Vaincu par Elle

 

J'ai mis à profit mon récent séjour à Paris pour rencontrer mes collaborateurs, bien sûr, mais aussi pour visiter les musées. Ignorant délibérément ceux qui attirent les grandes foules - à tort sans doute car il y a évidemment des merveilles à voir au Louvre, au Musée d'Orsay, au grand Palais, au Musée Grévin etc. - je me suis concentré sur tois musées beaucoup moins courus et pourtant plein d'intéressantes ressources.

 

Voici trois de mes trouvailles, et d'abord cette femme, "la femme la plus forte du monde", affichée au Musée des Sports. Hélas je n'ai pu la voir en vrai, cette gaillarde, le programme indiqué sur l'affiche était déjà passé, m'a-t-on assuré. Je retardais de quelques décennies !... Dommage !...

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Conscient de ce que le sport et l'érotisme ne sont pas sans entretenir certains liens occultes (c'est en tout cas l'évidence pour ce qui est de notre hobby favori, la lutte mixte), je me suis rendu au Musée de l'érotisme, situé sur le Boulevard de Clichy, à proximité immédiate de ces hauts lieux de la gaudriole que sont la Place Blanche et le Moulin Rouge.

Cette "tailleuse de pipes" aux seins siliconés a attiré mon attention, j'ai pensé à tous ces lecteurs de mon blog qui me confient qu'ils adorent étouffer quand ils sont pris dans les puissants ciseaux de jambes d'une femme telle que celle-ci. Adlmirons le volume des cuisses et des mollets de la dame.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

C'était sans l'intention de "mater" une femme musclée que je me suis rendu au Musée des Arts et métiers, car je n'imaginais pas une seconde que cet établissement pouvait en receler. C'est bien plutôt l'endroit où l'on peut admirer quantité de machines et étudier l'évolution des techniques à travers le temps.

 

 

Pourtant, ne voilà-t-il pas que dans l'église du musée je tombe sur cette redoutable travailleuse armée d'une masse ! Après la "tailleuse de pipes", j'avais affaire, incontestatblement, à une "tailleuses de pierres" ou quelque chose comme ça. Le genre de femme avec laquelle il était préférable de ne pas plaisanter - et je mets l'imparfait car je doute un peu qu'on rencontre encore beaucoup de ces travailleuses de force dans nos provinces. 

 

 

 

 

 

 

 

Et pour conclure, chers lecteurs, un petit sondage pour recueillir votre sentiment sur tout cela :