Vaincu par Elle


Dans le précédent article, on parle du cas de l'homme vaincu par son épouse. Mais il y a aussi le cas du jeune garçon battu par une fille et qui en est marqué à vie.

Je cite ici le dernier témoignage posté par Beatenboy dans la rubrique des commentaires :

"Ayant été battu, en cours d'EPS à la lutte, par une fille plus jeune que moi, je suis devenu un garçon soumis aux filles. Julie m'a flanqué des dérouillées tous les mercredis après-midi et j'y prenais plaisir."

La question reste de savoir si l'on est d'autant plus marqué psychologiquement par l'expérience de cette défaite qu'elle est intervenue d'autant plus tôt dans la vie du garçon (dans l'enfance, l'adolescence ou l'âge adulte). Je pense que oui.

Le dessin d'illustration est ici dû à Edmundo Marculeta, et a été publié naguère par les soins d'Eric Stanton.
Lun 30 mar 2009 3 commentaires
La réponse à cette question est oui. J'étais très jeune, je n'avais que 14 ans et j'étais convaincu de la supériorité naturelle du sexe dit fort: j'avais d'ailleurs battu au judo une fille de 16 ans et une autre de 17 ans. Or voilà que Julie à seulement 11 ans 1/2 m'avait battu à la lutte, m'infligeant une défaite incontestable, à la fois humiliante et excitante. Comme elle habitait le même immeuble que moi, elle me demanda, le mercredi après-midi suivant de venir chez elle pour lutter. Le combat se déroula dans sa chambre: elle avait repoussé son lit contre le mur pour faire de la place. Nous étions dans la même tenue de sport qu'en cours d'EPS. Elle me plaqua de nouveau au sol et elle n'hésita pas à s'assoir sur mon visage, ce qui me porta au comble de l'excitation. Elle me demanda si je reconnaissais ma défaite et je répondis par l'affirmative. Elle resta assise sur moi, tantôt sur mon torse, tantôt sur ma tête, pendanst près d'une heure pour que dit-elle "je m'habitue" à être sous elle. Le mercredi suivant, elle me flanqua une dérouillée car une fois engagé le combat au sol, elle me donna des coups de poing et je saignais du nez. Je réussi à lui donner un coup de poing dans le ventre, mais alors elle se déchaîna et je gisais sur mon flanc droit presque KO. Elle m'attrapa par le col de mon maillot de sport et là commença mon "dressage" : elle me donna l'ordre de me tenir à genoux devant elle. Je m'exécutais, j'étais sonné. J'avais le nez presque contre son short et le mien était déformé par une érection énorme. Elle me prit par les cheveux et me tira la tête en arrière. Elle me toisait, superbe petite amazone, elle ne disait rien, son regard victorieux posé sur moi, me faisait comprendre que j'avais perdu ma liberté et que j'étais devenu sa chose. Elle me fit pencher la tête en avant et avec son pied droit sur ma nuque elle me fit mordre la poussière. Je n'essayais pas de résister, j'étais dans un état second. Puis elle m'ordonna de baiser ses baskets. Dans un dernier sursaut de dignité, je refusai. "Comme tu veux" me dit-elle à mon grand étonnement. Je me relevai et me trouvait stupide devant cette gamine plus petite que moi. Sans vergogne, elle m'expédia son pied droit en plein dans mon entre-jambe et je revois toujours sa basket se planter dans mon short. La douleur fut si forte que je ne pus crier tout de suite, je tombai à genoux devant elle puis m'effondrait sur le sol. Julie m'ordonna à nouveau d'embrasser ses baskets et je m'exécutai cette-fois. Après, elle me laissa repartir chez moi. Je ne devais plus jamais lui désobéir et le mercredi d'après, elle organisa une sorte de jeu pour régler nos comptes ce qui signifiait mon engagement dans un processus irréversible de soumission aux filles d'autant que ma vie au collège avait changé. Moqué par les garçons, sauf Olivier qui allait connaître le même destin que moi, et harcelé par des filles qui me mettaient au défi de me battre avec elles, je rasai les murs...
beatenboy - le 02/04/2009 à 00h17
Quand Julie m'a dressé...

Le mercredi suivant, Julie qui m'avait soumis, voulut faire de moi son esclave et, par jeu disait-elle, elle m'ordonna de faire plusieurs actes de soumission totale. Elle commença par me redemander de lui baiser ses baskets. On se souvient que pour avoir refusé dans un premier temps le mercredi passé, elle n'avait pas hésité à me donner un coup de pied dans les couilles. Cette-fois je m'exécutai aussitôt. Puis, elle me fit allonger sur le dos et posa son pied droit sur mon visage, mon torse, et sur mon short, en insistant bien sur la bosse de mes attributs virils. Ensuite, elle me fit signer un "contrat" dans lequel je reconnaissai ma défaite face à elle et ma soumission à elle. Pendant que je lisai le "contrat", elle empoigna par dessus mon short mes organes virils qu'elle tripotait. Enfin, elle me refit mettre sur le dos pour s'assoir sur mon torse, puis sur ma tête. J'étouffais à moitié le nez dans son short... Au bout d'un moment, elle se retourna pour se placer tête-bêche sur moi: elle se frotta contre mon visage et prit "les choses en main" en s'emparant de mon membre bandé qu'elle extirpa de mon short par l'échancrure; soudain elle serra fort ses cuisses et je réalisai qu'elle jouissait, tandis qu'au comble de l'excitation, incapable de résister à sa petite main qui me triturait maladroitement le membre, je capitulai en honorant ma petite amazone de puissants jets de mon jus viril vaincu. Elle ne s'attendait pas à me voir gicler, ne voulant que m'humilier en s'emparant de ma bite; elle comprit alors que mon éjaculation valait bien plus que ma signature du "contrat" et qu'elle me tenait bel et bien en son pouvoir. Et cela fait des années maintenant que je suis toujours à elle.


beatenboy - le 18/04/2009 à 22h55

Et celle-ci était plus forte physiquement ou avait des techniques de combat du à un art martial?

Juliàn - le 01/09/2011 à 10h18