité, en fait cela me semble plus naturel que mon attitude, mais on ne se refait pas. Nous n'avions pas encore parlé de la lutte à deux femmes contre un homme. Pas assez humiliant ? Trop un fantasme de macho ? Pour ma part ce n'est pas un fantasme habituel mais c'en est un quand même. Se faire écraser par deux ciseaux de jambes en même temps, ou alors subir 4 prises d'un coup, chacune en portant une avec les bras et une avec les jambes, cela doit quand même être quelque chose ! (A suivre) Les illustrationsont été choisies par Aristote (le Stantoon 54 est sans rapport avec la vidéo de LEDA dont parle Lucius)
Sam 14 jan 2012 1 commentaire

Ces dialogues sont passionnants. Les auteurs (et Aristote) aimeraient-ils connaître l'opinion des auteurs de la Tradition, comme René Guénon, Eddy Minguzzi "féminité et féminisme", Julius Evola "Métaphysique du sexe", "Sexe et caractère ". Que pensent-ils par exemple de cette citation de J.Evola " La vexata quaestio de l'infériorité, égalité, ou supériorité de la femme par rapport à l'homme est une question privée de sens, car elle suppose une commensurabilité. On ne peut pas plus se demander si la "feme" est supérieure ou inférieure à "l'homme" que se demander si l'eau est supérieure ou inférieure au feu. Pour chacun des sexes, le critère de mesure ne peut donc pas être fourni par le sexe opposé, mais seulement par l'"idée" du sexe auquel on appartient. En d'autres termes, c'est établir la supériorité ou l'infériorité d'une femme donnée en fonction de sa plus ou moins grande proximité de latypicité féminine, de la femme pure ou absolue.Il ne fait aucun doute que la femme parfaitement féminine est supérieure à un homme imparfaitement masculin, de même qu'un paysan fidèle à sa terre qui assume parfaitement sa fonction est supérieur à un roi incapable de remplir la sienne." CRJ 57

CRJ57 - le 21/01/2012 à 23h43