Vaincu par Elle


Ayant en tête de revenir un peu plus longuement sur le sujet de la sensualité du muscle féminin (l'article que j'avais consacré à ce sujet en février 2007 est à revoir, car ses liens Web sont morts...), j'ai pensé recommencer par le commencement, c'est-à-dire par l'Art bien sûr, car notre imaginaire occidental est peuplé d'images de femmes nues.

Le thème de l'odalisque, à la fois esclave vierge et objet sexuel, allongée sur un lit au milieu de superbes coussins, va donc m'occuper quelque peu, mais en liaison bien sûr avec mes obsessions :
et si l'odalisque était musclée ? et s'il fallait, pour l'approcher et tenter de la "conquérir", engager un épuisant combat amoureux à l'issue incertaine ?.

En observant l'odalisque telle qu'une certaine Natalie Astopka l'a recréée (ci-contre à gauche, un détail d'une toile de cette artiste contemporaine), allongée sur le ventre et non sur le côté comme d'ordinaire, je flashe sur les jambes de la demoiselle, quon devine si puissantes et si nerveuses...


et je ne peux m'empêcher de me la figurer appliquant un ciseau sur celui qui voudrait faire joujou avec ses cuisses,
d'où la comparaison qui me vient avec cette photo, que j'apprécie pour son côté "éclairage intime".
Je me dis seulement qu'appliqué par la première demoiselle, "l'odalisque musclée", le ciseau en question serait encore plus éprouvant pour le chanceux.
Lun 6 avr 2009 Aucun commentaire