Vaincu par Elle
Suite aux commentaires de deux lecteurs désapprouvant une première version de cet article, je l'ai modifié. Vous lisez à présent une nouvelle version.
Le thème des hommes battus par leur épouse tend à se banaliser.
Un film vient de sortir sur les écrans ce mois-ci, "L'un contre l'autre" (en allemand "Gegenüber"), qui raconte l'histoire d'un policier régulièrement giflé et battu par sa femme.
On peut voir la bande-annonce de ce film ici :
L'Un contre l'autre - Bande-annonce 1 (Allemand sous-titré)
Par ailleurs, dans un reportage de la série "Faites entrer l'accusé", sur FR2 le mardi soir, on a pu voir raconter cette semaine la désolante histoire de Christophe Le Scrill, un jockey qui était régulièrement battu par sa femme Nathalie et qu'elle a assassiné par étranglement lors d'une querelle. Ensuite, nous raconte Christophe Hondelatte, elle l'a porté dans sa voiture et a abandonné le cadavre dans une forêt. Elle a perpétré ce crime seule et sans l'aide de quiconque :
Faites entrer l'accusé - Nathalie le Scrill, l'étrangleuse
Cet épisode repassera sans doute ultérieurement sur des chaînes cablées.
Dans la fiction du film comme dans la réalité du reportage, une femme agressive et dominante tabasse son mari. Mais bien souvent, comme on dit, la réalité "dépasse" la fiction, car dans le reportage hélas, cette violence conduit au meurtre. Et si un admirateur d'Amazones peut éventuellement sourire à l'évocation d'un mari battu, il est clair qu'on n'a plus envie de rire quand cela débouche sur un pareil drame.
Le thème des hommes battus par leur épouse tend à se banaliser.
Un film vient de sortir sur les écrans ce mois-ci, "L'un contre l'autre" (en allemand "Gegenüber"), qui raconte l'histoire d'un policier régulièrement giflé et battu par sa femme.
On peut voir la bande-annonce de ce film ici :
L'Un contre l'autre - Bande-annonce 1 (Allemand sous-titré)
Par ailleurs, dans un reportage de la série "Faites entrer l'accusé", sur FR2 le mardi soir, on a pu voir raconter cette semaine la désolante histoire de Christophe Le Scrill, un jockey qui était régulièrement battu par sa femme Nathalie et qu'elle a assassiné par étranglement lors d'une querelle. Ensuite, nous raconte Christophe Hondelatte, elle l'a porté dans sa voiture et a abandonné le cadavre dans une forêt. Elle a perpétré ce crime seule et sans l'aide de quiconque :
Faites entrer l'accusé - Nathalie le Scrill, l'étrangleuse
Cet épisode repassera sans doute ultérieurement sur des chaînes cablées.
Dans la fiction du film comme dans la réalité du reportage, une femme agressive et dominante tabasse son mari. Mais bien souvent, comme on dit, la réalité "dépasse" la fiction, car dans le reportage hélas, cette violence conduit au meurtre. Et si un admirateur d'Amazones peut éventuellement sourire à l'évocation d'un mari battu, il est clair qu'on n'a plus envie de rire quand cela débouche sur un pareil drame.
Ven 9 mai 2008
3 commentaires
Je continue de penser quant à moi que ce n'est pas complètement sans rapport avec le thème de mon blog.
Cela dit, d'autres avis de lecteurs me seraient utiles pour savoir si d'autres pensent comme Amphitryon.
Cela dit, d'autres avis de lecteurs me seraient utiles pour savoir si d'autres pensent comme Amphitryon.
Aristote
C'est quand même un meurtre mon gars . On dirait que sa te fait plaisir . Faut quand même garder les pieds sur terre .
@+
Jean - le 12/05/2008 à 05h13
Ton article est intéressant . Je te dit pas qu'il faudrait que t'arrête de publier ce genre d'article mais peut être changer un peu la forme , par exemple , en condamnant quand même l'acte de la femme à la fin de l'article . Sa nous éviterait de paraître pour des cinglés .
sinon j'aime bien ton blog en général , très intéressant
@+
Jean - le 12/05/2008 à 05h22
J'ai réécrit l'article pour en changer la forme et le ton général.
Je pense qu'il est toujours bon de comparer la fiction à des situations réelles. C'est d'ailleurs ce qu'avait fait Amphitryon dans son commentaire sur les Amazones sanguinaires et, comme nous l'avions noté tous deux, le fait d'évoquer des faits réels, ou possibles dans la réalité, fait alors froid dans le dos.
Je pense qu'il est toujours bon de comparer la fiction à des situations réelles. C'est d'ailleurs ce qu'avait fait Amphitryon dans son commentaire sur les Amazones sanguinaires et, comme nous l'avions noté tous deux, le fait d'évoquer des faits réels, ou possibles dans la réalité, fait alors froid dans le dos.
Aristote
Ce n'est qu'un commentaire. Je suis ton blog regulierement et je le trouve tres interessant mais quand on touche aux malheurs des gens, j'ai du mal à suivre.