Vaincu par Elle


Gamin, on le traitait de mauviette et, pire, de froussard. Il avait souvent expérimenté le fait que certaines filles étaient beaucoup plus agressives que lui, plus courageuses et dures au mal. Cela n'avait d'ailleurs pas de lien direct avec la force physique, car certaines de ces filles étaient peu musclées.
On lui parlait de combats improvisés, sans règles précises, des combats entre filles, ou entre une fille et un garçon faible dans son genre à lui.
Des filles se retrouvaient pour se bourrer la gueule de coups de poings, comme ici :



Cela se faisait couramment dans certains milieux et le plus extraordinaire à ses yeux était bien que ces filles semblaient s'amuser, prendre du plaisir à cela, surmonter facilement la douleur des coups par le plaisir infini qu'elles prenaient à en donner !

Un jour on le convoqua pour un combat mixte et il dut affronter l'une de ces filles, une petite nana du genre pas froid aux yeux, plus petite que lui, nommée Shorty Truong.

Il ne fit pas le poids ! L'assistance était très excitée, comme à un combat de coqs. D'ailleurs on se serait vraiment cru à un combat de coqs, les assauts étaient extrêmement brefs et se terminaient invariablement par la victoire facile de Shorty et sa reculade à lui, complètement paniqué. Dans ce combat de coqs, il jouait le rôle peu valorisant de la poule mouillée...





Mais enfin il avait nettement pris goût à la chose, car si la plupart des sportifs recherchent le plaisir de la victoire, d'autres spécimens de l'Humanité aiment goûter celui de la défaite... 

Aujourd'hui c'est un homme jeune qui, depuis longtemps, assume son fantasme de se confronter à une boxeuse, quitte à tenter de résister, à essayer lui aussi de donner des coups pour finalement, et invariablement, se faire battre.
L'une de ses tactiques consiste à rechercher la bagarre avec une fille musclée dont il a entendu dire qu'elle était excellente boxeuse.
Souvent, elle commence par le travailler au corps, pour lui taquiner les côtes de ses coups, l'atteindre au plexus, ou au foie, lui couper le souffle..





(ces deux dessins sont extraits d'une bande dessinée de LH Art en accès libre)



Puis elle l'étend au sol d'une droite à la machoire.
Monsieur voulait la bagarre, il l'a eu!


En général il demande à la boxeuse de bien vouloir continuer à le frapper une fois au sol, mais ne dit-on pas que "l'on ne frappe pas un adversaire au sol"? cela fait partie de l'éthique du "noble art", à ce qu'il paraît.

Alors pour vivre ce fantasme-là, il allait voir des dominatrices professionnelles, pas précisément sportives ni musclées mais bien capables de le massacrer au sol puisque c'est cela qu'il demandait !



A sa petite amie, très sportive, il demandait aussi le "service" de le boxer pour lui manifester son amour.

Elle acceptait de le faire, mais au corps seulement...
et bien sûr en position debout !

Mais elle refusait de l'allonger à terre d'un direct à la face, elle n'était pas d'accord pour ça... et encore moins d'accord pour le frapper une fois au sol bien sûr.

Tout au plus obtenait-il quelques gifles et quelques petits coups sympas au lit, en prélude au rapport amoureux, mais rien de plus, en tout cas rien de véritablement "hard"...


Et puis les choses ont brusquement changé avec l'apparition récente des "Mixed Martial Arts". Voici une minute vraiment très sympa qu'un "Smartass" dans son genre peut passer en compagnie de Julie :



Et si vous aimez ça, alors voici une séance plus longue de près de quatre minutes, administrée par l'adorable Xana :


Par les temps qui courent, une boxeuse accepte couramment de vous boxer en toute situation de combat ! en position debout bien sûr, mais aussi au sol ! ce n'est plus du tout contraire à leur éthique ! ouf ! on peut enfin vivre pleinement son fantasme !
Et rien ne dit que c'est seulement avec des professionnelles qu'on peut vivre ces moments très sympas, pourquoi nos charmantes épouses et compagnes ne s'y mettraient-elles pas, elles aussi ? Je parie d'ailleurs qu'elles le font déjà, mais on n'en parle pas, n'est-ce pas, c'est un peu tabou, comme sujet...

Jeu 27 aoû 2009 Aucun commentaire