Vaincu par Elle


Après les "confrontations debout" entre un homme et une femme qui se trouve être de force supérieure à celle du mâle, venons-en aux confrontations qui s'opèrent en position assise (quant aux confrontations couchées, c'est un sujet rebattu, mais nous ne nous interdisons pas d'y revenir).

La transition entre le "debout" et "l'assis" est normale et naturelle, comme nous le rappelle cette adorable marquise tout droit sortie de notre littérature libertine :



Cependant, avec une sportive très entraînée, la position assise peut réserver quelques surprises relativement éprouvantes pour un individu lambda :



encore qu'en principe les choses finissent agréablement avec les plus douées :



Ne jamais oublier qu'avec certaines femmes la confrontation est un véritable rapport de forces qui peut s'avérer pénible pour l'ego masculin :



Il se trouve des lutteuses qui savent sanctionner comme ils le méritent certains malotrus qui se croyaient tout permis :


et qui continuent la raclée en toutes positions :


En ces temps où le contingent de femmes musclées ne cesse de croître, certaines situations sont carrément embarrassantes, même lorsqu'elle semble bien gentille :



Ne désespérons pas ! Beaucoup d'entre elles se montrent très compréhensives :







Convient-il de s'asseoir sur les genoux de la géante ?

Ne vaut-il pas mieux au contraire asseoir bien tranquillement la bodybuildeuse sur ses genoux ?

Nous ne trancherons pas ce dilemme redoutable. Dans les deux cas, la suite des étreintes amoureuses est fort incertaine.






En conclusion, nous rappellerons que la position assise est un grand classique de l'amour tantrique, qu'elle a présenté et présentera toujours de merveilleuses perspectives aux amants enlacés !

NB. Les dessins de nos deux articles sur les confrontations ont été empruntés à des sources diverses : Eric Stanton, Tom Poulton, Lee Burks, "Girls beat boys", "Petesmuscledrawings", etc. Une nouvelle et importante source de dessins est Amy's conquest


Jeu 11 jun 2009 1 commentaire
Il est évident que mon amazone, Julie, m'a soumis lors de nos combats de lutte, mais également, par la suite, par sa domination sexuelle. C'est bien elle qui me prenait et non l'inverse. Elle se mettait à califourchon sur moi et s'emparait de mon membre dressé, au garde à vous devant son sexe dit faible qui allait le vaincre. Julie savait utiliser au mieux son étroite et chaude craquette pour emprisonner mon membre, le pomper, le serrer, l'étrangler et l'essorer. On peut dire qu'elle me trayait à fond pour me vider de ma substance virile. Elle disait qu'elle allait me vider et de fait elle me faisait éjaculer plusieurs fois au cours d'une session de vidage et ne sa craquette ne rejetait mon membre encore bandé qu'après m'avoir pressé jusqu'au dernier petit jet minable de semence qui était très douloureux car j'étais véritablement pompé jusqu'au sang. D'ailleurs, une fois, Julie m'avait tellement essoré que je fus impuissant pendant plusieurs jours.
Beatenboy - le 02/07/2009 à 00h16